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Commençons par les QI,
le 24 mars 2024 après avoir modifié mon croquis sur
l'équilibre thermique de la navette spatiale j'ai eu droit
à plusieurs anomalies informatiques au Mc-Donald's de
St-Jérôme. Ces anomalies m'ont empèché de
faire une mise a jour de ce fichier (révision-1). Selon
toute vraisemblance une surcharge de mon site de transfert et des
interruptions de wi-fi à répétition ont
été responsables de ces échecs de transmissions. Le CRTC à
été avisé de ces actions criminelles dans
l'après midi de cette même journée.
Maintenant que la table à été mise je ne suis ni
un spécialiste de la navette ni un pilote de cet engin.
Toutefois je ne recule pas, L'espace n'est pas le milieu des films de
science-fiction ou les personnes s'élancent dans le vide sans
protection pour voler d'un engin a un autre. Juste quitter la terre est
un exploit de courage qui dépasse tous ce que nous connaissons
de la volonté et bravoure humaine. Alors, ces publications
s'adressent en premier aux ingénieurs de l'espace qui ont
à coeur la sécurité des hommes et femmes qui vont
dans ce milieu. L'équilibre thermique d'un engin spatial n'est
pas simple, sa position par rapport au rayons cosmiques change et
concevoir un engin parfait est encore un rève pour l'instant.
Les conditions extrèmes de l'espace demande des mesures et des
réflextions qui vont dans le même sens. Comme dirait mme
Lara Fabian j'ai un regard neuf, cela ne veut pas dire qu'il est
bon cela veut dire qu'il est vierge et libre de toutes contraintes.
C'est la mon seul avantage dans ce monde fermé ou pour l'instant
je n'ai accès à rien. Un jour cela va peut être
changé.
Je m'intérroge pour l'instant sur la fixation des
fenètres RC (rayons cosmiques). Comment celles existantes sur
les navettes sont t-elles fixé ? Quel épaisseur ces
fenètres ont t-elles ? Une polarisation électriques est
t-elles possibles pour limiter les RC ? Chose certaine elles existent
et selon toutes apparences font leurs travail. L'appareil supersonique
le Concorde à été fabriqué selon un
procédé qui nécessite un minimum de joints de
raccord. L'ouverture des fenètres à été
machiné directement dans la carlinge. En est t-il de même
pour la navette ? Des personnes vont peut être croirent que je
n'ai que des questions pour l'instant, ce n'est pas le cas. Selon ma
compréhension cet avion supersonique volait à limite de
..l'espace... et probablement nécessitait moins de protection
pour les rayons cosmiques que la navette. Tous ces paragraphes sont en
lien, toutefois un peu comme la section enfants je vous invitent a
simplement écouter sa musique avant la suite. La seule chose qui
presse pour l’intant et pour moi ce sont mes enfants (
ici).
AT01260320241310
En quoi va consister la suite ? Bien il semble que cette partie sera
plus longue que prévue. Le dessous de la navette est en
matière réfractaire de la chaleur. Sur Internet j'ai
remarqué que sur plusieurs images cette partie est noir. Le noir
absorbe la chaleur et les ..briques.. réfractaires isole le
dessus de celle-ci. Il s'agit probablement du choix de la NASA pour une
orientation plein soleil du dessous de la navette. Il est clair que
l'équilibre thermique de la navette orienté de cette
façon sera différente que celle orienté à
son opposé. Attention je ne critique rien ici, des choix
importants tenant en compte l'espace la rentré
atmosphérique ont été fait et je n'ai aucune
qualification ou information me permettant de juger cela. Toutefois je
ne recule toujours pas ! Lorsque je parle de l'équilibre
thermique je parle de celle-ci comme étant un
élément statique. Dans cet engin il y a surement du
chauffage permettant aux astronautes de se vétir normalement et
de travailler aisément. mais cela implique une dépense
énergétique, des usures d'équipements, et
niveau de sécurité élevé
en cas de disfonctionnement. Je crois important de faire cette mise au
point. Ce petit document que j'écris n'est pas pour envoyer des
hommes dans l'espace, cela est déja fait mais je continu
à croire que je peux faire une petite différence, si cela
ne serait pas le cas je mettrais fin à cette section
immédiatement.
En regardant des images sur Internet je me suis demandé si des
..briques.. (une expression) réfractaires transparentes ou
translucides existent. La pierre, la silice, le sable, la vitre, les
vitres spécialisées ont tous des points en commeu, se
sont des isolants thermiques a plus ou moins différents
degrées. Serait t-il possible de fabriquer des briques
réfractaires transparentes et utiliser le concept expliquer sur
un de mes plans comme régulateur thermique ? Je peux me tromper
mais je pense que oui. Il y a probablement une armée
d'ingénieurs qui a travaillé et travaillent encore sur ce
point délicat de
la sécurité des navettes, je suis dans l'obligation de m'interdire la non publication de ce que je pense, la raison est fort simple, cela est
en relation directe avec la sécurité.
Je continu a croire qu'il est possible d'obtenir un équilibre
thermique statique supérieur grace à ce brevet, le
VMSD. Ce matin j'ai réfléchie longuement à
l'expérimentation du contrôle thermique statique des
navettes et croient détenir des pistes intéressantes et
réalistes d'un calendrier des essais.
Les fenètres de la navettes, selon nous elles doivent être
de formes carrés ou rectangulaires avec les coins
arrondies. Attention ce paragraphe
en lien directe avec la sécurité
et des essais projeté dans l'espace. Pourquoi cette forme
spécifique ? demandé à la NASA celle-ci devrait
vous répondrent. En attendant considérer cette forme
comme absolue lorsque que Pierre Michaud ou PMI parlent des
fenètres des navattes spatiaux.
AT02260320241830
La suite, comment définir des éléments
relié à la sécurité et pouvant influencer
sur la conception ? Une réponse simple est le bulletin de
projet. Le tableau ci-dessous illustre deux volets. Le premier est ce
qui est important (en bref) dans le dossier des hublots et le second
des éléments de conception relié. Bulletin
de projet par élément. Soyez indulgents ce tableau a
été réalisé rapidement et des
éléments gauche droite peuvent être
relocalisé. Oui il y a un lien direct avec le VMSD. Je
planifie en ce moment des points possibles pour les essais, et non je
ne suis pas le patron de cette équipe pour les mauvaises
langues. Comme il s'agit d'un dossier de sécurité j'ai
cru bon de référer cette chanteuse qui voila plus de 40
ans m'impresionne toujours en attendant la suite (
ici).
ÉLÉMENTS DU BULLETIN DE PROJET
1 Sécurité d'utilisation
2 L'équilibre thermique
3 Sécurité de remplacement
4 Polyvalence de déplacement
5 Facilité de remplacement
6 Adaptation du milieu (absortion)
7 Forme(?)(s)
8 Autres utilités relié aux instruments
9 Autres utilités relié aux urgences (correction rapide et sécuritaire)
10 Autres utilités relié aux expériences
11 Un affichage d'intruments par canon peut être utile, oui ou non ?
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ÉLÉMENTS DE CONCEPTION
1 Hublots simple, double, ou triple ?
2 Insertion par l'intérieur ou l'extérieur
3 Joint (?) étanche de quelle type ? métal mou, ou autre
4 Les problèmes de buées ? delais de production sans chauffage (norme ?) et ou procédure
5 Une compatibilité ISS actuelle ou futur est t-elle envisagable ?
6 Acceptation du % des reflets (a définir)
7 % de résistance mécanique par rapport a la carlingue (100% 125% autre ?)
8 Finition intérieur (support magnétique ? plastique ? à angle ou droit ? )
9 Salubrité facilité et fréquence
|
AT01280320241102
En supposant qu'il est possible d'avoir des tuiles thermiques
transparentes, le dos de la navette pourrait être un endroit
possible pour des essais de températures. Je parle ici de la
patie qui s'ouvre pour transporter une charge utile. Selon ma
compréhension c'est une des parties qui reçoit le moins
de stress thermique lors de la rentré dans l'atmosphère
et compte tenu que les hublots du poste de pilotage résiste je
ne vois pas pourquoi il en serait autrement pour ce dispositif
expérimental. J'imagine une double ou triple protections pour
cette fenètre avec la possibilité de retirer une des
parties (intérieur) dans l'espace pour les essais. Trois
fenètres réparties et orienté différament
pourrait être suffisant selon nous pour tirer les lignes de
comportement nécessaire aux calculs thermiques
préliminaires de l'équilibre thermique de la navette. Ce
point a été choisi afin d'éviter une sortie
spatiale aux astronautes. Pour l'instant je prend comme aqui que cette
partie peut être habitable mais je peux me tromper. Cette
expérience est très importante car a elle seule pourrait
servir de point de départ pour tous objets suceptibles d'aller
dans l'espace. Ici je ne parle pas seulement des engins spatiaux mais
aussi de futurs constructions directement dans l'espace, et ce
défie est encore pire que le premier homme qui a quitté
la terre pour les étoiles. Un jour ou l'autre ces constructions
auront lieu et il vaut mieux prévoir ces comportements spatiaux
avant les travaux. Pour ceux et celles qui trouvent ça
drôle vous pouvez rire maintenant c'est le temps.
AT02280320241120
Serait t-il possible de construire des engins spatiaux comme des
canots ? Imaginons une navette hors service que nous allons utiliser
comme moule avec un seul joint centrale. Lorsque que l'on fabrique un
canot une seule personne est nécessaire pour réaliser
toutes les étapes de construction. Pour une navette multiplions
ce nombre par 100 avec un ordre des travaux sans bavure. Selon notre
compréhension le laminage des différents matériaux
utilisé pourrait être de qualité supérieur
en utilisant cette technique. Des personnes vont rirent de moi en ce
moment et c'est leurs droits, mais je réplique
immédiatement, si vous n'ête pas capable d'imaginer ces
travaux comment pensez vous être capable de construire dans
l'espace ? La seule chose qui change pour la navette c'est les
dimensions des pièces et rien d'autre avec cette technique. Bon
il est temps d'un peu de musique (
ici) et il faut aussi que Arnold se prépare pour son audition.
AT03280320241634
Il est maintenant temps de s'interroger sur les rôles des
différents matériaux de fabrication de la carlingue. Je
sais, de quoi se mèle t-il ? je me pose cette même
question pour le gouvernement. Pour les tuiles de protection thermique
cela est déja identifié. Mais pourquoi l'aluminium, la
fibre de carbone, les matériaux composite du train
d'atterissage, etc ? Une question simple, ce qui est
le plus important dans une navette est ? ses occupants.
Les radiations existent pour le vrai.
Sur une plage ou sur un quai une jolie fille en petite tenue attrape un
coup de soleil. Ce coup de soleil est causé par les
radiations atténué par l'atmosphère.
Imaginez maintenant qu'il n'y a pas d'atmosphère ? 100% des
radiations solaires traversent l'espace jusquau moment ou ils
rencontrent un obstacle. J'ai lu beacoup de chose sur le sujet et je ne
peux endosser complètement ce que je vais écrire, enfin
je vais faire de mon mieux. Certains rayons émis par le soleil
traversent le métal, une protection de radiations est donc
indispensable pour les astronautes. Nous allons revenir sur ce point
plus loin. Pour l'instant parlons du métal. Un premier
rôle une protection mécanique importante pour maintenir en
place les différentes parties de la navette. Pensons simplement
au fusées arrières qui génèrent des
poussés astronomiques. Un autre rôle du métal de la
carlingue est la protection en cas d'impact(s). Avant de se perforer le
métal va se déformer en assorbant une partie de
l'énergie de la collision, et j'imagine que nous sommes tous
d'accord pour dire que cela est plus pour cet engin. L'aluminium est
aussi léger et possède des propriétés de
transfert de chaleur importante sans être en tête de liste.
Un engin composé à 100% de matériaux composites en
épaisseur équivalent résisterait moin bien que
l'aluminium en cas d'impact selon nous. Ce matériaux est aussi
utilisé comme dissipateur de chaleur en électronique. Le
fer en comparaison n'a aucune de ces propriétés
thermiques en plus d'un poid important. De mémoire 3 types de
rayons en provenance du soleil sont classé par ordre de danger
pour les humains. Un de ceux-ci traverse l'aluminium. Une protection
supplémentaire est donc essentiel pour protéger les
humains dans l'espace. Je vais relire sur le sujet mais il semble que
les matières plastiques peuvent stopper ces rayons dommagables
pour l'homme (pour les femmes aussi la ). Pour ceux et celles qui
se demandent ou je me dirige la réponse est simple ..vers la
construction... En berf comment préparer ce fameux sandwich
spatial ? En terminant ce paragraphe juste un dernier point. Il est
probable que près de la terre en orbite que la
température ne soit pas a -270 degrés C. La terre
émet de la chaleur et cette chaleur peut modifier la
température de l'espace a proximité
(référentiel en kM). Toutefois le -270 degrés C ou
plus est un gage de sécurité qu'il faut conserver pour
les futurs calculs.
AT01290320241406
Compte tenu que ce dispositif est expérimental, continuons notre
analyse dans le même sens. Un essais simple de résistance.
Prennez une pile de type A retirer la tige de carbone et brisez la avec
vos mains. Il s'agit d'une composante a très haut pourcentage de
carbone. Exactement je ne sais pas. Toutefois selon moi ce
matériaux est encore trop faible pour maintenir une tuile
thermique solidement. Imaginez maintenant un boulon en aliage de
carbone avec un dopage de métaux (de mauvais conducteur
thermiques) à 50% 60% ou autre. Vous allez construire un boulon
thermique. Un simple moule pour les essais un matériaux
liquide chaud et dopé et voila vous avez votre boulon. Reste a
faire les essais thermiques. Le conductivité thermique de ce
boulon va dépendre du dopage et comme autre paramètre sa
résistance mécanique proportionnel à ce même
dopage.
Ca vaut la peine de passer par cette étape avant de s'attaquer directement au bouclier thermique.
La navette spatiale n'a pas le monopole des engin spatiaux et ce boulon
en développement pourra servir à d'autres usages. La
production de masse est une autre étape et des industries
existantes se feront probablement un plaisir de le fabriquer. Voila ma
façon de voir les chose.
Coller
une pièce c'est bien mais une procédure de remplacement
spatiale doit exister pour assurer un retour sécuritaire sur le
plancher des vaches. Il faut donc que la ou les tuiles peuvent
être remplacé facilement et aussi sans pollution spatiale.
Rien n'est vraiment simple, et les tolérances nécessaires
devront faire l'objet d'une vérification minutieuse. De
mémoire le Concorde s'allonge de 6 pouces a cause de la chaleur.
Il faut éviter de poser ces tuiles dans l'espace toutefois ci
cela est nécessaire
ce travail devra être fait rapidement et sans hésitation.
Parlant de travail les plans détaillés de la navette sont
t-ils dans la navette ou l'ISS ? Je sais cela ressemble a une blague
mais je vous assure que cela n'est pas le cas. A quoi pourrait bien
ressembler un dispositif anti-pollution pour le remplacement des tuiles
? Désolé je dois vous quitter car j'ai un rendez vous
important avec Arnold, ensemble nous travaillons sur les hublots.
AT01310320240903
J'ai décider ne pas poursuivre avec ce plan mais je garde la
ligne directrice. Pourquoi ? cela est simple je cherche une
procédure simple et sécuritaire pour le remplacement des
tuiles dans l'espace. Je crois avoir une piste de solution. Cette
petite tige de pile me rapelle mes expériences dans le sous-sol
de mes parents ou le temps n'existe pas. C'est vrai les
matériaux isolants thermiques sous forme de tuile sont
fragiles, toutefois il sont facile a coller. Ciment, pate d'amiante, et
autres collent très bien ces matériaux. Soumis a ces
températures extrèmes je connais pas leurs comportements.
Pour la navette le poid est un des principales problèmes.
Plus je la rend robuste et plus son poid sera important. Plus son poid
sera important et moins il sera possible de transporter une charge
utile. Néanmoins les astronautes ont priorité dans les
engins spatiaux habités. Habité ou pas mettre un poid en
orbite nécessite des sommes d'argents astronomiques et il n'y a
aucune place pour l'erreur. Je crois que diviser une tuile est une
piste qu'il est possible d'exploiter. Quel pourcentage d'une tuile
thermique est corrompue en phase de rentré atmosphérique
? Chose certaine il devrait rester quelque chose ! Quelle
épaisseur est t-il nécessaire d'avoir pour que la colle
fasse son travail correctement ? des questions et encore des questions.
D'autres points sont aussi importants, je pense ici aux vibrations, aux
sons, et a un matériau support pouvant régler ces
problèmes. La fibre d'amiante ou un matériau similaire
serait une bonne assise pour ces tuiles.En prime une légere
compresssion va permettre de stabiliser le premier manteau thermique.
Ce premier manteau peut être fixer solidement car il ne sera pas
remplacé a chaque vol. Attention cela ne veut pas dire
vérifié, remplacé et vérifié sont
des mots différents. Dans l'optique imaginé celui-ci doit
avoir un cycle de vie très long et suffisament pour
prévoir des travaux sur le deuxième manteau uniquement.
Je me sent obligé d'écrire ce texte comme ces petits
écureuils que j'ai relocalisé (36 pouces plus loin) sur
la piste cyclable. Des bébés paraliser par la peur et qui
probablement cherchaient leurs parents. La relocalisation a
fonctionné. Un de ces écureils a accepter mon eau et peu
de nourriture rapidement et l'autre s'est écarté du bord
de piste et semblait ne plus paniquer. Ce n'est pas mes
premières expériences avec ces animaux. Je respecte leurs
courages particulièrement en danger de froid intense.
.
Une partie du bouclier no. 2 travail en cours
AT01070420241422
Avant de continuer cette suite de croquis un peu de texte histoire de
faire changement. Oui j'ai des solutions de fixations et non je ne
connais pas la construction étagée de la navette. Restons
simple, les protections A et B peuvent être remplacé de
l'extérieur de la navette. Pour le C cela sera
peut être
différent, même le matériau de fabrication pourrait
être différent. Je pense ici à un matériaux
un peu plus compacte et plus pesant aussi pour la dernière des
trois protections (tuiles) imaginé. Dans l'optique de conception
j'imagine que
chacune
des couches (3) à elles seules sont suffisament
résistantes pour une rentré atmosphérique
réussi. Toutefois ces trois couches ne doivent pas se détacher de la navette. Il faut prévoir
Ti-Vert (sans Gin) lui dirait
.. ouin mais si la navette rencontre des clous dans le ciel ca pourrait faire des BOBO.. blague à part
une résistance mécanique du bouclier est aussi nécessaire pour la protection de cet engin.
Attention je parle ici d'une protection externe et non interne. Je
crois que cette protection en plus devrait être incorporé
au niveau C du bouclier thermique. Cela ne veut pas dire de faire une
protection anti ..crash.. simplement compte tenu qu'il va retenir les
couche A et B et que en plus sa duré de vie devrait être
la même de la carlingue je crois que ces justifications devraient
permettre de prendre les bonne décisions. Je n'ai pas
l'intention ici de défendre les différents types de
boucliers tel que des coquilles pleines et sans joints, je cible ce que
j'imagine vers des tuiles thermiques séparé. Ce qui va
être entre cette couche C et la carlingue seule la NASA le sais.
Néanmoins je vais me prononcer au non de la
sécurité. Vers la fin du document je vais aussi expliquer
comment des QI vont essayer de me discriditer et peut être
essayer de provoquer des accidents afin de démolir cette
..vision.. cela n'est pas urgent mais cette partie mettra les points
sur les ..i.. une fois pour toutes pour ces spécialistes de la
démolition.

AT01110420241113
Un point d'arrêt,
Ce n'est pas évident ! couches, couleurs, résistances
thermiques et mécaniques etc. Mais comme dirait cette chanteuse
j'avance. Pour les couches (3), en contaminant les tuiles par un
matériau provoquant une couleur spécifique avec une
élévation de température on réalise un
instrument d'analyse de situation complètement autonomme.
Pourquoi s'ent passé ? Même avec des informations
tronquées je continu a me pencher sur la fixation de la tuile C
sur l'engin spatial. Plusieurs éléments sont en cause et
ces éléments devront faire l'objet d'essais avant la mise
en place sur une navette ou autre engin spatial. Il y a un point
important sur lequel je ne recule pas, il s'agit de la menbrane entre
la tuile C et la carlingue au sens large du terme. Cette membrane est
une protection importante autant dans des conditions thermiques
anormales que dans l'absortion de chocks mécaniques non
prévus. Une mise au point qui est en relation doit être
mentionné immédiatement, suite a l'installation de
cette membrane une compression du matériaux d'usine ne
doit pas nuire a une tolérance temporelle. Plus clairement des
vérifications fréquentes devront être faites suite
a l'intallation afin de s'assurer qu'un jeux non désirable
s'installe. Ce point touche aussi l'épaisseur de la membrane et
la mémoire du matériau.
Pour la fixation et pour l'instant une fixation directement sur la
carlingue est écarté même si cela est possible. Ce
n'est pas définitif mais une de ces raisons concerne la
protection mécanique. Un encrage des tuiles dans un
matériau isolant thermique pourra permettre un
amortissement en cas d'impact. La membrane jumelé a cet encrage
pourra agir comme un ressort mécanique permettant ainsi une
protection supplémentaire de la tuile C. Les spécialistes
de ces engins savent comment étagé les
températures du bouclier et c'est a eux de prendre ces
décisions toutefois la recherche et le développement nous
obligents a considérer cette analyse. Pour l'intant je garde les
trois (3) couches des tuiles, une présence de couleurs
dédiées pour chacune des couches et finalement une
membrane séparatrice entre la tuile C et la carlingue. La
fixation est encore en cours de réflextion. J'imagine qu'une
mousse isolante d'expension avec des paramètres de
résistances thermiques existent même si ce produit n'est
pas en vente libre. Le croquis ci-dessous résume la limite de
cette analyse.
AT01130420241538
Le matériau de coulé, en métal ou composite ?
En supposant que les balises de températures de la mousse
isolante sont accepté pour l'espace je crois qu'un
matériau composite serait plus adapté qu'un métal
pour la pièce de coulée. Ce qui va suivre est pure
supposition. Une pièce de métal va se dilater et se
contracter sous l'effet de températures extrèmes.
Normalement cela ne devrait pas arriver puisque cette pièce est
enrobé d'isolant. Isolant ou non n'importe quels
matériaux à l'ombre va abaisser sa température
pour atteindre celle de son environnement. Est t-il possible que
l'union isolant métal soit perturbé par des variations
extrèmes ? Je ne sais pas, mais en revange un matériau
composite ne subit pas ou moins ces variations de dimensions. Je peux
me tromper et je n'ai pas cette expertise de l'espace, néanmoins
je sais que d'autres que moi se sont posé ces questions.
Pour l'instant je garde préférentiel le matériau composite.
Je ne peux rien faire de plus sur ce sujet pour l'instant. (couler,
coulé, coulée, ???). Un matériau composite va t-il
se briser à -270 degrées centigrades ?
AT01140420241451 BADAM-A Pierre Michaud, PMI
Imaginons un changement de tuiles
dans l'espace. Pour des raisons inconnues une tuile A est partiellement
brisée et la tuile B sous celle-ci est abimée. Une préoccupation importante devra évidemment consister à remplacer des tuiles mais aussi en absence de pollution spatiale. Un cylindre flexible d'un diamètre de 2 pieds devra adhérer aux tuiles sous la navette. Celle-ci devra avoir les tuiles orienté au soleil (?). Le cylindre anti-pollution devra être transparent afin de voir les manipulations des tuiles. Des ouvertures de types diaphragmes
ou autres devra permettre aux astronautes de passer les 2 mains
séparément. Une de ces ouvertures devra être centrée afin de permettre
aux outils de travailler en ligne droite sur les tuiles.
Au moins deux outils devront être utilisé,
un extracteur de tuiles et aussi une mèche de rotation pour dévisser la
tuile B. Ces outils devront passer dans les trous des mains et les
ouvertures flexibles devront se refermer sur eux afin d'éviter une pollution de particules. Ce texte fantaisiste implique que des rainures sont présentes sous la tuile A. Imaginons 4 de
ces rainures en X avec un point centrale permettant d'insérer le bout
de l'extracteur de tuiles. Réaliste ou non ce petit scénario ? Et si la
tuile A avait
un dessous robuste ? Un souvenir de plage. Il était une fois un débris
de mer ancré profondément dans le sable, il était impossible de sortir
ce débris verticalement. La succion
du sable et de l'eau retenai fortement ce débris. Une force
légère et progressive seulement à un bout de ce
débris à permis
de le sortir de son emplacement sans forcer. Cette petite histoire
touche la conception de cet outil. Au moins deux forces séparées devront
être appliqué sur la tuile pour l'extraire. Une possibilité de tirer à
angle doit être envisagé.
Attention il ne doit pas y avoir de débris sous les
nouvelles tuiles. Un aspirateur avec un fonctionnement sans air ? ou
une injection d'air pour faire fonctionner l'aspirateur ? Ce texte est
dédié en premier aux pilotes pour ceux et celles qui
n'ont pas encore deviné, imaginons que cet aspirateur à
fait son travail. Il reste le remplacement de la tuile B. Celle-ci
devra être dévissé aspiré
ci-nécessaire et remplacé. Réaliste ou non ? il
s'agit d'une nouvelle technique de travail spatiale.
a suivre,




AT01200420241631
Oui ce croquis n'est pas complet et non je ne travaille pas pour la
NASA enfin pas directement. Ceci étant clarifié que
pensez vous de cette nouvelle idée ? Un simple boîte pour changer des tuiles thermiques.
Cette boîte est peut être plus utile que vous pensez. Une
caméra avec lumière permettera de prendre des
décisions en différé, images transmissibles au
sol, dans la navette, ou encore à la SSI (station spatiale
internationalle). J'ai cru bon d'ajouter un petit couvert
dévissable pour une alimentation long terme au cas ! Et pourquoi
ne pas concevoir cette boîte à outils comme une aide
générale pour différentes réparations.
Je ne peux prendre aucune de ces décisions car des
données sont manquantes. Néanmoins cela ne
m'empèche pas de réfléchir. De petits velcros
réparties sur le surface intérieur vont permettre de
maintenir les outils en place lorsque non utilisé et aussi faire
place à la caméra. À mon avis cela vaut la peine.
En terminant
l'idée d'injecter un gaz et d'utiliser un aspirateur comme
mesure anti-pollution est un brevet (BADAM-A Pierre Michaud, PMI).
Voila la fin approche de cette dérivation et j'espère
avoir contribué à l'amélioration de la
sécurité spatiale.
AT01250320241247
Let's start with the IQs, on March 24, 2024 after modifying my sketch
on the thermal balance of the space shuttle I was treated to several
computer anomalies at the Mc-Donald's in St-Jérôme. These
anomalies prevented me from updating this file (revision-1). In all
likelihood an overload of my transfer site and repeated wi-fi
interruptions were responsible of these transmission failures. The CRTC
was notified of these criminal actions in the afternoon of the same day.
Now that the table has been set, I am neither a shuttle specialist nor
a pilot of this machine. However, I am not going back, Space is not the
environment of science fiction films where people jump into the void
without protection to fly from one machine to another. Just leaving the
earth is a feat of courage that surpasses all we know of human will and
bravery. So, these publications are primarily aimed at space engineers
who care
about the safety of the men and women who go into this
environment. The thermal balance of a spacecraft is not simple, its
position in relation to cosmic rays changes and designing a perfect
craft is still a dream for now. The extreme conditions of space require
measurements and reflections that go in the same direction. As Mrs.
Lara Fabian would say, I have a new perspective, that doesn't mean it's
good, it means it's virgin and free from all constraints. This is my
only advantage in this closed world where for the moment I have access
to nothing. One day this may change.
I am currently wondering about the fixing of the RC (cosmic ray)
windows. How are the existing ones on the shuttles fixed? How thick are
these windows? Is electrical polarization possible to limit the RC? One
thing is certain, they exist and by all appearances are doing their
job. The Concorde supersonic aircraft was manufactured using a process
that requires a minimum of connecting joints. The opening of the
windows was engineered directly into the cabin. Is it the same for the
shuttle? Some people may think that I only have questions at the
moment, but that is not the case. According to my understanding this
supersonic plane was flying at the edge of... space... and probably
required less protection from cosmic rays than the shuttle. All these
paragraphs are linked, however, a bit like the children's section, I
invite you to simply listen to his music before continuing. The only
pressing thing at the moment and for me are my children (
here).
AT01260320241310
What will the sequel consist of? Well it looks like this part will be
longer than expected. The underside of the shuttle is made of
heat-refractory material. On the Internet I noticed that in several
images this part is black. The black absorbs the heat and the
refractory bricks insulate the top of it. This is probably NASA's
choice for a full sun orientation of the underside of the shuttle. It
is clear that the thermal balance of the shuttle oriented in this way
will be different than that oriented in its opposite direction. Please
note, I am not criticizing anything here, important choices taking into
account space and atmospheric reentry were made and I have no
qualification or information allowing me to judge this. However,
I’m still not going back! When I talk about thermal equilibrium I
am talking about it as being a static element. In this machine there is
certainly heating allowing the astronauts to dress normally and work
easily. But this involves energy expenditure, equipment wear, and a
high level of safety
in the event of a malfunction. I believe it is important to make this
clarification. This little document that I am writing is not to send
men into space, that has already been done but I continue to believe
that I can make a small difference. If this is not the case I will end
this section immediately.
Looking at images on the Internet I wondered if transparent or
translucent refractory ..bricks.. (an expression) exist. Stone, silica,
sand, glass, specialized glass all have points in common, they are
thermal insulators to more or less different degrees. Would it be
possible to make transparent refractory bricks and use the concept
explained on one of my plans as a thermal regulator? I could be wrong
but I think so. There is probably an army of engineers who have worked
and are still working on this
delicate point of shuttle safety, I am obliged to forbid myself from not publishing what I think, the reason is very simple,
this is directly related to security.
I continue to believe that it is possible to obtain a superior static
thermal balance thanks to this patent, the VMSD. This morning I thought
at length about experimenting with static thermal control of the
shuttles and believe I have interesting and realistic ideas for a test
schedule.
The shuttle windows according to us must be square or rectangular with
rounded corners. Please note this paragraph is directly related to
safety and tests projected in space. Why this specific shape? asked
NASA, they should answer you. In the meantime, consider this form as
absolute when Pierre Michaud or PMI talk about the windows of space
shuttles.
Some music. This is not linked to this document. However, it is with the kidnapping of my children (here).
AT02260320241830
Next, how can we define elements related to security and that can
influence the design? A simple answer is the project bulletin. The
table below illustrates two aspects. The first is what is important (in
short) in the porthole file and the second is related design elements.
Project bulletin by element. Please be indulgent, this table was
created quickly and left and right elements can be relocated. Yes there
is a direct link with the VMSD. I am currently planning possible points
for testing, and no I am not the boss of this team for bad language. As
this is a security file I thought it would be good to refer this singer
who, more than 40 years old, still impresses me while waiting for the
sequel (here).
AT01280320241102
Assuming it is possible to have transparent thermal tiles, the back of
the shuttle could be a possible location for temperature testing. I'm
talking here about the part that opens to transport a payload.
According to my understanding, it is one of the parts which receives
the least thermal stress during re-entry into the atmosphere and given
that the cockpit windows are resistant, I do not see why it would be
otherwise for this experimental device. I imagine double or triple
protection for this window with the possibility of removing one of the
parts (interior) in the space for testing. Three windows distributed
and oriented differently could be sufficient in our opinion to draw the
lines of behavior necessary for preliminary thermal calculations of the
thermal balance of the shuttle. This point was chosen to avoid a
spacewalk for the astronauts. For the moment I assume that this part
can be habitable but I could be wrong. This experiment is very
important because it alone could serve as a starting point for all
objects likely to go into space. Here I am not only talking about
spacecraft but also future constructions directly in space, and this
challenge is even worse than the first man who left the earth for the
stars. One day or another these constructions will take place and it is
better to plan these spatial behaviors before the work. For those who
find it funny you can laugh now it's time.
AT02280320241120
Would it be possible to build spacecraft like boats? Let's imagine an
out-of-service shuttle that we are going to use as a mold with a single
central joint. When building a canoe, only one person is needed to
complete all the construction steps. For a shuttle, let's multiply this
number by 100 with a smooth order of work. According to our
understanding the lamination of the different materials used could be
of higher quality using this technique. Some people will laugh at me
right now and that's their right, but I immediately respond, if you are
not able to imagine these works how do you think you are capable of
building in space? The only thing that changes for the shuttle is the
dimensions of the parts and nothing else with this technique.
Possibility with this technique to securely fix the replaceable thermal
tiles. Well it's time for some music (
here) and Arnold also needs to prepare for his audition.
AT03280320241634
It is now time to question the roles of the different cabin
manufacturing materials. I know, what is he involved in? I ask myself
this same question for the government. For thermal protection tiles
this has already been identified. But why aluminum, carbon fiber,
composite landing gear materials, etc.? A simple question,
what is most important in a shuttle is? its occupants.
Radiations exist for real.
On a beach, a pretty girl in scanty clothing gets sunburned. This
sunburn is caused by radiation attenuated by the atmosphere. Now
imagine there is no atmosphere? 100% of solar radiation passes through
space until it encounters an obstacle. I have read a lot on the subject
and I cannot completely endorse what I am going to write, anyway I will
do my best. Some rays emitted by the sun pass through metal, so
radiation protection is essential for astronauts. We will return to
this point later. For now let's talk about metal. A primary role is
important mechanical protection to keep the different parts of the
shuttle in place. Let's just think about the rear rockets which
generate astronomical thrust. Another role of the metal of the cabin is
protection in the event of impact(s). Before perforating, the metal
will deform by absorbing part of the energy of the collision, and I
imagine that we can all agree that this is more for this machine.
Aluminum is also lightweight and has significant heat transfer
properties without being at the top of the list. A machine made of 100%
composite materials of equivalent thickness would resist less than
aluminum in the event of an impact, in our opinion. This material is
also used as a heat sink in electronics. Iron in comparison has none of
these thermal properties in addition to significant weight. From memory
3 types of rays coming from the sun are classified in order of danger
for humans. One of these passes through the aluminum. Additional
protection is therefore essential to protect humans in space. I'm going
to read up on the subject again but it seems that plastic materials can
stop these damaging rays for humans (for women too). For those who are
wondering where I am heading the answer is simple...towards
construction... Anyway, how to prepare this famous space sandwich ? In
closing this paragraph just one last point. It is probable that near
the earth in orbit that the temperature is not -270 degrees C. The
earth emits heat and this heat can modify the temperature of the nearby
space (reference in kM). However, -270 degrees C or more is a guarantee
of security that must be retained for future calculations.
AT01290320241406
Given that this device is experimental, let us continue our analysis in
the same direction. A simple resistance test. Take a battery type A
remove the carbon rod and break it with your hands. This is a component
with a very high percentage of carbon. Exactly I don't know. However,
in my opinion, this material is still too weak to hold a thermal tile
securely. Now imagine a carbon alloy bolt with metal doping (poor
thermal conductors) at 50%, 60% or other. You will build a thermal
bolt. A simple mold for testing a hot and doped liquid material and
voila you have your bolt. All that remains is to do the thermal tests.
The thermal conductivity of this bolt will depend on the doping and as
another parameter its mechanical resistance proportional to this same
doping. It's worth going through this step before tackling the heat
shield directly. The space shuttle does not have a monopoly on
spacecraft and this bolt in development could be used for other uses.
Mass production is another step and existing industries will likely be
happy to manufacture it. This is my way of seeing things. Gluing a part
is good but a spatial replacement procedure must exist to ensure a safe
return to the cow floor.
It is therefore necessary that the tile(s) can be replaced easily and also without spatial pollution.
Nothing is really simple, and the necessary tolerances will need to be
carefully checked. From memory, the Concorde lengthened by 6 inches
because of the heat. You should avoid laying these tiles in the space,
however if it is necessary this work should be done quickly and without
hesitation. Speaking of work, are the detailed plans of the shuttle in
the shuttle or the ISS? I know this sounds like a joke but I assure you
it is not. What could an anti-pollution device for replacing tiles look
like? Sorry I have to leave you because I have an important meeting
with Arnold, together we are working on the portholes.
AT01310320240903
I decided not to continue with this plan but I kept the guideline. For
what ? This is simple, I am looking for a simple and safe procedure for
replacing tiles in the space. I think I have a possible solution. This
little battery rod reminds me of my experiences in my parents' basement
where time did not exist. It's true that thermal insulating materials
in the form of tiles are fragile, however they are easy to glue.
Cement, asbestos paste, and others bond these materials very well.
Subjected to these extreme temperatures, I don't know their behavior.
For the shuttle, weight is one of the main problems. The more robust I
make it, the greater its weight will be. The greater its weight, the
less it will be possible to transport a payload. However, astronauts
have priority in manned spacecraft. Manned or not, putting a weight
into orbit requires astronomical sums of money and there is no room for
error. I believe that dividing a tile is an avenue that can be
exploited. What percentage of a thermal tile is corrupted during
atmospheric re-entry ? One thing is certain, there should be something
left! How thick is it necessary for the glue to do its job correctly ?
questions and more questions.
Other points are also important, I am thinking here of vibrations,
sounds, and a support material that can solve these problems. Asbestos
fiber or a similar material would be a good base for these tiles. As a
bonus, a slight compression will help stabilize the first thermal coat.
This first coat can be fixed securely because it will not be replaced
on each flight. Please note this does not mean verified, replaced and
verified are different words. From the perspective imagined, this must
have a very long life cycle and enough to plan for work on the second
coat only. I feel obliged to write this text like these little
squirrels that I relocated (36 inches further) on the cycle path.
Babies paralyzed by fear and who were probably looking for their
parents. The relocation worked.
AT01070420241422
Before continuing this series of sketches, a little text to make a
change. Yes I have fixing solutions and no I do not know the stepped
construction of the shuttle. Let's keep it simple, protections A and B
can be replaced from outside the shuttle. For the C it may be
different, even the manufacturing material could be different. I am
thinking here of a material that is a little more compact and heavier
also for the last of the three protections (tiles) imagined.
From
a design perspective I imagine that each of the layers (3) alone are
sufficiently resistant for successful atmospheric reentry. However, these three layers must not detach from the shuttle. We must anticipate
Ti-Vert (without Gin) would tell him...
yes but if the shuttle encounters nails in the sky it could cause BOBO...
joke apart a mechanical resistance of the shield is also necessary for
the protection of this machine. Please note I am talking here about
external protection and not internal protection. I believe that this
additional protection should be incorporated into level C of the heat
shield. This does not mean providing anti-crash protection, simply
given that it will retain layers A and B and that in addition its
lifespan should be the same as the cabin, I believe that these
justifications should allow to make the right decisions. I do not
intend here to defend the different types of shields such as solid and
seamless shells, I am targeting what I imagine towards separate thermal
tiles. What will be between this C layer and the cabin only NASA knows.
However, I will speak out in favor of security. Towards the end of the
document I will also explain how QIs will try to discredit me and
perhaps try to cause accidents in order to demolish
this...vision...this is not urgent but this part will put the dots on
the... i.. once and for all for these demolition specialists.
AT01110420241113
A stopping point,
This is not obvious ! layers, colors, thermal and mechanical resistance
etc. But as this singer would say, I'm moving forward. For layers (3),
by contaminating the tiles with a material causing a specific color
with an increase in temperature, we create a completely autonomous
situation analysis instrument. Why did this happen? Even with truncated
information I continue to focus on fixing tile C on the spacecraft.
Several elements are involved and these elements will have to be tested
before installation on a shuttle or other spacecraft. There is one
important point on which I am not backing down, it is the membrane
between tile C and the cabin in the broad sense of the term. This
membrane provides important protection both in abnormal thermal
conditions and in the absorption of unforeseen mechanical shocks. A
related adjustment must be mentioned immediately, following the
installation of this membrane, compression of the factory materials
must not harm a temporal tolerance. More clearly, frequent checks
should be made following installation to ensure that an unwanted game
is installed. This point also affects the thickness of the membrane and
the memory of the material.
For fixing and for the moment fixing directly on the cabin is ruled out
even if this is possible. This is not definitive but one of these
reasons concerns mechanical protection. Inking the tiles in a thermal
insulating material can provide cushioning in the event of an impact.
The membrane paired with this anchoring can act as a mechanical spring,
thus allowing additional protection of the tile C. The specialists of
these machines know how to level the temperatures of the shield and it
is up to them to make these decisions, however the research and
development force us to consider this analysis. For the moment I am
keeping the three (3) layers of tiles, a presence of dedicated colors
for each layer and finally a separating membrane between tile C and the
cabin. The fixing is still being considered. I imagine that an
insulating expansion foam with thermal resistance parameters exists
even if this product is not over the counter. The sketch below
summarizes the limitation of this analysis.
AT01130420241538
The casting material, metal or composite? Assuming
that the insulating foam temperature ranges are accepted for the space
I believe that a composite material would be more suitable than a metal
for the casting. What follows is pure speculation. A piece of metal will expand and contract under the influence of extreme temperatures. Normally this should not happen since this part is coated in insulation. Insulating or not any material in the shade will lower its temperature to reach that of its environment. Is it possible for the metal insulating union to be disrupted by extreme variations? I don't know, but on the other hand, a composite material does not undergo these dimensional variations or less. I could be wrong and I don't have this expertise in space, however I know that others besides me have asked these questions. For the moment I prefer the composite material. There is nothing more I can do on this matter at this time.
AT01140420241451 BADAM-A Pierre Michaud, PMI
Let's imagine a
change of tiles in space. For unknown reasons, tile A is partially
broken and tile B below it is damaged. An important concern will
obviously consist of replacing tiles but also in the absence of spatial
pollution. A flexible cylinder with a diameter of 2 feet should adhere
to the tiles under the shuttle. This must have the tiles facing the sun
(?). The anti-pollution cylinder must be transparent in order to see
the handling of the tiles. Diaphragm or other type openings should
allow astronauts to pass both hands separately. One of these openings
must be centered to allow the tools to work in a straight line on the
tiles.
At least two tools must be used, a tile extractor and also a rotation
bit to unscrew tile B. These tools must pass through the hand holes and
the flexible openings must close on them in order to avoid particle
pollution . This fanciful text implies that grooves are present under
tile A. Let's imagine 4 of these X-shaped grooves with a central point
allowing the tip of the tile extractor to be inserted. Realistic or not
this little scenario? What if tile A had a sturdy underside? A beach
memory. Once upon a time there was a sea debris anchored deep in the
sand, it was impossible to remove this debris vertically. The suction
of the sand and water strongly retained this debris. A light and
progressive force only at one end of this debris made it possible to
remove it from its location without forcing. This little story concerns
the design of this tool. At least two separate forces will need to be
applied to the tile to extract it. A possibility of shooting at an
angle should be considered.
Be careful there must be no debris under the new tiles. A vacuum
cleaner with airless operation? or an injection of air to operate the
vacuum cleaner? This text is dedicated first to pilots for those who
have not yet guessed, let's imagine that this vacuum cleaner has done
its job. There remains the replacement of tile B. This will have to be
unscrewed, vacuumed as necessary and replaced. Realistic or not? This
is a new spatial work technique.
AT01200420241631
Yes this sketch is not complete and no I do not work for NASA, well not
directly. This being clarified, what do you think of this new idea? A simple box for changing thermal tiles.
This box may be more useful than you think. A camera with light will
make it possible to make delayed decisions, images transmitted to the
ground, in the shuttle, or even to the ISS (international space
station). I thought it would be good to add a small unscrewable cover
for long-term feeding just in case! And why not design this toolbox as
a general aid for various repairs. I can't make any of these decisions
because data is missing. However, that doesn't stop me from thinking.
Small velcros distributed on the interior surface will keep the tools
in place when not in use and also make room for the camera. In my
opinion it is worth it. Finally, the idea of injecting a gas and using a vacuum cleaner as an anti-pollution measure is a patent (BADAM-A Pierre Michaud, PMI). This is the end of this diversion and I hope to have contributed to improving space security.