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L'ÉLECTRICITÉ SPATIALE


1.0 INTRODUCTION

Oui je vais me prononcer. Pourquoi ? je pense que cela peut aider. Non je ne suis pas un influenceur, ce texte et les croquis qui vont suivent même avec des informations incomplètes sont des brevets. Ceci étant dit, aucun de mes poissons se sont moqué des hommes et femmes de l'espace, cela ne les empêchent pas de faire des blagues et moi je les approuvent sans restrictions. Plutôt curieux ! un campeur qui ose se prononcer sur la sécurité électrique de l'espace, enfin ..c'est la vie.. au sens respectueux du terme. Je suis arrivé ici en posant des questions sur les panneaux solaires de la Station Spatiale International (SSI). Plus de questions que de réponses, alors essayons de faire de notre mieux moi et mon équipe (Assemblée ALL du Québec). Se tromper a ce stade est bénéfique pour tous et toutes, toutefois ne pas se tromper est aussi bénéfique pour tous et toutes. Mais comment savoir si je me trompe ? La seule et unique façon est de remplacer le ..je.. par le ..nous.. tout en conservant un veto intellectuel. Voilà, la table est mise et cette partie progressera au rythme de mes priorités.

Pierre Michaud, PMI, Ce 07 novembre 2024.


2.0 UNE LISTE

Cette fois la structure sera moins défini. Ce document est écrit sans obligation et aucune raison justificatrice ne n'oblige a structurer plus en fonction de mes revenues pratiquement inexistant. Je vais donc l'écrire sans pression d'une finalisation politique ou autres. La liste suivante met en lumière mes préoccupations sur le sujet. Je n'ai pas le monopole de la science mais je sais que cela va intéresser de nombreuses personnes et industries relié a ce domaine. Commençons par l'écriture de cette liste. - Sécurité locale, - Sécurité International, - Compatibilité, - Vision long terme, - Recyclages, - Les alternatives, - L'économie, - Les brevets, - L'environnement, - L’éthique de développement

3.0 Les premiers croquis


















Maintenant une autre question importante se pose. Est t-il préférable d'avoir un seul gros contact pour le branchement des panneaux ou des contacts distribués. La même intensité de courant va passer a travers les zones de branchements. Toutefois il existe des grandes différences entre les deux méthodes. La première, une zone unique et plus grande. Un contact de transmission plus gros et pratiquement aucune usure ou mal fonctionnement possible. Je ne suis pas certain de ce point. Les différences thermiques peuvent t-elle influencer d'un façon significative les jonctions ? Ici la construction du panneau est en cause (voir le dossier du VMSD).  Essayons maintenant d'aller encore plus loin. Un branchement par connexion a l'extérieur en mode principale est t-elle nécessaire ? Attention je parle ici de connecteur de puissance. Il est recommandé par le code du bâtiment pour des entrées de puissance d'avoir un sectionneur le plus près possible de l'endroit ou les connecteurs entre dans le bâtiment et cette zone comporte des fusibles. Cette réflexion n'est pas un jumelage directe. En même temps je pense a la tension et au courant de sortie des panneaux. Mon expérience me dicte d'utiliser dans la mesure du possible une tension se rapprochant des tensions terrestres histoire d'avoir un courant plus bas et une expertise existante. Ce courant de 1000 ampères et plus me fait peur. Il y a suffisamment de courant pour créer un arc et transpercer un métal épais. Un point de départ peut être pour fixer la norme spatiale ?

J'aimerais aussi mentionner que notre 50 ou 60 cycles en fréquence est t-il optimiser pour l'espace ? Ou même pour la ..terre.. (tension de sol etc.). Je n'ai pas la réponse en ..revange.. j'ai la question, et je la pose pour construire sans erreur. Supposons un courant de 1600 ampères distribué sur 8 panneaux doubles (16 zones) ce qui donne 100 ampères par zone de panneaux. Ce 100 ampères correspond a la moitié d'une entrée électrique de maison de 200 ampères. Attention je n'ai aucune données pour la SSI mais je sais une chose, une zone égale un niveau de sécurité. J'ose me prononcer maintenant et je peux me tromper. Aucun connecteurs extérieures pour les alimentations principales des panneaux solaires avec ces données, maleureusement ce n'est pas une bonne idée. Un connecteur est un point de branchement étanche ou de petite sections courtes peuvent êtres fabriquées avec attention et dans un environnement spécialisé. Un autre point, la soudure par arc électrique est t-elle possible dans l'espace ? Je pense que oui et je peux me tromper, mais si j'ai raison ce 100 ampères sera t-il suffisant pour réparer une installation spatiale sans branchement en parallèle ?. Prendre aussi note qu'un connecteur et une zone de branchement sont deux choses différentes.

La seconde maintenant (un branchement distribué). Cela veut simplement dire d'avoir plus de un point de contact pour transmettre la puissance. Je n'essaie pas encore de faire un plan concret mais cela va venir. Une mise a la terre est t-elle souhaitable ? Pour l'instant je ne peux répondre a cela. Imaginons un connecteur a 3 contacts transportant le même courant et la même polarité. Rond ce connecteur pourra se brancher de n'importe quelle façon avec le bon diamètre. Pourquoi parler de diamètre ici ? Simplement pour empêcher des branchements non autorisés et dangereux. Le négatif aura son diamètre et celui-ci sera différent du positif. Le male et la femelle (Ti-Rouge: Hum hum) La femelle sur les connecteurs en provenance des panneaux et le male directement sur les modules avec des capuchons de protection. Je ne connais pas les secrets de la NASA mais avec les connaissances que je possède je fais ce choix pour l'intant pour des raisons de sécurité. En conclusion les contacts distribués sont retenus (not shure). Les arrivées des panneaux solaires sur les modules auront des prises femelles a trois contacts pour l'instant et les prises mâles de jonctions seront directement sur les modules. Un connecteur de type ..MILL.. modifié pourrait faire un bon travail. Reste encore a savoir si une connexion rapide est préférable a une connexion vissée a l'extérieur (a venir).

Now another important question arises. Is it better to have a single large contact for connecting the panels or distributed contacts. The same current intensity will pass through the connection zones. However, there are major differences between the two methods. The first, a single and larger zone. A larger transmission contact and virtually no wear or possible malfunction. I am not sure about this point. Can thermal differences significantly influence the junctions? Here the construction of the panel is at issue (see the VMSD file). Now let's try to go even further. Is a connection by connection to the outside in main mode necessary? Be careful, I am talking about a power connector here. It is recommended by the building code for power inputs to have a disconnector as close as possible to the place where the connectors enter the building and this zone has fuses. This reflection is not a direct twinning. At the same time I am thinking about the voltage and output current of the panels. My experience tells me to use as much as possible a voltage close to terrestrial voltages in order to have a lower current and existing expertise. This current of 1000 amps and more scares me. There is enough current to create an arc and pierce thick metal. A starting point can be to set the space standard?

I would also like to mention that our 50 or 60 cycles in frequency is it optimized for space? Or even for the .. earth .. (ground voltage etc.). I do not have the answer in .. revenge .. I have the question, and I ask it to build without error. Let's suppose a current of 1600 amps distributed on 8 double panels (16 zones) which gives 100 amps per zone of panels. This 100 amps corresponds to half of a house electrical input of 200 amps. Be careful I have no data for the ISS but I know one thing, a zone equals a level of security. I dare to speak now and I could be wrong. No external connectors for the main power supplies of the solar panels with this data, unfortunately it is not a good idea. A connector is a waterproof connection point or small short sections can be manufactured with care and in a specialized environment. Another point, is arc welding possible in space? I think so and I could be wrong, but if I am right will this 100 amps be enough to repair a space installation without parallel connection?. Also note that a connector and a connection zone are two different things.

The second now (a distributed connection). It simply means having more than one contact point to transmit the power. I am not trying to make a concrete plan yet but it will come. Is grounding desirable? For now I cannot answer that. Let's imagine a 3-contact connector carrying the same current and the same polarity. Round, this connector can be connected in any way with the right diameter. Why talk about diameter here? Simply to prevent unauthorized and dangerous connections. The negative will have its diameter and this will be different from the positive. The male and the female (Ti-Rouge: Hum hum) The female on the connectors coming from the panels and the male directly on the modules with protective caps. I don't know the secrets of NASA but with the knowledge I have I make this choice for now for safety reasons. In conclusion, the distributed contacts are retained. The arrivals of the solar panels on the modules will have female sockets with three contacts for now and the male junction sockets will be directly on the modules. A modified ..MILL.. type connector could do a good job. It remains to be seen whether a quick connection is preferable to a screwed connection on the outside (to come).














Ce petit travail de base m'a conduit a me demander quelques questions. Il existe une norme pour les engins spatiaux qui autorise des pertes d'air l'habitacle. Bien sur cette perte est faible mais elle est quand même la. Pour le connecteur des panneaux j'ai deux choix. Le premier créer un vide technique en dessous des connecteurs extérieurs ou remplir ce vide par de l'isolant. En ce moment je crois que c'est la seconde option qui est la meilleure mais je peux aussi me tromper. Première ou deuxième option le conducteurs doivent passer a travers la coque d'un engin ou habitacle spatiales. Ce que je cherche en ce moment est de savoir si ma zone de branchement est étanche et non une mesure précise de la quantité présente. De l'air présente entre deux électrodes vont changer la conductivité et la capacitance de l'environnement a surveiller. Alors ! Essayons de passer au croquis.

This little basic work led me to ask myself a few questions. There is a standard for spacecraft that allows air losses in the cabin. Of course this loss is small but it is still there. For the panel connector I have two choices. The first is to create a technical void below the external connectors or fill this void with insulation. At the moment I think the second option is the best but I could also be wrong. First or second option the conductors must pass through the hull of a spacecraft or cabin. What I am looking for at the moment is to know if my connection area is watertight and not a precise measurement of the quantity present. Air present between two electrodes will change the conductivity and capacitance of the environment to be monitored. So! Let's try to move on to the sketch.



















EDE01201120241422 (nouvelle codification)


Une pause détente, mais peut être pas.
Pour se prononcer d'une façon définitive sur l'électricité de l'espace il faut soit être fou ou encore suicidaire. Mai il faut quand même faire un choix. Dans ce choix il faut tenir compte de la découverte spatiale. Dans la découverte spatiale il y a le court, le moyen et le long terme. Pour découvrir il y a aussi les voyages mais a quelle distance ? Des voyages courts, moyennement long ou encore sans retour. Si vous n'aviez qu'un seul choix entre le courant alternatif et le courant continu lequel choisirez vous comme alimentation électrique principale en 2024. Votre choix sera t-il le même en 2034 ? Attention je parle ici de l'alimentation principale de votre milieu. Je n'ai aucune expérience de l'espace mais j'accepte de me tromper (peut être). A vous de choisir et vous n'avez qu'un seul choix ici. Il est facile de dire les deux mais en fessant cela vous allez échouer votre examen car vous ne répondez pas a la question.

(A)    Alternatif
(B)    Continu

Br commence a me mettre de la pression pour son incantation. Une excuse de plus pour réfléchir. Actuellement nous sommes tous sur le même pied d'égalité et nous sommes de vrais gérants d'estrades. Toutefois il faut quand même faire un choix, A ou B ? Ti-Rouge : CC non petit Rouge ça ne fonctionne pas comme ça il faut faire un choix entre la A ou le B cette fois. En attendant il est temps d'écouter un peu de musique (ici).

EDE01201120241422 (new codification)

A relaxing break, but maybe not.
To make a definitive decision on space electricity, you have to be either crazy or suicidal. But you still have to make a choice. In this choice, you have to take into account space discovery. In space discovery, there is the short, medium and long term. To discover, there are also trips, but how far? Short trips, medium-long trips or even one-way trips. If you had only one choice between alternating current and direct current, which one would you choose as your main power supply in 2024? Will your choice be the same in 2034? Be careful, I am talking about the main power supply in your environment. I have no experience in space, but I accept that I may be wrong (maybe). It is up to you to choose, and you only have one choice here. It's easy to say both but by doing that you'll fail your exam because you're not answering the question.

(A) Alternate
(B) Continuous

Br is starting to put pressure on me for his incantation. One more excuse to think. Currently we are all on an equal footing and we are real stage managers. However we still have to make a choice, A or B? Ti-Rouge: CC no little Red it doesn't work like that we have to make a choice between A or B this time. In the meantime it's time to listen to some music (here).




EDE0121112024

Aujourd'hui nous allons parler de soudures. Oui, ce lien est important pour l'électricité de l'espace. J'écris actuellement ce petit paragraphe dans ma coquille de survie.  Je me suis poser la question suivante,  comment les accès intérieurs et extérieurs sont fixés à la coque du module. Cela est vraiment important, car des échanges thermiques majeures peuvent modifier rapidement les conditions environnementales de la coquille de survie. Mal fixé, des risques possibles du par exemple a une surpression, peuvent mettre en danger la vie des occupants.  A l'inverse, si la fixation de ces accès est à l'extrême des problèmes de stabilisation thermiques importants peuvent apparaître. Une première réflexion sur la position et l'isolation des portes.

Pour l'instant il s'agit d'un survol, mais cela va changer. Parlons maintenant de ce revêtement intérieur de la SSI. Quels matériaux sont utilisés, pour le premier niveau de la coquille ?. Je parle ici évidemment de l'ensemble. Plastiques,  métaux, et si oui quel métaux ? Plusieurs paramètres sont en jeux ici. Nous devons tenir compte de la sécurité, mais de quelle sécurité s'agit t-il ? Celle du feu ? Celle de l'isolation des rayons cosmiques, même avec une couche dédié, positionner hors coquille ? Ou encore le passage des files électriques.  Ce n'est pas tout. La ou les sorties d'urgences, doivent telles avoir mécaniquement la même résistance, que les accès principaux ? Rien n'est simple mais comme dirait cette chanteuse..Il avance... Oups a moins que elle...

Il est temps de revenir à cette coquille. Pour l'instant je penche pour le métal, surtout si un vide de proximité l'isole de l'environnement extérieur.  A ce stade je ne suis certain de rien, toutefois je sais une chose , dans une conception intelligente le plastique peut être remplacé par du métal. Supposons que c'est le métal qui est choisi.  En cas d'urgences, ou d'avaries sera t-il possible de le souder ? et si oui, des soudures sans apport extérieur de métal sont telles préférables à des soudures avec apport de matériaux supports ? Toutes ces questions impliquent des réponses et celles-ci sont reliées à la conception.  L'aluminium est un métal qui supporte bien la soudure par fusion, c'est à dire, sans apport extérieur de métal. La soudure peu être rapide et résistante. Mais ce métal offre t-il une protection aux rayons cosmiques ? Attention vous et moi sommes en mode de survie actuellement. Des avaries importantes sont sur la coque en ce moment, et nos vies en dépendent. Prendre aussi note que le terme ..coquille de survie.. pourra inclure d'autres couches qui ne sont pas mentonné ici. Ce texte inclus aussi beaucoup de virgule. Il s'agit d'une adaptation pour la synthèse vocale.

A suivre,

Pierre Michaud, PMI. Ce 21 novembre 2024.

EDE0121112024

Today we are going to talk about welds. Yes, this link is important for space electricity. I am currently writing this short paragraph in my survival shell. I asked myself the following question, how are the internal and external accesses fixed to the hull of the module. This is really important, because major heat exchanges can quickly change the environmental conditions of the survival shell. Poorly fixed, possible risks due to, for example, overpressure, can endanger the lives of the occupants. Conversely, if the fixing of these accesses is extreme, significant thermal stabilization problems can appear. A first thought on the position and insulation of the doors.

For the moment this is an overview, but that will change. Let's now talk about this interior coating of the ISS. What materials are used for the first level of the shell? I am obviously talking about the whole thing here. Plastics, metals, and if so, which metals? Several parameters are at play here. We must take into account safety, but what kind of safety is it? Fire safety? Cosmic ray insulation, even with a dedicated layer, positioned outside the shell? Or the passage of electrical lines. That's not all. The emergency exit(s), must they have the same mechanical resistance as the main accesses? Nothing is simple but as this singer would say... It's moving forward... Oops unless she...

It's time to get back to this shell. For now I'm leaning towards metal, especially if a nearby vacuum isolates it from the outside environment. At this stage I'm not sure of anything, however I know one thing, in an intelligent design plastic can be replaced by metal. Let's assume that metal is chosen. In case of emergencies or breakdowns will it be possible to weld it? And if so, are welds without external metal supply preferable to welds with support materials? All these questions require answers and these are related to the design. Aluminum is a metal that supports fusion welding well, that is to say, without external metal. The welding can be fast and resistant. But does this metal offer protection from cosmic rays? Be careful, you and I are in survival mode right now. There is significant damage to the hull right now, and our lives depend on it. Also note that the term ..survival shell.. may include other layers that are not mentioned here. This text also includes a lot of commas. This is an adaptation for speech synthesis.

To be continued,

Pierre Michaud, PMI. This November 21, 2024.



EDE0122112024

Revenons a nos moutons oups! poissons. Une autre question. Doit t-on minimiser le passage des fils de puissance a l'intérieur du module ou a l'extérieur (dans l'espace ?) Il s'agit d'une question simple pourtant je n'arrive pas a prendre une décision rapide. Si une alimentation est disponible par module j'opterais probablement pour le passage des fils a l'intérieur du module, enfin le plus possible, en passant par la porte de sortie. Je continu mon cheminement avec une alimentation principale et sept autres de ..secours... Je marche en ce moment sur des charbons ardents et prend des décisions sans aucune informations de la complexité de la SSI. Je vous rassure tout de suite mon petit croquis violet n'ira pas a la poubelle. En ce moment je me demande ou passer les fils de puissance du module, intérieur ou extérieur ? Doit t-on construire une ..mini chambre annexe.. a l'extérieur du module ou garder uniquement les connecteurs a l'extérieur ? A moins que !

EDE0122112024

Back to our sheep oops! fish. Another question. Should we minimize the passage of power wires inside the module or outside (in space?) This is a simple question yet I can't make a quick decision. If a power supply is available per module I would probably opt for the passage of the wires inside the module, finally as much as possible, passing through the exit door. I continue my journey with a main power supply and seven others of .. backup ... I am currently walking on hot coals and making decisions without any information on the complexity of the ISS. I reassure you right away my little purple sketch will not go in the trash. At the moment I am wondering where to pass the power wires of the module, inside or outside? Should we build a .. mini annex room .. outside the module or keep only the connectors outside? Unless!


Avec le modèle ci-dessus, avons nous régler les points suivant ?
With the above model, have we settled the following points?

  • Déchets (T), 
  • Arrimage de l'orbiteur
  • Passage des fils
  • Sorties de secours
  • Portes d'isolations de sécurité
  • Pièce de rechange
  • Sécurité des occupants de la station au moment de la relève
  • CC, (CC pulsé RPM ?),
  • Agrandissement avec l'étoile centrale.
  • Et !!!! Congélation des aliments sous vide et produits pour bébé (espace)
  • Gravité artificiel
  • Fusibles
  • Sectionneurs
  • Batteries de secours
  • Alimentation électrique principale
  • Alimentations électriques de secours
  • Autres

* Waste (T)
* Orbiter docking
* Wire routing
* Emergency exits
* Safety isolation doors
* Spare part
* Safety of the station occupants at the time of the changeover
* DC, (pulsed DC RPM?),
* Enlargement with the central star.
* And !!!! Freezing of vacuum-packed food and baby products (space)
* Artificial gravity
* Fuses
* Disconnectors
* Backup batteries
* Main power supply
* Backup power supplies
* Others
J'avoue cela semble un peu baveux toutefois cette liste me semble réaliste. L'enveloppe sous vide imaginé peut aussi aider pour l'agrandissement de l'espace habitable. Je ne suis certain de rien, mais avons nous aussi une zone de travail possible pour certains travaux de garage ? Sur les deux cotés de l'étoile des espaces supplémentaires peuvent être ajoutés si la décision de mettre les couloirs sous pression est activé. Actuellement je me demande si il serait possible de faire certains travaux d'isolation par étapes dans ces couloirs. Il m'est impossible de répondre a cette question toutefois d'autres personnes pourront le faire. Deux options sont possibles, garder les couloirs sous vide ou les rendres ..habitable... Je sais qu'il est possible de répondre a ces choix. Petit vert ma demandé aussi de lui dédié un espace pour le bar ! bon ca ne coute rien de demander. Bon je vous laisse ici avec le vrai ..major..

I admit this seems a bit sloppy, however this list seems realistic to me. The imagined vacuum envelope can also help with the enlargement of the living space. I am not sure of anything, but do we also have a possible work area for some garage work? On both sides of the star additional spaces can be added if the decision to pressurize the corridors is activated. Currently I am wondering if it would be possible to do some insulation work in stages in these corridors. It is impossible for me to answer this question however other people will be able to do it. Two options are possible, keep the corridors under vacuum or make them .. habitable ... I know that it is possible to answer these choices. Petit vert also asked me to dedicate a space for the bar! well it doesn't hurt to ask. Well I leave you here with the real .. major ..





EDE0123112024

A cette étape nous avons quoi ? Une station a gravité et une station sans gravité. Il est important de mentionner cela car des solutions devront être trouvé pour la gravité zéro de la station. En attendant je n'ai pas l'intention de modifier la formule de la station. Ces composantes n'arrive pas dans l'espace par miracle. J'ose a peine imaginer le coût de mise en orbite d'un navette ou d'une fusée même sans matériaux a bord. Des solutions de type ..Star Trek.. existent toutefois le développement de l'espace doit suivre son cours avant les années 3000 et surtout de pas mettre en danger inutilement la vie des hommes et femmes de l'espace. J'imagine cette station non seulement comme en rotation autour de la terre mais aussi comme véhicule de transport dans l'espace. L'être humain n'a pas évoluer avec des bottes magnétiques dans les pieds. Il s'est développé avec la gravité et c'est vers cette cible que les efforts doivent se faire. L'idéal est bien sur la fabrication des modules sur terre et juste consacrer l'assemblage dans l'environnement spatiale. Pour les zones A et B un compromis est possible et fera l'objet d'un écrit plus loin. Pour ceux et celles qui avaient des doutes vous connaissez maintenant l'objectif et ma façon de voir les choses. Il est aussi préférable de garder les extrémités de la poutre des panneaux solaires pour les véhicules d'urgences (pour l'instant) qui seront au nombre de deux.

L'étoile centrale, il est possible d'utiliser cette étoile comme points de fixations de zones qui ne sont pas des modules habitables. Des réserves de carburants distingues avec des zones opposées pourraient être joints a l'étoile. Selon ma compréhension la distance entre l'étoile et ces zones peut être différentes de celle des modules habitables même si la station est en rotation. Une autre option est d'utiliser le bout de la poutre centrale comme réserve toujours en opposition du carburant et de l’oxydant, toutefois dans ce cas il faut faire attention a la distance et s'assurer que les liquides vont se rendent a l'endroit ou ils sont attendu. Je ne rêve pas en couleur, il est de première importance de penser a cela immédiatement avant que des décisions lourdes de conséquences soient prises. L’instrumentation, le contrôle thermique, la possibilité de quitter la station, impliquent des choix différents pour un engin en déplacement. Toutefois prévu a l'avance la cible visée sera plus facile a atteindre et les coûts visés respectés (je cherche encore pour le é).

Je me demande aussi si les étages des fusées pourraient être modifiés et être utilisable pour la construction de l'espace. Un module isolé plein de carburant nécessitant l'installation de deux embouts soudé, possible ou non ? Un revêtement intérieur qu'il sera possible d'enlever et de le disposer correctement pour mettre a jour la coquille de survie ? Installation d'un couvert en 16 heures possible ou non incluant l’enlignement  par points électromagnétiques de couplage temporaire ? Je sais, c'est trop rapide mais attention je parle ici de la fixation de base et des travaux extérieurs. Un premier couvert fixé,  devrait permettre un couplage avec la station et faciliter l'installation du deuxième couvert avant les travaux de finalisations d'étanchéités et autres.

Ti-Vert: Manque d'espace dans l'espace pour le bar ?

EDE0123112024

At this stage we have what? A gravity station and a gravity-free station. It is important to mention this because solutions will have to be found for the zero gravity of the station. In the meantime I do not intend to change the formula of the station. These components do not arrive in space by miracle. I dare not imagine the cost of putting a shuttle or a rocket into orbit even without materials on board. Solutions of the type ..Star Trek.. exist however the development of space must follow its course before the 3000s and especially not to unnecessarily endanger the lives of men and women of space. I imagine this station not only as rotating around the earth but also as a transport vehicle in space. The human being did not evolve with magnetic boots on his feet. He developed with gravity and it is towards this target that efforts must be made. The ideal is of course the manufacture of the modules on Earth and just devote the assembly in the space environment. For zones A and B a compromise is possible and will be the subject of a writing later. For those who had doubts you now know the objective and my way of seeing things. It is also preferable to keep the ends of the beam of the solar panels for the emergency vehicles (for now) which will be two in number.

The central star, it is possible to use this star as fixing points for zones that are not habitable modules. Distinguished fuel reserves with opposite zones could be joined to the star. According to my understanding the distance between the star and these zones can be different from that of the habitable modules even if the station is rotating. Another option is to use the end of the central beam as a reserve always in opposition to the fuel and the oxidizer, however in this case it is necessary to pay attention to the distance and to ensure that the liquids will go to the place where they are expected. I am not dreaming in color, it is of prime importance to think about this immediately before heavy decisions with consequences are made. Instrumentation, thermal control, the possibility of leaving the station, imply different choices for a moving machine. However, planned in advance, the target will be easier to reach and the targeted costs respected (I am still looking for the é).

I also wonder if the rocket stages could be modified and be usable for the construction of space. An isolated module full of fuel requiring the installation of two welded tips, possible or not? An interior coating that will be possible to remove and arrange correctly to update the survival shell? Installation of a cover in 16 hours possible or not including alignment by temporary electromagnetic coupling points ? I know, it is too fast but be careful, I am talking here about the basic fixing and external work. A first fixed cover should allow a coupling with the station and facilitate the installation of the second cover before the finalization work of sealing and others.

Ti-Vert: Lack of space in the area for the bar?




Le but visé actuellement n'est pas de construire une ville dans cette station, simplement ..prévoir.. essayer, imaginer, concevoir la possibilité d'agrandissement prévue d'avance. Dans cette station les déplacements pourront se faire soit par les couloirs soit de module en module évidemment sans habit spatial.

The current goal is not to build a city in this station, but simply to...plan...try, imagine, design the possibility of expansion planned in advance. In this station, travel can be done either through the corridors or from module to module, obviously without space suit.



EDE0124112024

Encore des questions importantes, doit t-on coller les modules ou laisser un vide entre ceux-ci a des fins de vérification. Il est facile de répondre a cette question sur terre mais pas dans l'espace, surtout avec des informations incomplètes. Essayons de répondre quand même. Quelques informations en provenance d'internet ayant un lien. Diamètre d'une partie de la fusée Saturne 5 (10 mètres). Diamètre de la fusée Ariane 5 (5,4 mètres). La navette spatial Américaine diamètre la zone de cargaisons (4,5 mètres). Diamètre du module de service ..Zvezda.. (4,15 mètres). Diamètre du laboratoire Destiny (4,27 mètres). La poutre P6 des panneaux solaires de la SSI (10,70 mètres). L'oxygène sous forme liquide -183 C. L'oxygène solide -218 C. L'hydrogène liquide -253 C.

Je saute encore dans le vide. Collé les modules ne permettrons pas une inspection détaillée. Il y a +- 300 dégrées d'écart entre l'ombre et la lumière dans l'espace (près de la terre). Collé la répartition thermique devrait être plus uniforme et avoir un effet moins stressant pour le métal en mode de gravitation zéro même avec un isolant thermique de protection de l'enveloppe extérieure. Mais collé jusqua quel points ? Selon ma compréhension avec de bons isolants et une protection mécanique de l'enveloppe extérieure ce problème n'est plus classé (1) dans la somme des problèmes a résoudre. J'ai peur d'écrire ce texte mais je le fais quand même, la justification est au début de ce document. J'opte pour l'instant aux décollement des modules pour permettre une vérification par caméra ou présence humaine pour l'enveloppe de protection extérieure des modules. Reste a déterminer la distance sécuritaire d'inspection et ou de réparation d'avaries des modules. Même si cela n'est pas encore déterminé la surveillance par caméra devra couvrir 100% de la zone a surveiller (aucun angle mort). En tout cas c'est un peu le même principe lorsque que l'on surveille des baigneurs. Par conséquent la SSV (station spatiale de Ti-Vert) devra permettre l'installation de 4 autres modules supplémentaires (diamètre encore indéterminé) et suffisamment d'espace dans ce cas pour être inspecté d'une façon sécuritaire par caméra et en présence humaine pour 100% de la surface a couvrir. Pour l'instant aucun calcul de rotation n'est effectué. Nous avons quand même en ce moment des informations permettant de faire certains calculs de gravité artificielle. Je ne sais pas si j'ai la compétence pour faire ces calculs et dans ma façon de faire ce n'est pas encore ma priorité.

Pour l'instant j'imagine trois (3) points de raccordement de chaque cotés incluant les ..sas.. d'accès entre les modules. La possibilité d'avoir des points de raccordements supplémentaires de l'étoile est toujours présente, mais pas pour les modules destiné aux humains. Histoire de faire comme le ..mot-dit.. SS il est temps d'un peu de musique (ici). Je réfléchie aussi a la poutre principale des panneaux solaires et a (aux ?) étoiles. Et si il y avait trois (3) étoiles sur le même arbre. Je sais aussi que la rotation doit être balancée afin d'éviter la dérive de la Station. Avec 3 étoiles les possibilités des branchements d'origine et des ajouts seront facilitées. Je pense encore au carburant et a l’oxydant. Imaginons 3 étoiles étagées avec comme centre l'étoile des modules habitables. Nommons les A B C. Une possibilité d'utiliser le B pour le carburant et le C pour l’oxydant. J'écris ce point rapidement car des personnes ayant une formation plus importante que la mienne pourront prendre une décision concernant le nombre d'étoile. Ce croquis ci-bas illustre cette idée.

EDE0124112024

More important questions, should we glue the modules or leave a gap between them for verification purposes. It is easy to answer this question on earth but not in space, especially with incomplete information. Let's try to answer anyway. Some information from the internet with a link. Diameter of a part of the Saturn 5 rocket (10 meters). Diameter of the Ariane 5 rocket (5.4 meters). The American space shuttle diameter of the cargo area (4.5 meters). Diameter of the service module ..Zvezda.. (4.15 meters). Diameter of the Destiny laboratory (4.27 meters). The P6 beam of the ISS solar panels (10.70 meters). Liquid oxygen -183 C. Solid oxygen -218 C. Liquid hydrogen -253 C.

I jump into the void again. Glued modules will not allow a detailed inspection. There is +- 300 degrees difference between shadow and light in space (near the earth). Glued the thermal distribution should be more uniform and have a less stressful effect on the metal in zero gravitation mode even with a thermal insulation to protect the outer envelope. But glued up to what point? According to my understanding with good insulators and mechanical protection of the outer envelope this problem is no longer classified (1) in the sum of problems to be solved. I am afraid to write this text but I do it anyway, the justification is at the beginning of this document. I opt for the moment for the detachment of the modules to allow a verification by camera or human presence for the outer protective envelope of the modules. It remains to determine the safe distance for inspection and or repair of module damage. Even if this is not yet determined, camera surveillance must cover 100% of the area to be monitored (no blind spots). In any case, it's a bit the same principle when you monitor swimmers. Consequently, the SSV (Ti-Vert space station) will have to allow the installation of 4 other additional modules (diameter still undetermined) and enough space in this case to be inspected in a safe way by camera and in human presence for 100% of the surface to be covered. For the moment, no rotation calculations are made. We still have information at the moment allowing us to make certain calculations of artificial gravity. I don't know if I have the skills to make these calculations and in my way of doing it is not yet my priority.

For the moment, I imagine three (3) connection points on each side including the ..airlocks.. of access between the modules. The possibility of having additional connection points of the star is always present, but not for the modules intended for humans. History of doing as the ..word-says.. SS it's time for a little music (here). I am also thinking about the main beam of the solar panels and the stars. What if there were three (3) stars on the same tree. I also know that the rotation must be balanced in order to avoid the Station drifting. With 3 stars the possibilities of the original connections and additions will be facilitated. I am still thinking about the fuel and the oxidizer. Let's imagine 3 stars staggered with the star of the habitable modules as the center. Let's name them A B C. A possibility of using the B for the fuel and the C for the oxidizer. I am writing this point quickly because people with more training than mine will be able to make a decision concerning the number of stars. This sketch below illustrates this idea.

EDE01261120240957 (audio)

Rien n'est simple, ces 3 mots vont revenir à plusieurs occasions.  L'isolation et le contrôle thermique d'un engin en déplacement dans l'espace ne pourra bénéficier de la radiation terrestre. Il est possible par calcul de prévoir l'isolation thermique d'un véhicule,  mais comment vérifier ce point quand notre technologie ne permet que difficilement de voir le résultat ? L'oxygène et l'hydrogène utilisé comme source d'énergie peuvent devenir en phase solide dans certaines conditions.  Je vous laisse imaginer les conséquences.  Pouvez vous me donner une protection de -300 degrés centigrades en phase passive ? Plus on s'éloigne de notre soleil et plus les conditions vont ressembler à des environnements démentiels, l'inverse est aussi vrai.

Dans quelle direction la recherche spatiale à commencer ? vers le soleil ou vers Pluton. J'écris ce texte avec des données qui ne m'appartienne pas. Toutefois j'ai une façon de voir les choses qui peut faire une différence.  Les unités périphériques adaptables en tensions et fréquence peuvent aider à réduire la complexité d'une installation,  mais surtout à les rendre interchangeables avec d'autres complexes spatiales.  Avant de choisir une des solutions actives de contrôles  je suis de ceux qui choisiront des solutions passives si évidemment ces solutions existent.  La priorisation des plans A, B, ou C, en dépende directement.  Oui la cible du -300 degrés centigrades doit être envisagée. Pour l'instant les solutions de câbles chauffants,  de circulation de fluides calorifiques, de ..stockage.. en environnement humain ou encore de réactions chimiques exothermiques ne sont pas encore ma priorité, mais mes enfants eux le sont.

Pierre Michaud,  PMI. Ce 26 novembre 2024.

EDE01261120240957

Nothing is simple, these 3 words will come up on several occasions. The insulation and thermal control of a vehicle moving in space will not be able to benefit from terrestrial radiation. It is possible by calculation to predict the thermal insulation of a vehicle, but how can we verify this point when our technology makes it difficult to see the result? Oxygen and hydrogen used as an energy source can become solid phase under certain conditions. I let you imagine the consequences. Can you give me protection of -300 degrees centigrade in the passive phase? The further we move away from our sun, the more the conditions will resemble insane environments, the reverse is also true.

In which direction should space research begin? towards the sun or towards Pluto. I am writing this text with data that does not belong to me. However, I have a way of seeing things that can make a difference. Peripheral units adaptable in voltages and frequencies can help reduce the complexity of an installation, but especially to make them interchangeable with other spatial complexes. Before choosing one of the active control solutions, I am one of those who will choose passive solutions if obviously these solutions exist. The prioritization of plans A, B, or C, depends directly on it. Yes, the target of -300 degrees centigrade must be considered.

For the moment, solutions for heating cables, circulation of heat fluids, .. storage .. in a human environment or even exothermic chemical reactions are not yet my priority, but my children are.

Pierre Michaud, PMI. This November 26, 2024.


EDE01271120241448 (Small correction at 19:07h)

Selon ma compréhension un objet (masse) lancé dans le vide cessera presque immédiatement d'accélérer lorsque qu'il quitte le lanceur. Évidemment si il n'y a pas d'autres facteurs successibles de l’influencer. Pour la SSV il faut quand même contrôler la vitesse de rotation et l'angle de pivotement. Pour la rotation, oui je crois qu'une surveillance a l'aide de balances est une bonne idée. Si un contrôle de rotation non automatisé est nécessaire je l'imagine a la baisse. Cela veut dire un lancement manuel de la station et une rotation se dirigeant dans le temps ou par sécurité vers la baisse. Ici nous ne somme pas dans des jeux de foire. Je sais que vous savez cela, mais il faut quand même prendre des décisions qui touche la sécurité des occupants. Une rotation hors contrôle est susceptible de causer des dommages humains irréversibles et rien de ce qu'il est possible de faire pour éviter cela ne doit être mit de coté. Une autre sécurité pourrait être le gyroscope central. Ce gyroscope peut tourner dans les deux sens ou encore avoir 2 volants sur le même axe. Une sécurité de plus pour contrôler la rotation. Je pense aussi a la reconnaissance des pixels. Entre deux rotations un pourcentage programmé pourrait permettre l'analyse d'images comparatives et aviser dans le cas d'un écart important. Et pourquoi pas un inclinomètre mécanique. Le pendule devrait modifier sa position vertical pour des rotations différentes. Seules les personnes de l'espace possèdent certaines des réponses que je me pose, toutefois je continu d'avancer. Notre 1G terrestre n'est peut être pas une obligation pour la santé dans l'espace. 1/2 G est t-il suffisant pour maintenir les astronautes en santé ? je ne sais pas, en revange je sais que la station ne doit pas augmenter sa vitesse vers des plages dangereuses pour les occupants. Une très légère décélération est aussi une sécurité.  Faire une correction une fois par semaine ou par mois je ne sais pas est selon ma vision actuelle une sécurité. Je peux aussi me tromper. Rien ne remplace la surveillance humaine et avant d'essayer d'automatiser ce point je suis de ceux qui préconise le contrôle manuel pour cette variable. Je ne suis pas un génie des mathématiques mais je sais qu'il s'agit de masse, de forces et de directions appliquées dans cette problématique. En résumé je pense qu'il faut surveiller la rotation et non la contrôler par instrument pour l'instant.     →Attention cela ne veut pas dire de ne pas prévoir l'arrêt automatisé possible de la sur-rotation. ←  

Une solution simple du plan B. Un hublot, une petite cellule photoélectrique, une pile, un compteur d’événement et voila vous avez une autre sécurité.  Le chiffre sur le compteur vous indiquera le nombre de rotation de la station ou sa constance. Ou le placer ? Entre l'ombre et la lumière dans la rotation de la station. Le terme SSV est et sera utilisé dans ce document, ce n’est pas par vedettariat mais comme référence de texte et de station pour ces écrits. Cela semble prétentieux je sais. Et pour le VMSD ?

Pierre Michaud, PMI. This November 27, 2024.


EDE01271120241448 (Small correction at 19:07h)


According to my understanding, an object launched into a vacuum will immediately stop accelerating when it leaves the launcher. Obviously if there are no other factors that can influence it. For the SSV, it is still necessary to control the rotation speed and the pivot angle. For the rotation, yes, I think that monitoring using scales is a good idea. If a non-automated rotation control is necessary, I imagine it to be downward. This means a manual launch of the station and a rotation that goes downward over time. We are not in a fairground game here. I know you know this, but we still have to make decisions that affect the safety of the occupants. An uncontrolled rotation is likely to cause irreversible human damage and nothing that can be done to avoid this should be put aside. Another safety feature could be the central gyroscope. This gyroscope can rotate in both directions or have 2 flywheels on the same axis. One more safety feature to control the rotation. I am also thinking about pixel recognition. Between two rotations a programmed percentage could allow the analysis of comparative images and advise in the event of a significant difference. And why not a mechanical inclinometer. The pendulum should change its vertical position for different rotations. Only space people have some of the answers I am asking myself, however I continue to move forward. Our terrestrial 1G may not be an obligation for health in space. Is 1/2 G enough to keep astronauts healthy? I don't know, on the other hand I know that the station must not increase its speed to dangerous ranges for the occupants. A very slight deceleration is also a safety feature. Making a correction once a week or a month I don't know is according to my current vision a safety feature. I could also be wrong. There is no substitute for human monitoring and before trying to automate this point I am one of those who advocate manual control for this variable. I am not a math genius but I know that it is about mass, forces and directions applied in this problem. In summary I think that we must monitor the rotation and not control it by instrument for now. → Please note that this does not mean that the possible automated shutdown of over-rotation should not be planned ←.

A simple solution of plan B. A porthole, a small photoelectric cell, a battery, an event counter and voila you have another security. The number on the counter will tell you the number of rotations of the station or its constancy. Where to place it? Between the shadow and the light in the rotation of the station. The term SSV is and will be used in this document, it is not for stardom but as a text and station reference for this document. It seems pretentious I know. And for the VMSD ?

Pierre Michaud, PMI. This November 27, 2024.

EDE01281120241209 (audio)

Parlons encore de ce point, l'accélération d'un objet lancé dans l'espace. Si je lance un objet avec ma main dans l'espace que se passe t-il ? Pour l'instant nous allons volontairement négliger l'espace parcouru par le bras au moment du lancé.  Sans cette espace il ne peut avoir accélération car cette variable est à zéro pour le moment.  L'objet dans ma main a accumulé de l'énergie qui sera libéré au moment de le lâcher.  Si aucun facteur de ralentissement est présent au moment de lâcher l'objet, toute l'énergie accumulé sera telle libéré instantanément ? Essayons un raisonnement inverse. Supposons maintenant qu'il y a une accélération même infime.  Cela devra impliquer que la libération de l'énergie accumulé  dans l'objet est progressive et si c'est le cas, quel(s) facteur(s) est ou sont responsable(s) de ce comportement ? Une première théorie l'espace n'est pas vide. Nous savons que c'est le cas, les nuits boréales le prouve hors de tous doutes. Il est donc possible d'aborder cette question avec deux volets différents.  Le premier avec un niveau théorique ne laissant aucune place au zéro et le deuxième avec un niveau pratique ou une limite à été arrondie et peut être vérifiée avec des objets possédant des formes et masses différentes.  Ce que je crois comprendre, c'est que plus l'objet lancé  est volumineux et plus le phénomène de l'accélération va se manifester.  A l 'inverse plus l'objet sera massif et plus la libération de l'énergie accumulé sera instantanée.  Je suis obligé de dire oui avec mon texte il y a accélération toutefois je ne sais pas dans quelle grandeur.  Je ne peux ignorer ce point car les déplacements dans l'espace implique des millions de kilomètres même si les déplacements sont en rotation. Pour la vraie réponse ou la validation de ce texte consulter la NASA . Avec mes connaissances je ne peux en faire plus et me tromper. En terminant l'accélération et la vitesse sont deux choses différentes.

Pierre Michaud, PMI, ce 28 novembre 2024

EDE01281120241209

Let's talk about this point again, the acceleration of an object thrown into space. If I throw an object with my hand into space, what happens? For now, we will voluntarily neglect the space traveled by the arm at the time of throwing. Without this space, there can be no acceleration because this variable is zero at the moment. The object in my hand has accumulated energy that will be released when it is released. If no slowing factor is present when the object is released, will all the accumulated energy be released instantly? Let's try an inverse reasoning. Now suppose that there is an acceleration, even a tiny one. This must imply that the release of the energy accumulated in the object is progressive and if this is the case, what factor(s) is or are responsible for this behavior? A first theory: space is not empty. We know that this is the case, the northern nights prove it beyond any doubt. It is therefore possible to approach this question with two different aspects. The first with a theoretical level leaving no room for zero and the second with a practical level where a limit has been rounded and can be verified with objects with different shapes and masses. What I believe I understand is that the larger the object launched, the more the acceleration phenomenon will manifest itself. Conversely, the more massive the object, the more instantaneous the release of accumulated energy will be. I am obliged to say yes with my text there is acceleration, however I do not know in what magnitude. I cannot ignore this point because movement in space involves millions of kilometers even if the movements are in rotation. For the real answer or validation of this text, consult NASA. With my knowledge I cannot do more and be wrong. In conclusion, acceleration and speed are two different things.

Pierre Michaud, PMI, November 28, 2024


EDE02281120241615

J'ai fais quelques recherches sur internet et je ne suis pas certains des textes et vidéos que j'ai vu. J'essaie de comprendre. Il faut aller sur la lune pour aller vers Mars ? Pourquoi ne pas aller directement sur Mars, parce que il peut y avoir de l'eau sur la Lune ? (3 a 4 jours pour le voyage ?). Une construction simple et suffisamment volumineuse pourrait partir de la terre et se rendre directement sur Mars. J'ai peur de ces constructions sur la Lune et je suis certains que je ne suis pas le seul. J'ai essayer de trouver des tableaux qui montrent les variations d'inclinaisons de la terre depuis les années 1900 sans succès. Il s'agit de vérifications rapides mais quand même. L'inclinaison de la terre est responsable des climats en grande partie. Quand je regarde autour de moi et constate l'arrogance et l’imbécillité de personnes qui veulent savoir comment ça va j'ai une envie folle de faire comparaître ces crétins devant un tribunal pour mettre leurs arrogances a la poubelle en même temps que leurs porte-feuilles. Je m’interroge actuellement pour savoir si je vais continuer cette petite réflexion sur  l'espace ou mettre fin a ces écrits. Dans ce texte il n'y a ni vantardise ni fausse modestie. Pour défendre des personnes il faut au moins les aimer un peu.

Pierre Michaud, PMI papa de Gabrielle et Stéphane Michaud victimes d'enlèvement. Ce 28 novembre 2024

EDE02281120241615

I did some research on the internet and I'm not sure about the texts and videos I saw. I'm trying to understand. Do you have to go to the moon to go to Mars? Why not go directly to Mars, because there may be water on the Moon? (3 to 4 days for the trip?). A simple and sufficiently large construction could start from the Earth and go directly to Mars. I'm afraid of these constructions on the Moon and I'm sure I'm not the only one. I tried to find tables that show the variations in the Earth's tilt since the 1900s without success. These are quick checks but still. The tilt of the Earth is largely responsible for climates. When I look around me and see the arrogance and stupidity of people who want to know how things are going, I have a crazy desire to bring these idiots before a court to throw their arrogance in the trash along with their wallets. I am currently wondering whether I am going to continue this little reflection on space or put an end to these writings. In this text there is neither boasting nor false modesty. To defend people you have to at least love them a little.

Pierre Michaud, PMI father of Gabrielle and Stéphane Michaud victims of kidnapping. This November 28, 2024

EDE01301120241306 (audio)

Parlons maintenant de ce croquis.
Son rôle est de contrôler l'angle de la station ..engin... Le type de matériaux utilisé, pour les génies du QI vous n'avez qu'a choisir. Mon concept est simple, deux volants pour l'axe vertical, et deux pour l'axe horizontal. Mais pourquoi deux ? L'explication de base.  Oui, une relève est possible. En cas de défaillance moteur l'unité superposée va prendre la relève.  Ceci sous entend, qu'un seul volant, est nécessaire pour modifier, ou stabiliser l'angle de la station. Quand je dit un, il peut y avoir aussi un deux, et pas nécessairement sur le même axe. Cela va dépendre du contrôle de l'angle en plus de sa stabilisation.  Toute mon analyse vise à garder les choses simples. Il y aura quatre disques et je les supposent identiques. Pourquoi ? pour des fins de sécurité.  Ces deux systèmes devront être capables de se remplacer mécaniquement en cas d'avarie. La vitesse variable de ces disques devraient permettre une adaptation des forces centrifuges contrôlées. Cela implique des rotations inversées possibles de chacun des disques. Une rotation inversée est une sécurité en cas de perte de contrôle.  Je sais que vous savez. Maintenant la localisation,  au centre de la croix en bas ou en haut de ou des chambres électriques.  Il est possible de faire tourner un disque d'ordinateur à 7000 RPM, alors, entre 0 et 7000, il me semble y avoir beaucoup de positions intermédiaires pour la force centrifuge des disques.  Les moteurs seront en courants continu et un panneau local devra permettre une activation manuelle de la rotation contrôlée. En plus, une dérivation de contrôle de vitesse pour une rotation à 100 % en cas d'urgence. Il est possible d'avoir les couloirs du (T) sous pression avec de l'air. L'équilibre thermique de ces couloirs en sera que meilleur.  Ces personnes doivent pourvoir se déplacer dans cette station (..Engin..) sans scaphandre en mode gravité ou non. Je prévois des arbres vissés et balancés pour les disques. Pourquoi ? Pour un remplacement rapide des roulements avec l'arbre assemblé en cas de mal fonctionnement. Quatre disques,  huit  arbres, et trois roulements a chaque extrémité . Il faut faire aussi attention à la masse et inertie des disques.  Des freins d'urgences sont t-ils nécessaires ? Une procédure simple pour l'orientation des panneaux solaires par ..step... Démarrage du ou des volants. Orientations des panneaux.  Arrêts des volants. Il y aura une perte d'efficacité des panneaux si un asservissement par boucle n'est pas disponible.  Une question avant de continuer, l'orientation mécanique automatisée des panneaux, indispensable ou non ?

Le démarrage progressif, ou inversé en duo des disques, avant l'arrêt de un sur deux devrait garder la station stable, pendant l'orientation des panneaux solaires. Les rotations inversées sont pour minimisés le déplacement de la station au démarrage des volants, même si l'augmentation des RPM est progressive. Il s'agira de la mécanique principale de la stabilisation de la station lors du mouvement des panneaux.  Une raison justificatrice.. l'environnement... Doit t-on considérer  l'éjection d'air ou de n'importent quelles substances dans l'espace comme de la pollution ? Un autre dossier. Une station autour d'une planète est une sécurité de proximité pour les hommes et femmes de l'espace. Je pense ici à Mars. Il faut aussi rire un peu oui directement sur Mars et au minimum en orbite pour l'instant.  J'imagine que la SSI est une station expérimentale, mais jusqu'a quel point ! Comme vous mon analyse aussi est expérimentale.  Une devinette avant de continuer,  pourquoi commencer avec un diamètre de 1 mètres  pour les disques ? Je vous laissent avec cette question car je cherche encore une personne honnête sur cette planète.

Pierre Michaud, PMI,
Ce 30 novembre 2024.

EDE01301120241306 (audio)

Now let's talk about this sketch.
Its role is to control the angle of the station .. engine ... The type of materials used, for the geniuses of the IQ you just have to choose. My concept is simple, two flywheels for the vertical axis, and two for the horizontal axis. But why two? The basic explanation. Yes, a replacement is possible. In the event of engine failure the superimposed unit will take over. This implies that only one flywheel is necessary to modify or stabilize the angle of the station. When I say one, there can also be two, and not necessarily on the same axis. This will depend on the control of the angle in addition to its stabilization. My entire analysis aims to keep things simple. There will be four disks and I assume them to be identical. Why? For safety purposes. These two systems must be able to replace each other mechanically in the event of a breakdown. The variable speed of these disks should allow for adaptation of the controlled centrifugal forces. This implies possible reverse rotations of each of the disks. A reverse rotation is a safety in case of loss of control. I know that you know. Now the location, at the center of the cross at the bottom or at the top of the electrical chamber(s). It is possible to spin a computer disk at 7000 RPM, so, between 0 and 7000, it seems to me that there are many intermediate positions for the centrifugal force of the disks. The motors will be in direct current and a local panel will have to allow manual activation of the controlled rotation. In addition, a speed control bypass for 100% rotation in case of emergency. It is possible to have the corridors of the (T) under pressure with air. The thermal balance of these corridors will be better. These people must be able to move around in this station (..Engine..) without a diving suit in gravity mode or not. I am planning screwed and balanced shafts for the disks. Why? For quick replacement of bearings with the assembled shaft in case of malfunction. Four disks, eight shafts, and three bearings at each end. Attention must also be paid to the mass and inertia of the disks. Are emergency brakes necessary? A simple procedure for the orientation of the solar panels by ..step... Starting the flywheel(s). Orientations of the panels. Stopping the flywheels. There will be a loss of efficiency of the panels if a loop servo is not available. A question before continuing, is the automated mechanical orientation of the panels essential or not?

The progressive start, or reversed in duo of the disks, before stopping one out of two should keep the station stable, during the orientation of the solar panels. The reversed rotations are to minimize the movement of the station when starting the flywheels, even if the increase in RPM is progressive. This will be the main mechanism for stabilizing the station during the movement of the panels. A justifying reason... the environment... Should we consider the ejection of air or any substances into space as pollution? Another issue. A station around a planet is a proximity security for spacemen and women. I am thinking here of Mars. We must also laugh a little yes directly on Mars and at least in orbit for the moment. I imagine that the ISS is an experimental station, but to what extent! Like you, my analysis is also experimental. A riddle before continuing, why start with a diameter of 1 meter for the disks? I leave you with this question because I am still looking for an honest person on this planet.

Pierre Michaud, PMI,
This November 30, 2024.

EDE01011220241350

Cette partie n'est pas encore terminé. Nous allons quand même continuer. La surveillance des gyroscopes pour l'ajustement des angles. En premier lieu, les vibrations, un indice qui ne trompe pas sur l'enlignement et le bon fonctionnement des disques. Un autre le bruit, il sera transmis par les caméras au différents modules de la SSV. Pour ces systèmes de positionnements, les moniteurs de courants sont aussi indispensables.  Renifler ces moteurs depuis les modules est problématique, alors le courant absorbé par les moteurs en fonction des RPM (autres variables) sont donc indispensable dans ce cas. Comme je l'ai déjà mentionné, un contrôle manuel local est nécessaire au centre de la croix. Cela ne devra pas empêcher le contrôle par le système d’acquisition et actions doubles. Dans chacun des modules, c'est toute la station (engin) qui devra être contrôlée.

Pour le feu maintenant. A chaque endroit ou des moteurs électriques seront installés, une surveillance de feu devra être présente au minimum, la ou le feu est possible. Les gyroscopes réels suggéré, vont différer du croquis. Les 4 disques seront mécaniquement et électriquement indépendants. Deux des axes seront fixés au plancher,  et les deux autres au ..plafond. Au centre de la station la gravité sera de plus ou moins zéro, les mots plafond et plancher seront remplacés en temps et lieu par des termes plus adéquat. Il faut faire attention cela semble simple mais ce n'est pas le cas. Imaginez un blocage ou une perte de contrôle des disques. Même avec  un ..panic control system.. La station peut être en gravité, mais dans quelle sens ! Ceci est aussi vrai pour l'éjection des gaz etc. Un disque plus grand avec moins de RPM devrait aider dans ce cas. Je peux aussi me tromper. Dans le même secteur j'ai prévu des sorties dans l'espace de chaque cotés que l'axe principal des panneaux solaires. Le personnel dans cette zone devra travailler sans gravité et logiquement je crois que pour l'entrée et sorties des astronautes que ce sont de bons endroits. Attention ce ne sont pas les seuls accès. Parlant de ces deux zones, bel endroit pour les connecteurs ! Ce n'est pas par moqueries que j'écris cela, moi aussi j'ai besoin de me détendre. J’écris peut-être la prochaine ligne pour rien, mais le froid ne doit pas grippé les roulements. Je crois aussi que la sécurité de sur-rotations par l'inversion de disques, est une bonne façon d'avoir un système fiable et sécuritaire. A savoir si les disques avec des arbres séparé ou non pour les essais sont indispensable, demandez a votre porte-feuille.

C'est tout pour l'instant.

Pierre Michaud, PMI
Ce 01 décembre 2024

EDE01011220241350

This part is not yet finished. We will continue anyway. Monitoring the gyroscopes for adjusting the angles. First, the vibrations, an indicator that does not deceive on the alignment and the proper functioning of the disks. Another is the noise, it will be transmitted by the cameras to the different modules of the SSV. For these positioning systems, current monitors are also essential. Sniffing these motors from the modules is problematic, so the current absorbed by the motors according to the RPM (other variables) are therefore essential in this case. As I have already mentioned, a local manual control is necessary at the center of the cross. This should not prevent control by the acquisition system and double actions. In each of the modules, the entire station (machine) must be controlled.

For the fire now. At each location where electric motors will be installed, a fire monitor must be present at least, where fire is possible. The actual gyroscopes suggested, will differ from the sketch. The 4 disks will be mechanically and electrically independent. Two of the axes will be fixed to the floor, and the other two to the ..ceiling. At the center of the station the gravity will be more or less zero, the words ceiling and floor will be replaced in due time by more adequate terms. Be careful, this seems simple but it is not the case. Imagine a blockage or a loss of control of the disks. Even with a ..panic control system.. The station can be in gravity, but in which direction! This is also true for the ejection of gases etc. A larger disk with less RPM should help in this case. I could also be wrong. In the same sector I have planned spacewalks on each side of the main axis of the solar panels. The personnel in this area will have to work without gravity and logically I believe that for the entry and exit of the astronauts that these are good places. Be careful these are not the only accesses. Speaking of these two areas, nice place for connectors! I'm not writing this to make fun of you, I need to relax too. I may be writing the next line for nothing, but the cold must not seize the bearings. I also believe that over-rotation safety by reversing the discs is a good way to have a reliable and safe system. As to whether or not discs with separate shafts for testing are essential, ask your wallet.

That's all for now.

Pierre Michaud, PMI
This December 01, 2024


EDE01021220242112 (audio)

Le sujet du jour, les dimensions de la SSV. La station internationale de l'espace la SSI, s'est développée grâce à la navette spatiale.  Le diamètre de plusieurs modules, se situe au alentours  de 4 mètres.  Le personnel de la SSI et moi avons quelque chose en commun,  le camping.  Pour vous faire une idée, en marchant dans la rue ou dans un autre lieu, essayé de trouver un canot. Les dimensions pour un canot à deux, vont varier sommairement entre 12 et 18 pieds. Pour un canot de rivière, j'utilise personnellement un canot de 16 pieds, soit  un peu plus de 5 mètres.  Un mètres de plus que certains modules spatiaux. Pour vous faire une idée encore plus précise, imaginez ce canot avec de l'isolation sur le sens de la longueur, et un petit mobilier en plus. Que reste t-il. Peu d'espace pour la mobilité, et l'entreposage des matériaux et autres nécessaires à la vie. Ce n'est pas une critique, juste une constatation.  Des compromis ont été probablement nécessaires pour la mise en chantier, et vous et moi n'avons pas été impliqués. J'ai peur des discussions visant les compromis qui ont été fait pour cette réussite spatiale presque inimaginable. J'ai quand même décider d'avancer.

L'idée proposée est simple, utiliser les modules comme pièce de la fusée.  Le 4 ou 4,2 mètres de la SSI devrait êtres largement dépassé, si cela est possible et ouvre la porte a des diamètre plus importants. SATURNE 5, possède certains diamètre pouvant aller vers les 10 mètres.  Soit un peu plus de 2 fois notre 4,2 mètres.  Je crois qu'il faut viser encore plus haut. Vers  les 15 ou 20 mètres. L'engin que j'imagine, devra se déplacer en autonomie totale vers d'autres planètes, et offrir un espace de vie convenable pour des voyages de ce type. J'utilise ce mot ..convenable.. Au sens large du terme. Ce mot imbrique la sécurité, de toutes les façons dont il est possible de l'imaginer. Sur mon petit croquis ne cherchez pas les engins de secours, car vous ne les verrez pas. Ils sont à l'intérieur des modules et au nombre de deux . Avez vous des souvenirs concernant le LEM du programme Apollo ?

Je crois avoir aussi résolu, le problème environnemental des réservoirs de carburant de la ..fusée module... (BADAM-A de PMI). Comment ? Plus de un réservoir, et des diamètres ne dépassant pas 4 mètres. Le retour de ces réservoirs, pourra se faire grâce a la navette spatiale Américaine.  Oui je crois que cela est possible. Des dimensions plus grandes que la SSI, offrent une augmentation de la sécurité dans tous les aspects du terme. Gravité artificielle,  inertie thermique, épaisseur de l'isolant,  délais de vie en cas de panne majeur, solutions B, et longévité de l'investissement.  Ceux et celles qui n'ont pas peur de l'espace n'ont rien à faire dans ce domaine.  En écrivant cela, j'ouvre la porte aux critiques  mais cela ne changera rien, comme l'électricité je continue à avoir peur, et cela ne changera pas.

Ce texte n'est pas une coquille vide, car il permet l'orientation de la recherche et les priorisations des cibles d'étapes. Les fusées modules doivent faire l'objet de développement.  Les travaux réalisés dans l'espace ne seront pas éliminés, toutefois selon ma conception il seront mieux dirigés. Jusqu'à quel point est t-il possible de rendre les modules autonomes avant leurs lancements dans l'espace ? La SSI possède déjà cette réponse. En revange, je crois avoir trouver la solution pour des volumes plus importants, et une construction réaliste des ouvrages spatiaux. Voilà, c'est tout pour cette partie.

Pierre Michaud,  PMI
Ce 03 décembre 2024.

EDE01021220242112 (audio)

Today's topic, the dimensions of the SSV. The international space station, the ISS, was developed thanks to the space shuttle. The diameter of several modules is around 4 meters. The ISS personnel and I have something in common, camping. To give you an idea, while walking down the street or in another place, try to find a canoe. The dimensions for a two-person canoe will vary roughly between 12 and 18 feet. For a river canoe, I personally use a 16-foot canoe, or a little over 5 meters. One meter longer than some space modules. To give you an even more precise idea, imagine this canoe with insulation along the length, and a little extra furniture. What's left? Little space for mobility, and storage of materials and other necessities for life. This is not a criticism, just an observation. Compromises were probably necessary for the construction, and you and I were not involved. I am afraid of the discussions aimed at the compromises that were made for this almost unimaginable space success. I have decided to move forward anyway.

The proposed idea is simple, to use the modules as part of the rocket. The 4 or 4.2 meters of the ISS should be largely exceeded, if possible and opens the door to larger diameters. SATURN 5, has some diameters that can go up to 10 meters. That is a little more than 2 times our 4.2 meters. I think we should aim even higher. Towards 15 or 20 meters. The machine that I imagine, will have to move in total autonomy to other planets, and offer a suitable living space for trips of this type. I use this word .. suitable .. In the broad sense of the term. This word embodies safety, in every way you can imagine. On my little sketch, don't look for the emergency vehicles, because you won't see them. They are inside the modules and there are two of them. Do you have any memories of the Apollo program's LEM?

I think I also solved the environmental problem of the fuel tanks of the ..rocket module... (BADAM-A from PMI). How? More than one tank, and diameters not exceeding 4 meters. The return of these tanks could be done thanks to the American space shuttle. Yes, I believe that this is possible. Larger dimensions than the ISS offer an increase in safety in all aspects of the term. Artificial gravity, thermal inertia, thickness of the insulation, life expectancy in the event of a major failure, B solutions, and longevity of the investment. Those who are not afraid of space have no business in this area. By writing this, I open the door to criticism but it will not change anything, like electricity I continue to be afraid, and it will not change.

This text is not an empty shell, because it allows the orientation of research and the prioritization of stage targets. Module rockets must be developed. The work carried out in space will not be eliminated, however according to my conception it will be better directed. To what extent is it possible to make the modules autonomous before their launches into space? The ISS already has this answer. On the other hand, I believe I have found the solution for larger volumes, and a realistic construction of space works. That's it, that's all for this part.

Pierre Michaud, PMI
This December 3, 2024.


EDE01051220241112 (audio)

Les pertes thermiques, rien n'est simple,

L'idée de l'effet thermos, présenté dans ce document n'est pas bête, et je ne recule pas encore.  Il y a des conséquences à cela. Ce qui se trouve hors de la coquille de survie recevra que peu de chaleur, en provenance du centre du module. Sans rotation ce qui se trouve dans la partie froide sera froid, et ce qui se trouve dans la partie chaude sera chaud. Cela semble évident, mais en même temps cela empêche une répartition calorifique des températures, et nui à l'équilibre thermique globale statique. Pourquoi statique ? Cela veut dire sans apport thermiques autres que ceux présent dans l'environnement.  Pas de câble chauffants, ni radiateur ni caloporteurs etc. Ce n'est pas une bonne chose de laisser un côté froid et un autre chaud pour la résistance des matériaux. 

Il existe peut-être une façon simple d'aider à réduire cet écart de températures.  Je pense ici à des anneaux de conduction interne. Sur terre le mouvement d'un fluide peut être générer par des différences de températures. Certains transformateur électrique utilise ce principe pour se refroidir. Dans ce cas précis nous parlons d'uniformiser, la température du transformateur avec son environnement.  Aux Îles de la Madeleine, la base des réservoirs de pétrole est peinte en noir, pourquoi ? Je crois que c'est le même principe, uniformisé le contenu liquide dans les réservoirs avant leurs utilisations. Allons directement au but, des anneaux parcourant l'enveloppe du module avec un caloporteur pourrait selon notre compréhension aider à l'équilibre thermique globale du module, si en gravité zéro, un mouvement sans apport d'énergie mécanique est possible.  Les stations spatiales gravitaires, sont aussi prévues, pour des conditions de gravité  zéro.  Alors ce liquide vas t-il bouger ou non, représente t-il un danger de gel, et d'avaries pour les modules. Un essai simple. Un anneau creux, rempli avec un caloporteur. Des mesures de températures des côtés exposés, en comparaison avec un anneau creux sans caloporteur. Même sans caloporteur, il y aura échange thermiques mais lequel des deux anneaux aura le meilleur comportement ? L'essai destructif maintenant, l'anneau au complet a l'ombre. Va t-il résister, et si oui reviendra t-il fonctionnel. Je n'ai aucune de ces réponses, mais j'ai au moins les questions.
Et vous, vous en pensez quoi ?

Pierre Michaud,  PMI
Ce 05 décembre 2024.

EDE01051220241112 (audio)

Thermal losses, nothing is simple, The idea of ​​the thermos effect, presented in this document is not stupid, and I am not backing down yet. There are consequences to this. What is outside the survival shell will receive little heat, coming from the center of the module. Without rotation what is in the cold part will be cold, and what is in the hot part will be hot. This seems obvious, but at the same time it prevents a heat distribution of temperatures, and harms the overall static thermal balance. Why static? This means without thermal input other than those present in the environment. No heating cables, no radiators or heat transfer fluids etc. It is not a good thing to leave one side cold and another hot for the resistance of the materials. There may be a simple way to help reduce this temperature difference. I am thinking here of internal conduction rings. On Earth, the movement of a fluid can be generated by temperature differences. Some electrical transformers use this principle to cool themselves. In this specific case, we are talking about standardizing the temperature of the transformer with its environment. In the Magdalen Islands, the base of the oil tanks is painted black, why? I believe it is the same principle, standardizing the liquid content in the tanks before their use. Let's go straight to the point, rings running through the module envelope with a heat transfer fluid could, according to our understanding, help with the overall thermal balance of the module, if in zero gravity, movement without the input of mechanical energy is possible. Gravity-based space stations are also planned for zero gravity conditions. So will this liquid move or not, does it represent a danger of freezing and damage to the modules? A simple test. A hollow ring, filled with a heat transfer fluid. Temperature measurements on the exposed sides, compared with a hollow ring without heat transfer fluid. Even without a heat transfer fluid, there will be heat exchange, but which of the two rings will have the best behavior? The destructive test now, the entire ring in the shade. Will it resist, and if so, will it come back functional. I don't have any of these answers, but I at least have the questions. And you, what do you think? Pierre Michaud, PMI This December 5, 2024.


EDE02031220241737 (audio)

Première partie.

Le, ou les moteurs.  Vous allez choisir quoi ? Un , deux, trois, ou plus ? Avant d'essayer de répondre à cette question nous allons les positionner.  Dans le même axe que les modules. Concernant ces moteurs, serait t-il possible de les utiliser pour mettre les modules en orbite.  Je pense que cela est possible.  Supposons que la base de la fusée est le module, et que cette base possède toutes les caractéristiques d'une enveloppe spatiale presque  vide. Des travaux limités sur cette enveloppe, dans l'espace permettrons de construire le reste de la station beaucoup plus rapidement, et surtout réduire les heures de travail des astronautes à l'extérieur des modules de chantier (SSI). Si ce que j'ai lu est vrai il semble que cette construction spatiale va à la casse, alors pourquoi ne pas l'utiliser comme tremplin pour une nouvelle station. Et si cela est faux dans le sens où elle sera conservée, cela ne change rien à cette planification.

Simulons un déplacement de compréhension.  La station est en mode de gravité zéro. Le mat des panneaux solaires pointe vers la direction à prendre. Deux moteurs s'allument, la station prend de la vitesse.  Au moment de l'arrêt des moteurs, la station garde sa vitesse.  Un angle ou non, est t-il nécessaire pour permettre le fonctionnement de l'instrumentation de direction.  Dans un cas comme dans l'autre, la station peut pivoter sur les deux-axes. Après la stabilisation axiale,  départ de la gravité artificielle.  Ce n'est pas un scénario de film, je crois qu'il s'agit d'une procédure réelle.  La station va se déplacer vers son objectif.  Je n'ai aucune qualification en provenance d'une école pour écrire cela, et aucune formation des actions nécessaires pour une mise en orbite.  Mais ces étapes existent, et pour l'instant ne sont pas en conflits avec cette progression basique.  Avons nous décider pour le nombre de moteur . Combien en dollars peut coûter cette expérience ? Selon ma façon de voir,  elle doit avoir la capacité de revenir à son point de départ c'est à dire ici. Moi j'opte pour 4 moteurs, positionner sur le même axe que le mat de direction. La fixation mécanique des extensions des modules, vers les moteurs, devrait permettre une fixation solide et visible de l'arrière des modules.  Ici nous supposons la position des moteurs comme l'arrière de la station.  Je me demande aussi, si un moteur plus petit localisé sur le mat des panneaux solaires, est techniquement possible en plus des petites fusées de positionnement.  Pour améliorer la poussée initiale de direction ce petit moteur peut t-il jouer un rôle ou encore être utilisé comme plan B (sécurité). Voila une autre question.

à suivre,

Pierre Michaud,  PMI.
ce 05 décembre 2024.

EDE02031220241737 (audio)

Part One.

The engine(s). What will you choose? One, two, three, or more? Before trying to answer this question, let's position them. In the same axis as the modules. Regarding these engines, would it be possible to use them to put the modules into orbit? I think it is possible. Let's assume that the base of the rocket is the module, and that this base has all the characteristics of an almost empty space envelope. Limited work on this envelope, in space, will allow the rest of the station to be built much more quickly, and especially reduce the hours of work of the astronauts outside the construction modules (ISS). If what I have read is true, it seems that this space construction is going to the scrapyard, so why not use it as a springboard for a new station. And if this is false in the sense that it will be kept, it does not change anything in this planning.

Let's simulate a movement of understanding. The station is in zero gravity mode. The solar panel mast points in the direction to take. Two engines ignite, the station gains speed. When the engines stop, the station maintains its speed. An angle or not, is it necessary to allow the steering instrumentation to function. In either case, the station can rotate on both axes. After axial stabilization, departure from artificial gravity. This is not a movie script, I believe it is a real procedure. The station will move towards its objective. I have no qualifications from a school to write this, and no training in the actions necessary for an orbit. But these steps exist, and for the moment are not in conflict with this basic progression. Have we decided on the number of engines? How much in dollars can this experiment cost? In my way of seeing, it must have the capacity to return to its starting point, that is to say here. I opt for 4 motors, positioned on the same axis as the steering mast. The mechanical attachment of the module extensions, towards the motors, should allow a solid and visible attachment from the rear of the modules. Here we assume the position of the motors as the rear of the station. I also wonder if a smaller motor located on the solar panel mast is technically possible in addition to the small positioning rockets. To improve the initial steering thrust, can this small motor play a role or even be used as a plan B (safety). That's another question.

to be continued,

Pierre Michaud, PMI.
this December 5, 2024.

EDE02061220241600 (audio)

Les moteurs,  deuxième partie.
Dans le programme Apollo la fusée SATURNE 5 était utilisée comme lanceur. Au bout de cette fusée on retrouvait la parti de la fusée contenant les véhicules nécessaires à la conquête de la lune. Plus précisément,  le module de commande, le module de service et le LEM (module lunaire). Après la mise en orbite de ces unités, le module de commande et le module de service combinés se retournait pour s'accrocher au LEM avant le début de leurs voyages vers la lune. Ici il ne s'agit pas de raconter l'histoire du programme Appolo mais bien d'essayer de combiner cette expertise qui n'a pas de prix à la construction d'une nouvelle station spatiale gravitaire. Le module de service offrait déjà un environnement de vie pour les astronautes durant leur voyage. En plus, avec un moteur déjà intégré dans cet ensemble. Suite à une mise à jour, ce module de service pourrait t-il être utilisé comme moteurs de la station, et en plus avoir comme fonction un plan C d'évacuation pour les occupants.  Voila à quoi je pense. Ce texte n'est pas en contradiction avec la première partie de cette section. Un anneau d'accrochage permettait aux astronautes à l'époque, de passer du module de commande au LEM. Une mise à jour de cet anneau pourrait permettre l'accrochage de ce module de service rénové à la station. Nous aurions donc 4 moteurs offrant un milieu de vie dans un cadre de sécurité pour les astronautes.  Il s'agît ici du principe, et non d'une conception final. La puissance de déplacement dans l'espace, n'est pas égale à la puissance nécessaire de la mise en orbite, mais des remplacements moteurs sont possibles avec cette analyse. Si on tient compte des deux véhicules de secours, plus les 4 options moteurs, nous avons un total de 6 solutions de vie. A ou B en référence au croquis publié le 04 décembre 2024, à vous de choisir.

Un autre point. Avant d'envoyer cette station à la casse, est t-il possible de la faire descendre avec des moteurs adaptés  et des parachutes. Les moteurs seront remplaçable et accessibles avec cette conception.

Pierre Michaud,  PMI.
Ce 06 décembre 2024.

EDE02061220241600 (audio)

Engines, part two.
In the Apollo program, the SATURN 5 rocket was used as a launcher. At the end of this rocket was the part of the rocket containing the vehicles needed to conquer the moon. More precisely, the command module, the service module and the LEM (lunar module). After these units were put into orbit, the combined command module and service module turned around to attach to the LEM before starting their journeys to the moon. Here, it is not a question of telling the story of the Apollo program but of trying to combine this expertise that is priceless with the construction of a new gravity space station. The service module already offered a living environment for the astronauts during their journey. In addition, with an engine already integrated into this assembly. Following an update, could this service module be used as the station's engines, and also have the function of an evacuation plan C for the occupants? That's what I'm thinking. This text does not contradict the first part of this section. A docking ring allowed astronauts at the time to move from the command module to the LEM. An update of this ring could allow the docking of this renovated service module to the station. We would therefore have 4 engines offering a living environment in a safe framework for the astronauts. This is the principle, and not a final design. The power of movement in space is not equal to the power required for orbiting, but engine replacements are possible with this analysis. If we take into account the two emergency vehicles, plus the 4 engine options, we have a total of 6 living solutions. A or B in reference to the sketch published on December 4, 2024, it's up to you to choose.

Another point. Before sending this station to the scrapyard, is it possible to bring it down with adapted engines and parachutes. The engines will be replaceable and accessible with this design.

Pierre Michaud, PMI.
This December 06, 2024.










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