wsnomade.com mise en service (17 février 2024)

VMSD-E
Voltmètre matriciel de sécurité énergétique
Energy security matrix voltmeter

1.0 Introduction

Voila c'est fait en date du 17 février 2024 une page web pour nous et seulement pour nous. Le sujet principal est en fond de page et les liens BABAM seront disponibles à la fin de celle-ci. Reste a mettre quelques mots et images histoire de garder un minimum de crédibilité. Essayez de ne pas me prendre pour qui je ne suis pas. Je ne suis pas un génie mais j'aime apprendre. Comme PI je me pose des questions. Je me rend compte qu'il y a beaucoup de discordances dans les différentes explications sur certains sujets lors de me recherches. Constater un phénomène est une chose et l'expliquer en est une autre. J'ai le goût de remettre certaine pendule à l'heure concernant certains individus qui ont contribué à gacher une partie de ma vie. Une question très simple et très lourde en même temps de conséquences. Dans l'équation de M. Albert Einstein E=mc2 l'énergie dans cette équation représente une énergie potentielle ou cinétique ou autre ? Vous avez une chance sur trois de réussir sans aucune consultation, 33,3% Je garde la suite pour moi.

Un bref rappel, je sais cela semble prétentieux je vous assure que cela n'est pas le cas. La ligne directrice que je priorise est l'uniformisation de certains appareils ou composantes électroniques de l'espace afin d'augmenter  la sécurité des hommes et femmes qui vont dans cet environnement. L’interrupteur HT de PMI développé sur ce site peut aussi bien contrôler de la haute tension que fermer ou ouvrir un circuit électrique relié à une simple lumière. Le VMSD va exactement dans le même direction et doit devenir un des appareils électroniques le plus résistant possible qu'il est possible de concevoir pour ce milieu. C'est aussi une des raisons qui me font publier cette page internet. Je n'ai pas le monopole de la connaissance et seul un groupe peut réussir cette cible. Sur terre le problème est beaucoup moins important et la fabrication peut être beaucoup plus rapide.  Voila je crois important encore une fois de le rappeler. En terminant vous allez trouvez en lien le document préliminaire PDF en lien avec cette page web (ici).

Note 1: Prendre note que Pierre Michaud, PMI n'assume aucune responsabilité en lien avec le contenu partiel ou total des liens non PMI  sur ce documents.
Note 2: La traduction du français à l'anglais se fera à la fin de ce document.

Pierre Michaud, PMI

1.0 Introduction

There you have it, as of February 17, 2024, a web page is created for us and only for us. The main subject is at the bottom of the page and the BABAM links will be available at the end of it. All that remains is to add a few words and images to maintain a minimum of credibility. Try not to take me for who I'm not. I'm not a genius but I like to learn. As a PI I ask myself questions. I realize that there are a lot of discrepancies in the different explanations on certain subjects during my research. Observing a phenomenon is one thing and explaining it is another. I feel like setting the record straight regarding certain individuals who contributed to ruining part of my life. A very simple question and at the same time very serious with consequences. In Mr. Albert Einstein's equation E=mc2 the energy in this equation represents potential or kinetic energy or something else? You have a one in three chance of succeeding without any consultation, 33.3% I'll keep the rest to myself.

A quick reminder, I know it sounds pretentious I assure you it is not. The guideline that I prioritize is the standardization of certain devices or electronic components of the space in order to increase the safety of the men and women who go into this environment. The PMI HV switch developed on this site can control high voltage as well as close or open an electrical circuit connected to a simple light. The VMSD goes in exactly the same direction and must become one of the most resistant electronic devices possible that can be designed for this environment. This is also one of the reasons which make me publish this internet page. I do not have a monopoly on knowledge and only a group can achieve this target. On land the problem is much less significant and manufacturing can be much faster. I think it is important once again to remind you of this. Finally, you will find a link to the preliminary PDF document linked to this web page (here).

Note 1: Please note that Pierre Michaud, PMI assumes no responsibility in connection with the partial or total content of non-PMI links on this document.
Note 2: The translation from French to English will be done at the end of this document.

Pierre Michaud, PMI


2.0 Recherche sur les températures

(lien-1)    Le zéro absolu  -273 degrés centigrade  arrondi
(lien-2)    Température moyenne de l'Univers -271 degrés centigrade    
(lien-3)    Azote liquide -196  degrés centigrade  arrondi
(lien-4)    SSI +121 degrés centigrade au soleil et - 157 degrés centigrade à l'ombre
(lien-5)    Protection d'une combinaison spatiale +150  degrés centigrade à -120 degrés centigrade

2.0 Temperature Research

(link-1) Absolute zero -273 degrees centigrade rounded
(link-2) Average temperature of the Universe -271 degrees centigrade
(link-3) Liquid nitrogen -196 degrees centigrade rounded
(link-4) SSI +121 degrees centigrade in the sun and - 157 degrees centigrade in the shade
(link-5) Protection of a space suit +150 degrees centigrade to -120 degrees centigrade




3.0 Les grandes lignes sur ces liens et des interprétations relié

La nature d'un objet dans l'espace influence sa température
La dimension d'un objet dans l'espace influence sa température
La présence d'un gaz dans l'objet va aider à répartir sa température
Le delta de température (-degrés centigrade et +degrés centigrade) d'un objet dans l'espace dépend de la nature de l'objet, de ses dimensions et de sa forme.
La couleur de l'objet va influencer le delta de température
L'orientation de l'objet va influencer le delta de température
La rotation va aussi influencer (paramètre qui ne sera pas retenu pour le VMSD puisque les essais seront en mode destructif .. plus sévère.. encore)
La masse d'un objet influence sa température
L'inertie thermique est en lien avec tous ces éléments

3.0 Overview of these links and related interpretations

The nature of an object in space influences its temperature
The size of an object in space influences its temperature
The presence of a gas in the object will help distribute its temperature
The temperature delta (-degrees centigrade and +degrees centigrade) of an object in space depends on the nature of the object, its dimensions and its shape.
The color of the object will influence the temperature delta
The orientation of the object will influence the temperature delta
The rotation will also influence (parameter which will not be retained for the VMSD since the tests will be in destructive mode.. more severe.. even)
The mass of an object influences its temperature
Thermal inertia is linked to all these elements



4.0 Recherche de constantes

Ici j'ai le droit à l'erreur car je cherche soyez indulgent(e)(s).

Un début selon notre compréhension il est possible de retrouver 3 températures moyennes dans un matériaux lorsque qu'il est soumis à une source de chaleur.

1 Température de l'objet fessant face directement à la source de chaleur
2 Température de l'objet fessant face arrière à la source de chaleur (dispersion de la chaleur)
3 Température d'équilibre de l'objet

Dans un objet solide il existe un point limite ou TA = TB
Dans un objet solide il existe une ligne ou TA = +- TB

Supposons une plaque de métal orienté directement face au soleil.

L1 (longueur de la plaque)
L2 (largeur de la plaque)
H (épaisseur de la plaque).

Si L1 et  L2 >>> H     H peut être considéré comme négligeable. De cette plaque A = le coté exposé au soleil  B = le coté à l'ombre. Cela implique aussi que SA (la surface de A) = SB (la surface de B)
Sur terre TA (température de la surface A) sera plus chaude que TB (surface à l'ombre) TB va refroidir TA par dissipation de la chaleur. Comment ?

1) à cause de l'air ambiant(transmission de la chaleur dans l'air)
2) Émission de ..rayonnement.. de chaleur.

L'objet est en équilibre chaud. Il faut maintenant  reprendre le même modèle et essayer de l'appliquer dans l'espace. Dans la réponse finale nous auront seulement 2 choix l'objet sera t-il chaud ou froid ?

Je n'ai pas encore trouvez de réponse(s) simple(s) pour la question suivante, température de la face d'un objet à l'ombre et au soleil. Bien sur je sais que la conduction thermique d'un métal va influencer sa température, mais sa température à l'ombre en utilisant le concept de limite n'est pas encore clair pour moi. Cela ne m’empêche pas d'avancer pour l'instant. Un premier croquis expérimental utilisant des boulons pour transférer la chaleur.  Je crois qu'il est possible avec les bonnes températures d'utiliser une équation simple de transfert de chaleur avec masses et surfaces exposées afin de calculer l'enveloppe du VMSD.

à suivre

5.0 Recherche de spécifications techniques d'appareillages électroniques pour l'espace

(1) (Spécifications de fonctionnement normale)        (2)  (Spécifications de fonnctionnement problématique)        (3) (mort de l' appareillage)

6.0 Recherche de solutions d'uniformisation de températures  (lien important)

Juste un commentaire en débût de section, une première question en fin de journée. Dans la Navette Spatiale en cas d'avaries la fixation du VMSD peut t-elle influencer le temps de fonctionnement de l'appareil avant qu'il soit HS (hors service) ? Voila vous en savez un peu plus sur moi et sur ma compagnie. Pierre Michaud, PMI ce 18 février 2024 17:42h (Heure du Québec).

Une première solutionest évidemment un transfert de chaleur par conductivité thermique de l'enveloppe du VMSD. Il est possible d'ajouter à l'intérieur une série d'anneau comparable au cage d’écureuil des moteurs à induction relié au boîtier toutefois il faut garder en tête que le VMSD se doit d'être de petite dimension avec un poids qui va le rendre indispensable pour la solution de l'espace. Une réflexion plus poussé va tenir compte de la nature des anneaux et aussi des métaux utilisé pour les raccordements thermiques. Des contraintes de non fabrication d'électricité parasite devront faire l'objet de vérification à des températures et conditions variables afin d'éliminer définitivement ces comportements si différents types de métaux sont retenues pour le transfert de chaleur. A moins d'avis contraire pour l'instant nous retenons la forme d'origine proposé dans le document principal  de Pierre Michaud, PMI  associé. Toutes les solutions qui seront proposé ici ne visent qu'un seul bût ..l'équilibre thermique... Un premier croquis utilisant des boulons pour l'obtention d'un équilibre thermique pour l'électronique.


Il semble que pour l'espace et l'instant que les boulons seront en argent. Sur le plan ci-haut l'écrou de retenu n'est pas indispensable pour la mécanique du boîtier toutefois suite à des calculs ou des essais il pourrait s'avérer utile pour augmenter le transfert de chaleurs entre les plaques, ce point reste à déterminer. Un autre point les composantes sur ce croquis  sont pour l'instant à titre indicatif seulement. Nombres de piles diode diamètres et type de fils sont à déterminer. Il s'agit d'un circuit simple et fonctionnel adapté à des essais de types destructifs afin de valider les plages de températures de fonctionnement. J'ai choisi cette fenètre triangle avec éclairage à LED (le plan B) car selon mes informations elles sont plus résistantes aux basses températures que les écrans LCD. Il s'agit d'un croquis de départ et non  d'un instrument final. Je vous rapelle l'idée de base un instrument polyvalent, déplacable, résistant a des conditions extrèmes. Chez moi il y a quelques années j'ai réalisé des essais avec des LED clignotantes et de petites piles et sans recharge le temps de fonctionnement se comptais en semaines (+2).

Note de document: Prendre note que le croquis suivant a été publié dans la bonne section. Toutefois certaines informations récentes sur ce croquis ne sont pas en ordre de date et peuvent porté a confusion.








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Les premiers commentaires, vous avez surement déviné cette pièce est symétrique. Les comportements des surfaces dans un milieu thermique devraient être identiques. Il est possible même avant sa fabrication d'imaginer des lignes de comportements. Une des fenètres va laisser passer le rayonnement cosmique chauffant ainsi le couvert exposé au froid. Mais que va t-il se passer avec la fenètre exposé au froid ? Rien de méchant selon moi. La transmission thermique du verre ou des subtances similaires sont beaucoup plus faible que le métal. Cela veut dire que la globalité du transfert de chaleur dans un milieu froid sera plus faible qu'un couvert plein. Ce n'est pas un désavantage a -270 degrées C mais l'inverse.


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Parlons maintenat d'un peu de chaleur et essayons de comprendre (moi compris) ces termes parfois mélangeants. L'absortion est un phénomène par lequel un objet va aquérir un changement de température. L'absortion touche en premier les surfaces en contacts avec des différentels de températures. Avant de rechauffer ou refroidir un objet dans son centre les changements de températures vont commencer par les surfaces d'un objet avant de le pénétrer. Lorsque qu'il y a pénétration du froid ou de la chaleur dans l'objet on doit parler de conduction thermique et c'est cette conduction qui va modifier la température de'objet en profondeur.  La radiation maintenant, lorque qu'un objet perd de son énergie (température) le centre plus chaud transmet son énergie par conduction a travers l'objet pour finalement la dissiper par la surface. Cette énergie qui se perd s'apelle la radiation. En tout cas c'est comme ça que j'interprète ces notion pour l'instant. La convection touche aussi la température. Il s'agit essentiellement d'un  courant d'air transportant de l'énergie thermique. Pour la chaleur c'est la bonne définition toutefois a t-on le droit de parler de convection pour le froid ? (énergie, à vérifier).  En se référent à ces petits paragraphes lorque l'on parle de rayons cosmiques (radiations) on parle d'un objet qui se débarasse de son énergie. Dans ce cas  le soleil est l'objet.

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Je continu a essayer de mieux comprendre les phénomènes d’absorption et de radiation de la matière. Dans cette fameuse question du froid et de la chaleur je crois avoir trouvé une façon de régler une fois pour toute cette interrogation. Prenons un pièce de métal sur terre et chauffons la, en retirant la source de chaleur elle va se refroidir. Comme le métal l'air possède une conduction thermique. En absorption ou en radiation sur terre (chauffage ou refroidissement) cette air est la même. Mais cela ne règle rien pour l'instant. Comment faire une relation simple basé sur le temps entre le temps d’absorption et de radiation d'un élément ?

Je crois avoir peut être la solution. Je vais prendre une plaque de métal carré de 20 cm avec une masse suffisamment importante pour glisser une thermistance  à l'intérieur. Cette plaque à l'air libre sera à l'ombre et aura une température initiale que je vais appeler T1. En utilisant une horloge solaire je vais par la suite l'orienté pour quelle reçoivent les rayons solaires d'une façon perpendiculaire en suivant le temps et l'augmentation de température. Fixons par exemple une augmentation de 20 degrés de plus de la plaque que nous allons appeler T2. À cette température la plaque avec sa nouvelle température T2 sera remise a l'ombre. Ici nous allons attendre que la plaque revienne a sa température initiale T1 . Je crois que nous pouvons négliger pour fin de compréhension la présence de l'air puisque en absorption ou en radiation elle est présente. Il va exister un rapport scientifique entre le temps de chauffage et celui de refroidissement. Ce rapport va aider a établir selon nous une constante ou des comportements entre l’absorption et la radiation. Bien sur plus d'un essais seront nécessaires mais je crois que cela va fonctionner. La suite de cette expérience devra être faite sous vide en utilisant les mêmes lignes directrices. L'interprétation des résultats devraient répondre a cette question du chaud ou froid de l'espace. Bien sur si vous possédé une navette vaut mieux exécuter directement cette expérience dans l'espace. Nous devrions obtenir des réponses pour les éléments suivant: les formes, les masses, les surfaces, les types de matériaux, les couleurs, les joints étanches, les boîtiers, la résistance d'objets, etc.

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Pour la stabilisation et l'uniformisation des rayons producteurs de chaleur plusieurs solution existent. Pensons simplement aux lentilles, trou dans une surface plane, ou encore le laser. Si on ne connais pas la puissance il faut au moins avoir une stabilité de production de chaleur. Sur internet j'ai vue des calculs simples (règle de trois) impliquant la constante solaire. Pour ces calculs une règle de trois a été appliqué sur une surface courbe. Ce calcul fonctionne peut être si cette constante est une moyenne, mais essayer de l'appliquer sur une surface droite implique des incertitudes. J'ai déjà un premier scénario de calcul mais je ne vois l'utilité de l'appliquer pour l'instant. Le laser me semble une bonne solution toutefois je n'ai pas accès a ce type d'équipement. Chose certaines plusieurs informations importantes sont a extraires de cette expérience et celles-ci devraient réponde a plusieurs incertitudes concernant l'équilibre thermique du VMSD-E.

L'air filtre les rayons cosmiques responsables de l’absorption. Pour la radiation c'est l'inverse cette air aide la transmission.  En résumé je diminue la puissance pour l'absortion et augmente la radiation. En relation avec l'espace c'est l'inverse. Les rayons cosmiques ne sont pas filtré par l'air  avant l'absorbance, pour la radiation l'absence d'air diminue la radiation. Par comparaison nous avons maintenant deux nouveaux comportements qui s'affrontent. Une relation est donc possible. En terminant une puissance concentré sur un petit point que la surface soit courbe ou plate l'absortion du matériau devrait être le même ? non !

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Je me suis demandé aussi comment créer un environnement d'essais pour vérifier si dans une pièce de métal l'absortion de chaleur est égale à sa radiation (perte de chaleur) dans le temps. Je crois avoir trouvé une expérience suffisament fiable pour répondre à cette question.  Dans le vide, des températures constantes de chaud et de froid s'affrontent afin d'obtenir une température d'équilibre dans un métal. Toutes les surfaces orientées recoivents soit du chaud soit du froid sans le filtre de l'atmosphère présent sur terre. Si on utilise dans un premier temps l'eau et sa température comme conducteur thermique on reproduit partiellement une des conditions présentedans l'espace. Dans ce cas avec une quantité d'eau suffisante pour avoir une température stable il sera possible de plonger une pièce de métal dans l'eau et de suivre soit une diminution ou une hausse des température dépendamment de ce que l'on cherche.

Un exemple

Supposons une tempérarure initiale d’un métal a 20 dégrés centigrade, et un bassin d’eau à 40 dégrés celcius. Je plonge une pièce de métal dans cette eau en suivant l’augmentation dans le temps de la température. Ma cible a atteindre est de est de 40 dégrés celcius, donc une augmentation de 20 degrés de cette pièce de métal. Le temps nécessaire pour cette augmentation est T1. La pièce de métal revenue à 20 degrés je la plonge maintenant dans de l’eau a la limite du point de congélation. Encore une fois, je mesure le temps pour atteindre la cible de 0 dégrés de la pièce (T2). Si après plusieurs tentatives et délta différents T1=T2 l’absortion et la radiation seront donc égaux. Si ce n’est pas le cas nous auront la réponse inverse. Cela est important et validra les calculs qui seront utilisé pour l’équilibre thermique. Cela devrait fonctionner même avec des delta de températures beaucoup plus élevés. Je pense ici à l’azote liquide. J’ai commencé à me poser cette question au débût de ce document et crois avoir trouvé maintenant une façon de répondre. Le croquis ci-dessous représente cet exemple.


Une légère agitation de la pièce est préférable afin d'éliiminer un réchauffement ou refroidissement de surface (température parasite). Le volume du liquide doit aussi  être suffisant afin de ne pas avoir des variations de températures non désirables. En complément pour le vocabulaire des définitions importantes.

(1) Absortion
(2) Radiation
(3) Delta
(4) Chaleur
(5) Refroidissement

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Comportement attendu.

Il est fort probable que l'augmentation ou la diminution de températures de l'objet ressemble a une expodentielle dans un sens ou dans l'autre. Toutefois les expodentielles comportent une partie plus ou moins linéaire. Dans l'espace nous parlons d'un différentiel de températures de plusieurs centaines de degrés pour les objets. Nous croyons que cela accélère les modifications thermiques de objet et son équilibre. De plus pour le VMSE-E il s'agira d'un objet de petite dimension, selon notre compréhension cela aussi va augmenter la vitesse de transfert de chaleur. Il est fort probable que l'objet réagisse dans les parties linéaires des transferts thermiques.

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Il m'est impossible pour l'instant de réaliser ces expériences, toutefois il est possible d'obtenir certaines réponses maintenant. Il est peu probable que le comportement de l'objet soit le même au chaud ou au froid mais pourquoi ? Des caractéristiques de base sont modifié en fonction de la température. Une pièce de métal au chaud s'allonge, cela implique une modification de la surface et conséquament cela a une influence sur la température. Au froid  la surface du métal diminue. Ce sont des modifications de base de la dimension de la pièce. Même avec des delta (T) égaux nous parlons ici de températures  théoriquement les temps de ..chauffe.. et de refroidissement devraient être différents. Reste maintenant a savoir dans quelle ordre. Une constante sera dégagé en tenant compte du type de l'objet, de son poid sur terre, de sa conductivé thermique globale, etc. Encore une fois l'important dans ces expériences ce sont les constantes qui seront établi afin de pouvoir développer des objets qui seront en équilibres thermiques contrôlés.







7.0 Note importante sur le simulateur VMSD (photo)

Parlons maintenant de ce simulateur. Oui c'est une solution simple et peu onéreuse pour vérifier ce j'avance et en blague ..si c'est bleu c'est que c'est beau... Il m'est impossible de faire ce choix pour l'instant et pour les autres néanmoins je ne recule pas sur ce point et revendique la sécurité au sens large du terme pour l'utilisation de l'affichage matricielle. Ce petit simulateur est en soi un avancement et pourra au besoin régler les problèmes relié aux conditions extrèmes de l'espace et aussi comme élément de surveillance terrestre. Je vous rapelle qu'il ne s'agit ni d'une lampe témoins ni d'un affichage matricielle simple. Toutefois avec moins d'option il peut faire le même travail sans affichage numérique ou analogique. Les astraunautes et pourquoi pas n'importe qui peuvent travailler sur un standard et ainsi rapprocher l'utilisation de différents appareils électroniques ou électriques de différents pays. Si un affichage numérique ne correspond pas aux critères de sécurité que je me suis fixé un remplacement est tout a fait possible avec ..l'affichage.. de ce simulateur (PLAN-B).  Je n'ai rien d'autre à dire sur ce sujet pour l'instant. (BADAM-A) Pierre Michaud, PMI ce 19 février 2024 16:38h (Heure du Québec).

8.0 Juste une petite parenthèse

En travaillant sur le VMSD je suis rappelé comment j'avais baptisé mon instrument de mesure de température (ZAZOU 2022). Je savais que des personnes critiqueraient cette appellation en relation
avec le DR 2000 (appareil polyvalent de mesures multiples pour le traitement de l’eau). Je ne sent aucun besoin de m'excuser. Pourquoi ? ce n'était pas une insulte toutefois à mes anciens ..collègues ? hypocrites ! du Centre Paul Guérin Lajoie qui donnent des cours d'administration d'usines sans même répondent aux lettres je vous dit ceci, un asservissement de tension pour une source lumineuse est t-elle préférable a un asservissement de longueur d'onde pour cette même source ? à moins que les deux soit un + ! Je n'ai pas étudié les plans de cet appareil néanmoins je sais une chose plusieurs paramètres peuvent influencer les mesures et sans prétention vous en savez maintenant trois. Je vous ai  entendu  critiquer le CEGEP ST-LAURENT pendant plus de 10 ans et j'imagine que des grands spécialistes comme vous doivent avoir des réponses qui ne sont pas basé sur l'apprentissage de ceux et celles qui vous critiquent en ce moment.

Ceci étant dit pour la compagnie qui fabrique cet appareil je sais que les spécialistes en instrumentation n'ont pas besoin de moi toutefois je me suis posé cette question il y a longtemps serait t-il préférable d'avoir des bouteilles d'échantillons plus mince pour votre appareil même si cela affecte leurs robustesses afin d'éliminer un facteur parasite même compensé? Un plus le poids de cet appareil (inertie de l'échantillon). Histoire de fermer définitivement cette parenthèse quelle type de régulation est préférable pour conserver une longueur d'onde dans un appareil de type spectrophotomètre ? tension ou courant ? Cette réponse devrait être relativement simple à trouver, la vrai fin.

Pierre Michaud, PMI

(Fin de cette petite parenthèse)

9.0 Croquis final des pièces retenues

Cette partie sera consacré aux composantes pour l'assemblage d'un VMSD-E expérimental. Plusieurs variantes sont possibles toutefois il faut commencer l'expérimentation quelque part. La cible visé pour ces pièces est l'espace et ou des missions habitées. Sans reprendre toutes les explications cet appareil sera facilement déplacable et autonome.




Note générale de croquis: Il est aussi possible d'ajouter une pièce d'orientation de faiseau (BADAM-A PMI) sur la fenètre de conduction de la lumière. Pour votre information voir sur la page des brevets le numéro 33.

Le texte suivant est en relation avec le prochain croquis. J'ai déjà expliquer pourquoi cette forme est importante dans la première partie du document. Une autre raison justificatrice est le reconnaissance de l'appareil. Je suis de ceux qui croient que l'instrument devrait pouvoir se comporter d'une façon autonome. Cela implique une pile et une cellule de recharge au minimum. Immédiatement en voyant cette forme l'utilisateur sera en mesure de savoir qu'il fonctionnera même en cas de panne générale. Ceci un plus immense pour la sécurité. J'ai laissé tombé les LEDS multi-couleurs pour des LED séparé pour des raisons de sécurité renforcées. Je voudrais aussi mentionner que je publie malgré des contraintes  au fur et a mesure en sachant que la NASA porte probablement attention a l'avancement de ce dossier. Je travaille actuellement pour la sécurité de votre ..personnel... La version terrestre ne pose que peu de problèmes et en temps et lieu fera surface. Certaines lignes discutables se retrouvent quelques part dans mes agendas et vous serez les trouver j'en suis certain.






BASE NUMÉRO 2



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En travaillant sur mon prototype (VMSD-E) je me suis demandé si il arrive que les astronautes cherchent le plafond et ou le plancher dans leur environnement. Afin de ne pas les induirent en erreur j'ai décidé de mettre toutes les informations non prioritaires sur la face arrière du VMSD-E. Pourquoi non prioritaires ? simplement il pourrait arriver que l'on me demande de mettre une simple flèche indiquant le plancher, comme par exemple dans la ..SSI... Cette station est composé de nombreux modules et n'ai pas participé a la conception toutefois je sais que cela n'est pas facile. Pensons simplement aux sorties d'urgences, doit t-on mettre le texte en rouge ? Non je ne critique pas ces personnes, j'essaie simplement de faire de mon mieux avec les informations que j'ai. Pennons l'exemple de la coupole elle est orienté vers la terre. Cette coupole est au plafond ou au plancher. Une logique de base me dit d'orienter le tout (l'intérieur) en se basant sur la vie terrestre tant que cela est possible. Selon moi ces hommes et femmes de l'espace auront plus de facilité a s'adater en douceur a leurs nouveaux environnements. Je peux me tromper elle me l'a dit (BADAM-INFO : Amel bent).


Pierre Michaud, PMI
Ce 03 mars 2024

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Une décision a été prise concernant l’œil de recharge. Nous croyons qu'il est préférable de séparer l’œil de recharge de la fenêtre principale. Plusieurs raisons sont responsables de cette séparation toutefois certaines méritent d'être mentionné. Les rayons qui vont pénétrer par cette œil vont en plus de la recharge solaire chauffer l'environnement interne du boîtier. L'ajustement finale de la transparence et du diamètre du trou de recharge seront facilité par cette séparation. De plus dans un futur de planification, un éloignement  des pièces électroniques de l'arrivé directe des rayons (lumière) sera facilité permettant ainsi de mieux répartir la concentration de la chaleur sur la plaque arrière avant sa conduction. Une cible noir est aussi sur le plancher d'analyse pour cet instrument. Deux ou trois entrées pour les rayons ? cela reste encore a déterminer.

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Une autre décision a été prise concernant la fixation du couvert arrière. Ce couvert sera encastré dans le boîtier et non pleine grandeur sur l'arrière. Des personnes comme a mon habitude vont critiquer cette décision simplement parce que cette décision vient de moi. Je sais que cela n'est pas le cas pour les astronautes et personnel de la NASA. Cela ne veut pas dire que ma décision sera accepté ni l'inverse, elle sera évalué en fonction de critères que les QI ne comprennent pas. Les raisons de cette décision seront publier bientôt.

Pierre Michaud et (PMI) tiennent aussi dire que même si une adaptation est possible sur des  instruments existants, le brevet (BADAM-A) demeure la propriété intellectuelle des noms cité en début de paragraphe.

Nous croyons pouvoir augmenter la résistance de l'instrumentation a des conditions extrêmes grâce a ce principe thermique. Certains instruments utilisé en aéronautique sont de type cylindrique ou cubique (carré) arrondies. De petites fenêtres sur l'instrument touchant une cible noir pourraient chauffer l'instrument dans certaines conditions. Cet ajout ne servira pas dans des conditions normales toutefois nous continuons de croire que la résistance de l'instrument et ou sa remise en route lors de conditions défavorables sera favorisé par ces modifications. Lorsque les grandes lignes seront établies la conception de ces instruments ne sera pas plus compliqué selon nous. En terminant pour les crétins le terme nous implique pour l'instant ceux et celles qui seront d'accord avec moi.




10.0 Calculs expérimentaux relié à l'équilibre thermique

Ce n'est pas si évident que cela de faire ces calculs d'équilibre thermiques toutefois la température d'équilibre d'un objet dans l'espace générale (loin du soleil) semble loin des extrêmes orientées. Une température a l'ombre de +- -270 C  et plus de 400 C pour une plaque d'aluminium non luisante orienté plein soleil. Une température de fusion et de référence pour ce métal +-700 C. Le problème est d'obtenir les bonnes données avant une modélisation. Je sais que la NASA possède des informations très poussées sur ce sujet et c'est une des raisons qui me font publier au fur et à mesure.

L’absorption et la radiation thermique d'un objet dans l'espace ou ailleurs n'est pas égale. Il serait facile de dire a l'ombre -270 C et +270 C au soleil donc +- 0 C dans l'ensemble, malheureusement ce n'est pas le cas, toutefois une relation simple est plausible entre ces comportements pour un objet en particulier. Le -270 C est une référence fiable même si je connais pas son opposé. Une relation entre l'absortion et la radiation devrait tenir compte au minimum de la nature de l'objet (A), de la masse (B), et des surfaces exposé (C). Candidement je croyais que la masse d'un objet avait un effet uniquement sur la temporisation thermique, ce n'est probablement pas le cas. Des effets sur l’absorption et la radiation seraient en lien avec la masse donc sur la température d'équilibre selon ma compréhension. Selon ce que j'ai appris j'affirme pour le moment (02 mars 2024 16:15h) qu'une température d'équilibre acceptable basé sur un mode passif est tout a fait possible pour le VMSD-E.

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J'avance tranquillement pour les calculs et ne prennez rien comme acquis encore
(amusez vous et essayez de comprendre)

1 Puissance du rayonnement solaire (la constante) w/m2

2 Quantité d'énergie réfléchie (facteur de 0 à 1) Ce facteur est probablement inclus dans l'absortion (à vérifier).

3 Puissance absorbé en fonction de la surface en watt

4 Conversion des watt en degré en fonction de l'épaisseur des matériaux (conduction thermique)

5 Masse ????? elle augmente la température, ralentissement de la radiation globale ?

6 a suivre,
Première partie

11.0 Exemples d'applications

texte



Exemples d'une localisation

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Le VMSD-E (Pressure) à été volontairement enlevé afin d'évaluer la pertinence de l'instrument. Nous (Pierre Michaud et PMI) pensons que cette série d'instrument deviendront des incontournable pour l'espace.








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Commençons par les QI, le 24 mars 2024 après avoir modifié mon croquis sur l'équilibre thermique de la navette spatiale j'ai eu droit à plusieurs anomalies informatiques au Mc-Donald's de St-Jérôme. Ces anomalies m'ont empèché de faire une mise a jour de ce fichier (révision-1).  Selon toute vraisemblance une surcharge de mon site de transfert et des interruptions de wi-fi à répétition ont été responsables de ces échecs de transmissions. Le CRTC à été avisé de ces actions criminelles dans l'après midi de cette même journée.

Maintenant que la table à été mise je ne suis ni un spécialiste de la navette ni un pilote de cet engin. Toutefois je ne recule pas, L'espace n'est pas le milieu des films de science-fiction ou les personnes s'élancent dans le vide sans protection pour voler d'un engin a un autre. Juste quitter la terre est un exploit de courage qui dépasse tous ce que nous connaissons de la volonté et bravoure humaine. Alors, ces publications s'adressent en premier aux ingénieurs de l'espace qui ont à coeur la sécurité des hommes et femmes qui vont dans ce milieu. L'équilibre thermique d'un engin spatial n'est pas simple, sa position par rapport au rayons cosmiques change et concevoir un engin parfait est encore un rève pour l'instant. Les conditions extrèmes de l'espace demande des mesures et des réflextions qui vont dans le même sens. Comme dirait mme Lara Fabian  j'ai un regard neuf, cela ne veut pas dire qu'il est bon cela veut dire qu'il est vierge et libre de toutes contraintes. C'est la mon seul avantage dans ce monde fermé ou pour l'instant je n'ai accès à rien. Un jour cela va peut être changé.

Je m'intérroge pour l'instant sur la fixation des fenètres RC (rayons cosmiques). Comment celles existantes sur les navettes sont t-elles fixé ? Quel épaisseur ces fenètres ont t-elles ? Une polarisation électriques est t-elles possibles pour limiter les RC ? Chose certaine elles existent et selon toutes apparences font leurs travail. L'appareil supersonique le Concorde à été fabriqué selon un procédé qui nécessite un minimum de joints de raccord. L'ouverture des fenètres à été machiné directement dans la carlinge. En est t-il de même pour la navette ? Des personnes vont peut être croirent que je n'ai que des questions pour l'instant, ce n'est pas le cas. Selon ma compréhension cet avion supersonique volait à limite de ..l'espace... et probablement nécessitait moins de protection pour les rayons cosmiques que la navette. Tous ces paragraphes sont en lien, toutefois un peu comme la section enfants je vous invitent a simplement écouter sa musique avant la suite. La seule chose qui presse pour l’intant et pour moi ce sont mes enfants (ici).

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En quoi va consister la suite ? Bien il semble que cette partie sera plus longue que prévue. Le dessous de la navette est en matière réfractaire de la chaleur. Sur Internet j'ai remarqué que sur plusieurs images cette partie est noir. Le noir absorbe la chaleur et les ..briques.. réfractaires isole le dessus de celle-ci. Il s'agit probablement du choix de la NASA pour une orientation plein soleil du dessous de la navette. Il est clair que l'équilibre thermique de la navette orienté de cette façon sera différente que celle orienté à son opposé. Attention je ne critique rien ici, des choix importants tenant en compte l'espace la rentré atmosphérique ont été fait et je n'ai aucune qualification ou information me permettant de juger cela. Toutefois je ne recule toujours pas ! Lorsque je parle de l'équilibre thermique je parle de celle-ci comme étant un élément statique. Dans cet engin il y a surement du chauffage permettant aux astronautes de se vétir normalement et de travailler aisément. mais cela implique une dépense énergétique, des usures d'équipements, et niveau de sécurité élevé en cas de disfonctionnement. Je crois important de faire cette mise au point. Ce petit document que j'écris n'est pas pour envoyer des hommes dans l'espace, cela est déja fait mais je continu à croire que je peux faire une petite différence, si cela ne serait pas le cas je mettrais fin à cette section immédiatement.

En regardant des images sur Internet je me suis demandé si des ..briques.. (une expression) réfractaires transparentes ou translucides existent. La pierre, la silice, le sable, la vitre, les vitres spécialisées ont tous des points en commeu, se sont des isolants thermiques a plus ou moins différents degrées. Serait t-il possible de fabriquer des briques réfractaires transparentes et utiliser le concept expliquer sur un de mes plans comme régulateur thermique ? Je peux me tromper mais je pense que oui. Il y a probablement une armée d'ingénieurs qui a travaillé et travaillent encore sur ce point délicat de la sécurité des navettes, je suis dans l'obligation de m'interdire la non publication de ce que je pense, la raison est fort simple, cela est en relation directe avec la sécurité. Je continu a croire qu'il est possible d'obtenir un équilibre thermique statique supérieur  grace à ce brevet, le VMSD.  Ce matin j'ai réfléchie longuement à l'expérimentation du contrôle thermique statique des navettes et croient détenir des pistes intéressantes et réalistes d'un calendrier des essais. 

Les fenètres de la navettes, selon nous elles doivent être de formes carrés ou rectangulaires avec les coins arrondies.  Attention ce paragraphe  en lien directe avec la sécurité et des essais projeté dans l'espace. Pourquoi cette forme spécifique ? demandé à la NASA celle-ci devrait vous répondrent. En attendant considérer cette forme comme absolue lorsque que Pierre Michaud ou PMI parlent des fenètres des navattes spatiaux.

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La suite, comment définir des éléments relié à la sécurité et pouvant influencer sur la conception ? Une réponse simple est le bulletin de projet. Le tableau ci-dessous illustre deux volets. Le premier est ce qui est important (en bref) dans le dossier des hublots et le second des éléments de conception relié.  Bulletin de projet par élément. Soyez indulgents ce tableau a été réalisé rapidement et des éléments gauche droite peuvent être relocalisé. Oui il  y a un lien direct avec le VMSD. Je planifie en ce moment des points possibles pour les essais, et non je ne suis pas le patron de cette équipe pour les mauvaises langues. Comme il s'agit d'un dossier de sécurité j'ai cru bon de référer cette chanteuse qui voila plus de 40 ans m'impresionne toujours en attendant la suite (ici).

 ÉLÉMENTS DU BULLETIN DE PROJET

1 Sécurité d'utilisation
2 L'équilibre thermique
3 Sécurité de remplacement
4 Polyvalence de déplacement
5 Facilité de remplacement
6 Adaptation du milieu (absortion)
7 Forme(?)(s)
8 Autres utilités relié aux instruments
9 Autres utilités relié aux urgences (correction rapide et sécuritaire)
10 Autres utilités relié aux expériences
11 Un affichage d'intruments par canon peut être utile, oui ou non ?          

ÉLÉMENTS DE CONCEPTION

1 Hublots simple, double, ou triple ?
2 Insertion par l'intérieur ou l'extérieur
3 Joint (?) étanche de quelle type ? métal mou, ou autre
4 Les problèmes de buées ? delais de production sans chauffage (norme ?) et ou procédure
5 Une compatibilité ISS actuelle ou futur est t-elle envisagable ?
6 Acceptation du % des reflets (a définir)
7 % de résistance mécanique par rapport a la carlingue (100% 125% autre ?)
8 Finition intérieur (support magnétique ? plastique ? à angle ou droit ? )
9 Salubrité facilité et fréquence

 


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En supposant qu'il est possible d'avoir des tuiles thermiques transparentes, le dos de la navette pourrait être un endroit possible pour des essais de températures. Je parle ici de la patie qui s'ouvre pour transporter une charge utile. Selon ma compréhension c'est une des parties qui reçoit le moins de stress thermique lors de la rentré dans l'atmosphère et compte tenu que les hublots du poste de pilotage résiste je ne vois pas pourquoi il en serait autrement pour ce dispositif expérimental. J'imagine une double ou triple protections pour cette fenètre avec la possibilité de retirer une des parties (intérieur) dans l'espace pour les essais. Trois fenètres réparties et orienté différament pourrait être suffisant selon nous pour tirer les lignes de comportement nécessaire aux calculs thermiques préliminaires de l'équilibre thermique de la navette. Ce point a été choisi afin d'éviter une sortie spatiale aux astronautes. Pour l'instant je prend comme aqui que cette partie peut être habitable mais je peux me tromper. Cette expérience est très importante car a elle seule pourrait servir de point de départ pour tous objets suceptibles d'aller dans l'espace. Ici je ne parle pas seulement des engins spatiaux mais aussi de futurs constructions directement dans l'espace, et ce défie est encore pire que le premier homme qui a quitté la terre pour les étoiles. Un jour ou l'autre ces constructions auront lieu et il vaut mieux prévoir ces comportements spatiaux avant les travaux. Pour ceux et celles qui trouvent ça drôle vous pouvez rire maintenant c'est le temps.

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Serait t-il possible de construire des engins spatiaux comme des canots ? Imaginons une navette hors service que nous allons utiliser comme moule avec un seul joint centrale. Lorsque que l'on fabrique un canot une seule personne est nécessaire pour réaliser toutes les étapes de construction. Pour une navette multiplions ce nombre par 100 avec un ordre des travaux sans bavure. Selon notre compréhension le laminage des différents matériaux utilisé pourrait être de qualité supérieur en utilisant cette technique. Des personnes vont rirent de moi en ce moment et c'est leurs droits, mais je réplique immédiatement, si vous n'ête pas capable d'imaginer ces travaux comment pensez vous être capable de construire dans l'espace ? La seule chose qui change pour la navette c'est les dimensions des pièces et rien d'autre avec cette technique. Bon il est temps d'un peu de musique (ici) et il faut aussi que Arnold se prépare pour son audition.

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Il est maintenant temps de s'interroger sur les rôles des différents matériaux de fabrication de la carlingue. Je sais, de quoi se mèle t-il ? je me pose cette même question pour le gouvernement. Pour les tuiles de protection thermique cela est déja identifié. Mais pourquoi l'aluminium, la fibre de carbone, les matériaux composite du train d'atterissage, etc ? Une question simple, ce qui est le plus important dans une navette est ? ses occupants. Les radiations existent pour le vrai. Sur une plage ou sur un quai une jolie fille en petite tenue attrape un coup de soleil. Ce coup de soleil est causé par les radiations  atténué par l'atmosphère. Imaginez maintenant qu'il n'y a pas d'atmosphère ? 100% des radiations solaires traversent l'espace jusquau moment ou ils rencontrent un obstacle. J'ai lu beacoup de chose sur le sujet et je ne peux endosser complètement ce que je vais écrire, enfin je vais faire de mon mieux. Certains rayons émis par le soleil traversent le métal, une protection de radiations est donc indispensable pour les astronautes. Nous allons revenir sur ce point plus loin. Pour l'instant parlons du métal. Un premier rôle une protection mécanique importante pour maintenir en place les différentes parties de la navette. Pensons simplement au fusées arrières  qui génèrent des poussés astronomiques. Un autre rôle du métal de la carlingue est la protection en cas d'impact(s). Avant de se perforer le métal va se déformer en assorbant une partie de l'énergie de la collision, et j'imagine que nous sommes tous d'accord pour dire que cela est plus pour cet engin. L'aluminium est aussi léger et possède des propriétés de transfert de chaleur importante sans être en tête de liste. Un engin composé à 100% de matériaux composites en épaisseur équivalent résisterait moin bien que l'aluminium en cas d'impact selon nous. Ce matériaux est aussi utilisé comme dissipateur de chaleur en électronique. Le fer en comparaison n'a aucune de ces propriétés thermiques en plus d'un poid important. De mémoire 3 types de rayons en provenance du soleil sont classé par ordre de danger pour les humains. Un de ceux-ci traverse l'aluminium. Une protection supplémentaire est donc essentiel pour protéger les humains dans l'espace. Je vais relire sur le sujet mais il semble que les matières plastiques peuvent stopper ces rayons dommagables pour l'homme (pour les femmes aussi la ). Pour ceux  et celles qui se demandent ou je me dirige la réponse est simple ..vers la construction... En berf comment préparer ce fameux sandwich spatial ? En terminant ce paragraphe juste un dernier point. Il est probable que près de la terre en orbite que la température ne soit pas a -270 degrés C. La terre émet de la chaleur et cette chaleur peut modifier la température de l'espace a proximité (référentiel en kM). Toutefois le -270 degrés C ou plus est un gage de sécurité qu'il faut conserver pour les futurs calculs.

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Compte tenu que ce dispositif est expérimental, continuons notre analyse dans le même sens. Un essais simple de résistance. Prennez une pile de type A retirer la tige de carbone et brisez la avec vos mains. Il s'agit d'une composante a très haut pourcentage de carbone. Exactement je ne sais pas. Toutefois selon moi ce matériaux est encore trop faible pour maintenir une tuile thermique solidement. Imaginez maintenant un boulon en aliage de carbone avec un dopage de métaux (de mauvais conducteur thermiques) à 50% 60% ou autre. Vous allez construire un boulon thermique. Un simple moule pour les essais  un matériaux liquide chaud et dopé et voila vous avez votre boulon. Reste a faire les essais thermiques. Le conductivité thermique de ce boulon va dépendre du dopage et comme autre paramètre sa résistance mécanique proportionnel à ce même dopage. Ca vaut la peine de passer par cette étape avant de s'attaquer directement au bouclier thermique. La navette spatiale n'a pas le monopole des engin spatiaux et ce boulon en développement pourra servir à d'autres usages. La production de masse est une autre étape et des industries existantes se feront probablement un plaisir de le fabriquer. Voila ma façon de voir les chose. Coller une pièce c'est bien mais une procédure de remplacement spatiale doit exister pour assurer un retour sécuritaire sur le plancher des vaches. Il faut donc que la ou les tuiles peuvent être remplacé facilement et aussi sans pollution spatiale.


Rien n'est vraiment simple, et les tolérances nécessaires devront faire l'objet d'une vérification minutieuse. De mémoire le Concorde s'allonge de 6 pouces a cause de la chaleur. Il faut éviter de poser ces tuiles dans l'espace toutefois ci cela est nécessaire ce travail devra être fait rapidement et sans hésitation. Parlant de travail les plans détaillés de la navette sont t-ils dans la navette ou l'ISS ? Je sais cela ressemble a une blague mais je vous assure que cela n'est pas le cas. A quoi pourrait bien ressembler un dispositif anti-pollution pour le remplacement des tuiles ? Désolé je dois vous quitter car j'ai un rendez vous important avec Arnold, ensemble nous travaillons sur les hublots.

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J'ai décider ne pas poursuivre avec ce plan mais je garde la ligne directrice. Pourquoi ? cela est simple je cherche une procédure simple et sécuritaire pour le remplacement des tuiles dans l'espace. Je crois avoir une piste de solution. Cette petite tige de pile me rapelle mes expériences dans le sous-sol de mes parents ou le temps n'existe pas. C'est vrai les matériaux isolants thermiques sous forme de tuile sont fragiles, toutefois il sont facile a coller. Ciment, pate d'amiante, et autres collent très bien ces matériaux. Soumis a ces températures extrèmes je connais pas leurs comportements.  Pour la navette le poid est un des principales problèmes. Plus je la rend robuste et plus son poid sera important. Plus son poid sera important et moins il sera possible de transporter une charge utile. Néanmoins les astronautes ont priorité dans les engins spatiaux habités. Habité ou pas mettre un poid en orbite nécessite des sommes d'argents astronomiques et il n'y a aucune place pour l'erreur. Je crois que diviser une tuile est une piste qu'il est possible d'exploiter. Quel pourcentage d'une tuile thermique est corrompue en phase de rentré atmosphérique ? Chose certaine il devrait rester quelque chose ! Quelle épaisseur est t-il nécessaire d'avoir pour que la colle fasse son travail correctement ? des questions et encore des questions.

D'autres points sont aussi importants, je pense ici aux vibrations, aux sons, et a un matériau support pouvant régler ces problèmes. La fibre d'amiante ou un matériau similaire serait une bonne assise pour ces tuiles.En prime une légere compresssion va permettre de stabiliser le premier manteau thermique. Ce premier manteau peut être fixer solidement car il ne sera pas remplacé a chaque vol. Attention cela ne veut pas dire vérifié, remplacé et vérifié sont des mots différents. Dans l'optique imaginé celui-ci doit avoir un cycle de vie très long et suffisament pour prévoir des travaux sur le deuxième manteau uniquement. Je me sent obligé d'écrire ce texte comme ces petits écureuils que j'ai relocalisé (36 pouces plus loin) sur la piste cyclable. Des bébés paraliser par la peur et qui probablement cherchaient leurs parents. La relocalisation a fonctionné. Un de ces écureils a accepter mon eau et peu de nourriture rapidement et l'autre s'est écarté du bord de piste et semblait ne plus paniquer. Ce n'est pas mes premières expériences avec ces animaux. Je respecte leurs courages particulièrement en danger de froid intense.
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Une partie du bouclier no. 2 travail en cours





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Avant de continuer cette suite de croquis un peu de texte histoire de faire changement. Oui j'ai des solutions de fixations et non je ne connais pas la construction étagée de la navette. Restons simple, les protections A et B peuvent être remplacé de l'extérieur de la navette. Pour le C cela sera peut être différent, même le matériau de fabrication pourrait être différent. Je pense ici à un matériaux un peu plus compacte et plus pesant aussi pour la dernière des trois protections (tuiles) imaginé. Dans l'optique de conception j'imagine que chacune des couches (3) à elles seules sont suffisament résistantes pour une rentré atmosphérique réussi. Toutefois ces trois couches ne doivent pas se détacher de la navette. Il faut prévoir Ti-Vert (sans Gin) lui dirait .. ouin mais si la navette rencontre des clous dans le ciel ca pourrait faire des BOBO.. blague à part une résistance mécanique du bouclier est aussi nécessaire pour la protection de cet engin. Attention je parle ici d'une protection externe et non interne. Je crois que cette protection en plus devrait être incorporé au niveau C du bouclier thermique. Cela ne veut pas dire de faire une protection anti ..crash.. simplement compte tenu qu'il va retenir les couche A et B et que en plus sa duré de vie devrait être la même de la carlingue je crois que ces justifications devraient permettre de prendre les bonne décisions. Je n'ai pas l'intention ici de défendre les différents types de boucliers tel que des coquilles pleines et sans joints, je cible ce que j'imagine vers des tuiles thermiques séparé. Ce qui va être entre cette couche C et la carlingue seule la NASA le sais. Néanmoins je vais me prononcer au non de la sécurité. Vers la fin du document je vais aussi expliquer comment des QI vont essayer de me discriditer et peut être essayer de provoquer des accidents afin de démolir cette ..vision.. cela n'est pas urgent mais cette partie mettra les points sur les ..i.. une fois pour toutes pour ces spécialistes de la démolition.




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Un point d'arrêt,
Ce n'est pas évident ! couches, couleurs, résistances thermiques et mécaniques etc. Mais comme dirait cette chanteuse j'avance.  Pour les couches (3), en contaminant les tuiles par un matériau provoquant une couleur spécifique avec une élévation de température on réalise un instrument d'analyse de situation complètement autonomme. Pourquoi s'ent passé ? Même avec des informations tronquées je continu a me pencher sur la fixation de la tuile C sur l'engin spatial. Plusieurs éléments sont en cause et ces éléments devront faire l'objet d'essais avant la mise en place sur une navette ou autre engin spatial. Il y a un point important sur lequel je ne recule pas, il s'agit de la menbrane entre la tuile C et la carlingue au sens large du terme. Cette membrane est une protection importante autant dans des conditions thermiques anormales que dans l'absortion de chocks mécaniques non prévus. Une mise au point qui est en relation doit être mentionné immédiatement, suite a l'installation de cette  membrane une compression du matériaux d'usine ne doit pas nuire a une tolérance temporelle. Plus clairement des vérifications fréquentes devront être faites suite a l'intallation afin de s'assurer qu'un jeux  non désirable s'installe. Ce point touche aussi l'épaisseur de la membrane et la mémoire du matériau.

Pour la fixation et pour l'instant une fixation directement sur la carlingue est écarté même si cela est possible. Ce n'est pas définitif mais une de ces raisons concerne la protection mécanique. Un encrage des tuiles dans un matériau isolant thermique pourra  permettre un amortissement en cas d'impact. La membrane jumelé a cet encrage pourra agir comme un ressort mécanique permettant ainsi une protection supplémentaire de la tuile C. Les spécialistes de ces engins savent comment étagé les températures du bouclier et c'est a eux de prendre ces décisions toutefois la recherche et le développement nous obligents a considérer cette analyse. Pour l'intant je garde les trois (3) couches des tuiles, une présence de couleurs dédiées pour chacune des couches et finalement une membrane séparatrice entre la tuile C et la carlingue. La fixation est encore en cours de réflextion. J'imagine qu'une mousse isolante d'expension avec des paramètres de résistances thermiques existent même si ce produit n'est pas en vente libre. Le croquis ci-dessous résume la limite de cette analyse.



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Le matériau de coulé, en métal ou composite ? En supposant que les balises de températures de la mousse isolante sont accepté pour l'espace je crois qu'un matériau composite serait plus adapté qu'un métal pour la pièce de coulée. Ce qui va suivre est pure supposition. Une pièce de métal va se dilater et se contracter sous l'effet de températures extrèmes. Normalement cela ne devrait pas arriver puisque cette pièce est enrobé d'isolant. Isolant ou non n'importe quels matériaux à l'ombre va abaisser sa température pour atteindre celle de son environnement. Est t-il possible que l'union isolant métal soit perturbé par des variations extrèmes ? Je ne sais pas, mais en revange un matériau composite ne subit pas ou moins ces variations de dimensions. Je peux me tromper et je n'ai pas cette expertise de l'espace, néanmoins je sais que d'autres que moi se sont posé ces questions. Pour l'instant je garde préférentiel le matériau composite. Je ne peux rien faire de plus sur ce sujet pour l'instant. (couler, coulé, coulée, ???). Un matériau composite va t-il se briser à -270 degrées centigrades ?

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Imaginons un changement de tuiles dans l'espace. Pour des raisons inconnues une tuile A est partiellement brisée et la tuile B sous celle-ci est abimée. Une préoccupation importante devra évidemment consister à remplacer des tuiles mais aussi en absence de pollution spatiale. Un cylindre flexible d'un diamètre de 2 pieds devra adhérer aux tuiles sous la navette. Celle-ci devra avoir les tuiles orienté au soleil (?). Le cylindre anti-pollution devra être transparent afin de voir les manipulations des tuiles. Des ouvertures de types diaphragmes ou autres devra permettre aux astronautes de passer les 2 mains séparément. Une de ces ouvertures devra être centrée afin de permettre aux outils de travailler en ligne droite sur les tuiles.

Au moins deux outils devront être utilisé, un extracteur de tuiles et aussi une mèche de rotation pour dévisser la tuile B. Ces outils devront passer dans les trous des mains et les ouvertures flexibles devront se refermer sur eux afin d'éviter une pollution de particules. Ce texte fantaisiste implique que des rainures sont présentes sous la tuile A. Imaginons 4 de ces rainures en X avec un point centrale permettant d'insérer le bout de l'extracteur de tuiles. Réaliste ou non ce petit scénario ? Et si la tuile A avait un dessous robuste ? Un souvenir de plage. Il était une fois un débris de mer ancré profondément dans le sable, il était impossible de sortir ce débris verticalement. La succion du sable et de l'eau retenai fortement ce débris. Une force légère et progressive seulement à un bout de ce débris à permis de le sortir de son emplacement sans forcer. Cette petite histoire touche la conception de cet outil. Au moins deux forces séparées devront être appliqué sur la tuile pour l'extraire. Une possibilité de tirer à angle doit être envisagé.

Attention il ne doit pas  y avoir de débris sous les nouvelles tuiles. Un aspirateur avec un fonctionnement sans air ? ou une injection d'air pour faire fonctionner l'aspirateur ? Ce texte est dédié en premier aux pilotes pour ceux et celles qui n'ont pas encore deviné, imaginons que cet aspirateur à fait son travail. Il reste le remplacement de la tuile B. Celle-ci devra être dévissé aspiré ci-nécessaire et remplacé. Réaliste ou non ? il s'agit d'une nouvelle technique de travail spatiale.

a suivre, 

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Oui ce croquis n'est pas complet et non je ne travaille pas pour la NASA enfin pas directement. Ceci étant clarifié que pensez vous de cette nouvelle idée ? Un simple boîte pour changer des tuiles thermiques. Cette boîte est peut être plus utile que vous pensez. Une caméra avec lumière permettera de prendre des décisions en différé, images transmissibles au sol, dans la navette, ou encore à la SSI (station spatiale internationalle). J'ai cru bon d'ajouter un petit couvert dévissable pour une alimentation long terme au cas ! Et pourquoi ne pas concevoir cette boîte à outils comme une aide générale pour différentes réparations.
Je ne peux prendre aucune de ces décisions car des données sont manquantes. Néanmoins cela ne m'empèche pas de réfléchir. De petits velcros réparties sur le surface intérieur vont permettre de maintenir les outils en place lorsque non utilisé et aussi faire place à la caméra. À mon avis cela vaut la peine. En terminant l'idée d'injecter un gaz et d'utiliser un aspirateur comme mesure anti-pollution est un brevet (BADAM-A Pierre Michaud, PMI). Voila la fin approche de cette dérivation et j'espère avoir contribué à l'amélioration de la sécurité spatiale.



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Let's start with the IQs, on March 24, 2024 after modifying my sketch on the thermal balance of the space shuttle I was treated to several computer anomalies at the Mc-Donald's in St-Jérôme. These anomalies prevented me from updating this file (revision-1). In all likelihood an overload of my transfer site and repeated wi-fi interruptions were responsible of these transmission failures. The CRTC was notified of these criminal actions in the afternoon of the same day.

Now that the table has been set, I am neither a shuttle specialist nor a pilot of this machine. However, I am not going back, Space is not the environment of science fiction films where people jump into the void without protection to fly from one machine to another. Just leaving the earth is a feat of courage that surpasses all we know of human will and bravery. So, these publications are primarily aimed at space engineers who care about the safety of the men and women who go into this environment. The thermal balance of a spacecraft is not simple, its position in relation to cosmic rays changes and designing a perfect craft is still a dream for now. The extreme conditions of space require measurements and reflections that go in the same direction. As Mrs. Lara Fabian would say, I have a new perspective, that doesn't mean it's good, it means it's virgin and free from all constraints. This is my only advantage in this closed world where for the moment I have access to nothing. One day this may change.

I am currently wondering about the fixing of the RC (cosmic ray) windows. How are the existing ones on the shuttles fixed? How thick are these windows? Is electrical polarization possible to limit the RC? One thing is certain, they exist and by all appearances are doing their job. The Concorde supersonic aircraft was manufactured using a process that requires a minimum of connecting joints. The opening of the windows was engineered directly into the cabin. Is it the same for the shuttle? Some people may think that I only have questions at the moment, but that is not the case. According to my understanding this supersonic plane was flying at the edge of... space... and probably required less protection from cosmic rays than the shuttle. All these paragraphs are linked, however, a bit like the children's section, I invite you to simply listen to his music before continuing. The only pressing thing at the moment and for me are my children (here).

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What will the sequel consist of? Well it looks like this part will be longer than expected. The underside of the shuttle is made of heat-refractory material. On the Internet I noticed that in several images this part is black. The black absorbs the heat and the refractory bricks insulate the top of it. This is probably NASA's choice for a full sun orientation of the underside of the shuttle. It is clear that the thermal balance of the shuttle oriented in this way will be different than that oriented in its opposite direction. Please note, I am not criticizing anything here, important choices taking into account space and atmospheric reentry were made and I have no qualification or information allowing me to judge this. However, I’m still not going back! When I talk about thermal equilibrium I am talking about it as being a static element. In this machine there is certainly heating allowing the astronauts to dress normally and work easily. But this involves energy expenditure, equipment wear, and a high level of safety in the event of a malfunction. I believe it is important to make this clarification. This little document that I am writing is not to send men into space, that has already been done but I continue to believe that I can make a small difference. If this is not the case I will end this section immediately.

Looking at images on the Internet I wondered if transparent or translucent refractory ..bricks.. (an expression) exist. Stone, silica, sand, glass, specialized glass all have points in common, they are thermal insulators to more or less different degrees. Would it be possible to make transparent refractory bricks and use the concept explained on one of my plans as a thermal regulator? I could be wrong but I think so. There is probably an army of engineers who have worked and are still working on this delicate point of shuttle safety, I am obliged to forbid myself from not publishing what I think, the reason is very simple, this is directly related to security. I continue to believe that it is possible to obtain a superior static thermal balance thanks to this patent, the VMSD. This morning I thought at length about experimenting with static thermal control of the shuttles and believe I have interesting and realistic ideas for a test schedule.

The shuttle windows according to us must be square or rectangular with rounded corners. Please note this paragraph is directly related to safety and tests projected in space. Why this specific shape? asked NASA, they should answer you. In the meantime, consider this form as absolute when Pierre Michaud or PMI talk about the windows of space shuttles. Some music. This is not linked to this document. However, it is with the kidnapping of my children (here).

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Next, how can we define elements related to security and that can influence the design? A simple answer is the project bulletin. The table below illustrates two aspects. The first is what is important (in short) in the porthole file and the second is related design elements. Project bulletin by element. Please be indulgent, this table was created quickly and left and right elements can be relocated. Yes there is a direct link with the VMSD. I am currently planning possible points for testing, and no I am not the boss of this team for bad language. As this is a security file I thought it would be good to refer this singer who, more than 40 years old, still impresses me while waiting for the sequel (here).

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Assuming it is possible to have transparent thermal tiles, the back of the shuttle could be a possible location for temperature testing. I'm talking here about the part that opens to transport a payload. According to my understanding, it is one of the parts which receives the least thermal stress during re-entry into the atmosphere and given that the cockpit windows are resistant, I do not see why it would be otherwise for this experimental device. I imagine double or triple protection for this window with the possibility of removing one of the parts (interior) in the space for testing. Three windows distributed and oriented differently could be sufficient in our opinion to draw the lines of behavior necessary for preliminary thermal calculations of the thermal balance of the shuttle. This point was chosen to avoid a spacewalk for the astronauts. For the moment I assume that this part can be habitable but I could be wrong. This experiment is very important because it alone could serve as a starting point for all objects likely to go into space. Here I am not only talking about spacecraft but also future constructions directly in space, and this challenge is even worse than the first man who left the earth for the stars. One day or another these constructions will take place and it is better to plan these spatial behaviors before the work. For those who find it funny you can laugh now it's time.

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Would it be possible to build spacecraft like boats? Let's imagine an out-of-service shuttle that we are going to use as a mold with a single central joint. When building a canoe, only one person is needed to complete all the construction steps. For a shuttle, let's multiply this number by 100 with a smooth order of work. According to our understanding the lamination of the different materials used could be of higher quality using this technique. Some people will laugh at me right now and that's their right, but I immediately respond, if you are not able to imagine these works how do you think you are capable of building in space? The only thing that changes for the shuttle is the dimensions of the parts and nothing else with this technique. Possibility with this technique to securely fix the replaceable thermal tiles. Well it's time for some music (here) and Arnold also needs to prepare for his audition.

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It is now time to question the roles of the different cabin manufacturing materials. I know, what is he involved in? I ask myself this same question for the government. For thermal protection tiles this has already been identified. But why aluminum, carbon fiber, composite landing gear materials, etc.? A simple question, what is most important in a shuttle is? its occupants. Radiations exist for real. On a beach, a pretty girl in scanty clothing gets sunburned. This sunburn is caused by radiation attenuated by the atmosphere. Now imagine there is no atmosphere? 100% of solar radiation passes through space until it encounters an obstacle. I have read a lot on the subject and I cannot completely endorse what I am going to write, anyway I will do my best. Some rays emitted by the sun pass through metal, so radiation protection is essential for astronauts. We will return to this point later. For now let's talk about metal. A primary role is important mechanical protection to keep the different parts of the shuttle in place. Let's just think about the rear rockets which generate astronomical thrust. Another role of the metal of the cabin is protection in the event of impact(s). Before perforating, the metal will deform by absorbing part of the energy of the collision, and I imagine that we can all agree that this is more for this machine. Aluminum is also lightweight and has significant heat transfer properties without being at the top of the list. A machine made of 100% composite materials of equivalent thickness would resist less than aluminum in the event of an impact, in our opinion. This material is also used as a heat sink in electronics. Iron in comparison has none of these thermal properties in addition to significant weight. From memory 3 types of rays coming from the sun are classified in order of danger for humans. One of these passes through the aluminum. Additional protection is therefore essential to protect humans in space. I'm going to read up on the subject again but it seems that plastic materials can stop these damaging rays for humans (for women too). For those who are wondering where I am heading the answer is simple...towards construction... Anyway, how to prepare this famous space sandwich ? In closing this paragraph just one last point. It is probable that near the earth in orbit that the temperature is not -270 degrees C. The earth emits heat and this heat can modify the temperature of the nearby space (reference in kM). However, -270 degrees C or more is a guarantee of security that must be retained for future calculations.

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Given that this device is experimental, let us continue our analysis in the same direction. A simple resistance test. Take a battery type A remove the carbon rod and break it with your hands. This is a component with a very high percentage of carbon. Exactly I don't know. However, in my opinion, this material is still too weak to hold a thermal tile securely. Now imagine a carbon alloy bolt with metal doping (poor thermal conductors) at 50%, 60% or other. You will build a thermal bolt. A simple mold for testing a hot and doped liquid material and voila you have your bolt. All that remains is to do the thermal tests. The thermal conductivity of this bolt will depend on the doping and as another parameter its mechanical resistance proportional to this same doping. It's worth going through this step before tackling the heat shield directly. The space shuttle does not have a monopoly on spacecraft and this bolt in development could be used for other uses. Mass production is another step and existing industries will likely be happy to manufacture it. This is my way of seeing things. Gluing a part is good but a spatial replacement procedure must exist to ensure a safe return to the cow floor. It is therefore necessary that the tile(s) can be replaced easily and also without spatial pollution.

Nothing is really simple, and the necessary tolerances will need to be carefully checked. From memory, the Concorde lengthened by 6 inches because of the heat. You should avoid laying these tiles in the space, however if it is necessary this work should be done quickly and without hesitation. Speaking of work, are the detailed plans of the shuttle in the shuttle or the ISS? I know this sounds like a joke but I assure you it is not. What could an anti-pollution device for replacing tiles look like? Sorry I have to leave you because I have an important meeting with Arnold, together we are working on the portholes.

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I decided not to continue with this plan but I kept the guideline. For what ? This is simple, I am looking for a simple and safe procedure for replacing tiles in the space. I think I have a possible solution. This little battery rod reminds me of my experiences in my parents' basement where time did not exist. It's true that thermal insulating materials in the form of tiles are fragile, however they are easy to glue. Cement, asbestos paste, and others bond these materials very well. Subjected to these extreme temperatures, I don't know their behavior. For the shuttle, weight is one of the main problems. The more robust I make it, the greater its weight will be. The greater its weight, the less it will be possible to transport a payload. However, astronauts have priority in manned spacecraft. Manned or not, putting a weight into orbit requires astronomical sums of money and there is no room for error. I believe that dividing a tile is an avenue that can be exploited. What percentage of a thermal tile is corrupted during atmospheric re-entry ? One thing is certain, there should be something left! How thick is it necessary for the glue to do its job correctly ? questions and more questions.

Other points are also important, I am thinking here of vibrations, sounds, and a support material that can solve these problems. Asbestos fiber or a similar material would be a good base for these tiles. As a bonus, a slight compression will help stabilize the first thermal coat. This first coat can be fixed securely because it will not be replaced on each flight. Please note this does not mean verified, replaced and verified are different words. From the perspective imagined, this must have a very long life cycle and enough to plan for work on the second coat only. I feel obliged to write this text like these little squirrels that I relocated (36 inches further) on the cycle path. Babies paralyzed by fear and who were probably looking for their parents. The relocation worked.

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Before continuing this series of sketches, a little text to make a change. Yes I have fixing solutions and no I do not know the stepped construction of the shuttle. Let's keep it simple, protections A and B can be replaced from outside the shuttle. For the C it may be different, even the manufacturing material could be different. I am thinking here of a material that is a little more compact and heavier also for the last of the three protections (tiles) imagined. From a design perspective I imagine that each of the layers (3) alone are sufficiently resistant for successful atmospheric reentry. However, these three layers must not detach from the shuttle. We must anticipate Ti-Vert (without Gin) would tell him... yes but if the shuttle encounters nails in the sky it could cause BOBO... joke apart a mechanical resistance of the shield is also necessary for the protection of this machine. Please note I am talking here about external protection and not internal protection. I believe that this additional protection should be incorporated into level C of the heat shield. This does not mean providing anti-crash protection, simply given that it will retain layers A and B and that in addition its lifespan should be the same as the cabin, I believe that these justifications should allow to make the right decisions. I do not intend here to defend the different types of shields such as solid and seamless shells, I am targeting what I imagine towards separate thermal tiles. What will be between this C layer and the cabin only NASA knows. However, I will speak out in favor of security. Towards the end of the document I will also explain how QIs will try to discredit me and perhaps try to cause accidents in order to demolish this...vision...this is not urgent but this part will put the dots on the... i.. once and for all for these demolition specialists.

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A stopping point,
This is not obvious ! layers, colors, thermal and mechanical resistance etc. But as this singer would say, I'm moving forward. For layers (3), by contaminating the tiles with a material causing a specific color with an increase in temperature, we create a completely autonomous situation analysis instrument. Why did this happen? Even with truncated information I continue to focus on fixing tile C on the spacecraft. Several elements are involved and these elements will have to be tested before installation on a shuttle or other spacecraft. There is one important point on which I am not backing down, it is the membrane between tile C and the cabin in the broad sense of the term. This membrane provides important protection both in abnormal thermal conditions and in the absorption of unforeseen mechanical shocks. A related adjustment must be mentioned immediately, following the installation of this membrane, compression of the factory materials must not harm a temporal tolerance. More clearly, frequent checks should be made following installation to ensure that an unwanted game is installed. This point also affects the thickness of the membrane and the memory of the material.

For fixing and for the moment fixing directly on the cabin is ruled out even if this is possible. This is not definitive but one of these reasons concerns mechanical protection. Inking the tiles in a thermal insulating material can provide cushioning in the event of an impact. The membrane paired with this anchoring can act as a mechanical spring, thus allowing additional protection of the tile C. The specialists of these machines know how to level the temperatures of the shield and it is up to them to make these decisions, however the research and development force us to consider this analysis. For the moment I am keeping the three (3) layers of tiles, a presence of dedicated colors for each layer and finally a separating membrane between tile C and the cabin. The fixing is still being considered. I imagine that an insulating expansion foam with thermal resistance parameters exists even if this product is not over the counter. The sketch below summarizes the limitation of this analysis.

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The casting material, metal or composite?
Assuming that the insulating foam temperature ranges are accepted for the space I believe that a composite material would be more suitable than a metal for the casting. What follows is pure speculation. A piece of metal will expand and contract under the influence of extreme temperatures. Normally this should not happen since this part is coated in insulation. Insulating or not any material in the shade will lower its temperature to reach that of its environment. Is it possible for the metal insulating union to be disrupted by extreme variations? I don't know, but on the other hand, a composite material does not undergo these dimensional variations or less. I could be wrong and I don't have this expertise in space, however I know that others besides me have asked these questions. For the moment I prefer the composite material. There is nothing more I can do on this matter at this time.

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BADAM-A Pierre Michaud, PMI

Let's imagine a change of tiles in space. For unknown reasons, tile A is partially broken and tile B below it is damaged. An important concern will obviously consist of replacing tiles but also in the absence of spatial pollution. A flexible cylinder with a diameter of 2 feet should adhere to the tiles under the shuttle. This must have the tiles facing the sun (?). The anti-pollution cylinder must be transparent in order to see the handling of the tiles. Diaphragm or other type openings should allow astronauts to pass both hands separately. One of these openings must be centered to allow the tools to work in a straight line on the tiles.

At least two tools must be used, a tile extractor and also a rotation bit to unscrew tile B. These tools must pass through the hand holes and the flexible openings must close on them in order to avoid particle pollution . This fanciful text implies that grooves are present under tile A. Let's imagine 4 of these X-shaped grooves with a central point allowing the tip of the tile extractor to be inserted. Realistic or not this little scenario? What if tile A had a sturdy underside? A beach memory. Once upon a time there was a sea debris anchored deep in the sand, it was impossible to remove this debris vertically. The suction of the sand and water strongly retained this debris. A light and progressive force only at one end of this debris made it possible to remove it from its location without forcing. This little story concerns the design of this tool. At least two separate forces will need to be applied to the tile to extract it. A possibility of shooting at an angle should be considered.

Be careful there must be no debris under the new tiles. A vacuum cleaner with airless operation? or an injection of air to operate the vacuum cleaner? This text is dedicated first to pilots for those who have not yet guessed, let's imagine that this vacuum cleaner has done its job. There remains the replacement of tile B. This will have to be unscrewed, vacuumed as necessary and replaced. Realistic or not? This is a new spatial work technique.

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Yes this sketch is not complete and no I do not work for NASA, well not directly. This being clarified, what do you think of this new idea? A simple box for changing thermal tiles. This box may be more useful than you think. A camera with light will make it possible to make delayed decisions, images transmitted to the ground, in the shuttle, or even to the ISS (international space station). I thought it would be good to add a small unscrewable cover for long-term feeding just in case! And why not design this toolbox as a general aid for various repairs. I can't make any of these decisions because data is missing. However, that doesn't stop me from thinking. Small velcros distributed on the interior surface will keep the tools in place when not in use and also make room for the camera. In my opinion it is worth it. Finally, the idea of injecting a gas and using a vacuum cleaner as an anti-pollution measure is a patent (BADAM-A Pierre Michaud, PMI). This is the end of this diversion and I hope to have contributed to improving space security.




  

12.0 Varia

Pourquoi cette section ?

Simplement parce que entre prendrent des informations sans les réfléchir n'est pas mon style. Ce n'est pas une insulte pour les liens externes de ce document au contraire pour écrire ce document je me base sur données vérifié par d'autres, mais pas sur toute la ligne. Je me suis fais un petit velours a moi même lorsque que j'ai vue le bouclier conique d'un satellite explorateur du soleil. J'avais compris son rôle au début de ma première page PDF. Rassurez vous ce n'est pas encore fini la question que je me pose maintenant est sur les champs magnétiques et leurs comportements dans l'espace. Rien de plus intéressant de voir deux aimants dans une éprouvette se repousser sans qu'il y ait contact. Une force invisible est responsable de cette action. Bien sur il serait plus facile d'expliquer la douce attraction entre une certaine chanteuse et ...... toutefois je garde pour moi la suite.

Ce comportement (aimants) est t-il le même dans l'espace que sur la terre ? la distance de répulsion est t-elle identique ? à l'ombre ou en soleil y a t-il une différence ? sur terre nous pouvons tous et toutes réaliser cette expérience qui ne coûte presque rien et répondent partiellement a ces questions. Cette recherche de base nous amènent aussi a se poser des questions sur les particules élémentaires de la physique. Certaines parties de l'espace ne peuvent être vide les météorites en sont une preuve. En admettant cela, la présence de particules de plus petits diamètres est plus que probable. Il pourrait une différence de l'espace qui sépare ces deux aimants en fonction de la température. La gravité terrestre est aussi un facteur mais je crois qu'il est possible d'en tenir compte en proposant une suite d’expériences basée sur les limites. Dans ce cas cela veut simplement dire de modifier la puissance des champs, la forme des aimants et aussi le type de matériau magnétique. Si une partie des particules de l'espace sont magnétiques théoriquement la température devrait avoir un effet directe sur la force de répulsion. Pourquoi ?  Il s'agit simplement du principe des supers conducteurs. Un objet métallique magnétisable plongé dans de l'azote liquide va multiplier sa force magnétique de nombreuses fois simplement par cette action. Serait t-il possible de répondre a la question du vide spatial par cette expérience ? Voilà vous connaissez maintenant le rôle de cette section ..VARIA…



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Il y aurait aussi une autre façon pour les particules, une surface électrostatique comparable aux échangeurs d'air sur terre. J'imagine que cela devrait fonctionner, toutefois sans discrimination de particules métalliques ou non.  Je voulais aussi dire à mes anciens professeurs du CEGEP Ahuntsic que de légères modifications cet appareil (mesure de la gravité) pourrait facilement mesurer la force d'un champs magnétique et en contrôle de qualité mettre les données sur papier (BADAM-P ?). Merci à tous pour votre enseignement et particulièrement au professeur de physique. Un dernier commentaire qui résume, le froid de l'espace combiné à une particule magnétique va agir comme amplificateur de déplacement.

Pierre Michaud, PMI
Ce 26 février 2024 09:46h heure du Québec.


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En lien,

Il y a très longtemps sur la rue Clark du salon de mes parents j'ai vue un transformateur de rue en feu. Mais quel rapport ? Ce transformateur était vert foncé. Une couleur qui réchauffe les pièces de métal lorsque exposé aux rayons du soleil. De quelle couleurs sont t-il maintenant dans les zones a forte population ? Non il n'y aura pas de délais pour la réponse cette fois, gris pale. Une couleur qui absorbe que très peu les rayons du soleil (rayons solaires). Pour les transformateurs l'ennemi numéro un n'est pas le froid mais la chaleur. Il m'est impossible d'affirmer que c'est cette couleur qui est responsable de ce feu, plusieurs causes sont possibles toutefois le changement de couleur est une amélioration technique importante ayant comme conséquence l'amélioration de la vie du transformateur. Voila comment une simple couleur peut faire une si grande différence (merci).



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Texte à venir


Un petit moment de détente (ici). Pour les crétins je le répète non je ne suis pas une menace (BADAM-INFO: AD-ASTRA le film) et un autre petit moment pour l'ISS (ici).


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Une forme, un équilibre thermique et plusieurs utilisations


Liens importants:

(1)    Informations sur les réservoirs du dossier des navettes
(2)    Informations sur le réservoir externe













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