1.0 INTRODUCTION
Oui je
vais me
prononcer. Pourquoi ? je pense que cela peut aider. Non je ne suis
pas un influenceur, ce texte et les croquis
qui vont suivent même avec des informations
incomplètes sont des
brevets. Ceci étant dit, aucun de mes poissons se sont
moqué des
hommes et femmes de l'espace, cela ne les empêchent pas de
faire des
blagues et moi je les approuvent sans restrictions. Plutôt
curieux !
un campeur qui ose se prononcer sur la sécurité
électrique de
l'espace, enfin ..c'est la vie.. au sens respectueux du
terme. Je suis arrivé ici
en posant des questions sur les panneaux solaires de la Station
Spatiale International (SSI). Plus de questions que de
réponses,
alors essayons de faire de notre mieux moi et mon équipe
(Assemblée
ALL du Québec). Se tromper a ce stade est
bénéfique pour tous et
toutes, toutefois ne pas se tromper est aussi
bénéfique pour tous
et toutes. Mais comment savoir si je me trompe ? La seule et unique
façon est de remplacer le ..je.. par le ..nous.. tout en
conservant
un veto intellectuel. Voilà, la table est mise et cette
partie
progressera au rythme de mes priorités.
Pierre
Michaud, PMI, Ce 07
novembre 2024.
|
* Waste (T) * Orbiter docking * Wire routing * Emergency exits * Safety isolation doors * Spare part * Safety of the station occupants at the time of the changeover * DC, (pulsed DC RPM?), * Enlargement with the central star. * And !!!! Freezing of vacuum-packed food and baby products (space) * Artificial gravity * Fuses * Disconnectors * Backup batteries * Main power supply * Backup power supplies * Others |
Pour l'instant j'imagine trois (3) points de raccordement de chaque cotés incluant les ..sas.. d'accès entre les modules. La possibilité d'avoir des points de raccordements supplémentaires de l'étoile est toujours présente, mais pas pour les modules destiné aux humains. Histoire de faire comme le ..mot-dit.. SS il est temps d'un peu de musique (ici). Je réfléchie aussi a la poutre principale des panneaux solaires et a (aux ?) étoiles. Et si il y avait trois (3) étoiles sur le même arbre. Je sais aussi que la rotation doit être balancée afin d'éviter la dérive de la Station. Avec 3 étoiles les possibilités des branchements d'origine et des ajouts seront facilitées. Je pense encore au carburant et a l’oxydant. Imaginons 3 étoiles étagées avec comme centre l'étoile des modules habitables. Nommons les A B C. Une possibilité d'utiliser le B pour le carburant et le C pour l’oxydant. J'écris ce point rapidement car des personnes ayant une formation plus importante que la mienne pourront prendre une décision concernant le nombre d'étoile. Ce croquis ci-bas illustre cette idée.
EDE0124112024
More important questions, should we glue the modules or leave a gap
between them for verification purposes. It is easy to answer this
question on earth but not in space, especially with incomplete
information. Let's try to answer anyway. Some information from the
internet with a link. Diameter of a part of the Saturn 5 rocket (10
meters). Diameter of the Ariane 5 rocket (5.4 meters). The American
space shuttle diameter of the cargo area (4.5 meters). Diameter of the
service module ..Zvezda.. (4.15 meters). Diameter of the Destiny
laboratory (4.27 meters). The P6 beam of the ISS solar panels (10.70
meters). Liquid oxygen -183 C. Solid oxygen -218 C. Liquid hydrogen
-253 C.
I jump into the void again. Glued modules will not allow a detailed
inspection. There is +- 300 degrees difference between shadow and light
in space (near the earth). Glued the thermal distribution should be
more uniform and have a less stressful effect on the metal in zero
gravitation mode even with a thermal insulation to protect the outer
envelope. But glued up to what point? According to my understanding
with good insulators and mechanical protection of the outer envelope
this problem is no longer classified (1) in the sum of problems to be
solved. I am afraid to write this text but I do it anyway, the
justification is at the beginning of this document. I opt for the
moment for the detachment of the modules to allow a verification by
camera or human presence for the outer protective envelope of the
modules. It remains to determine the safe distance for inspection and
or repair of module damage. Even if this is not yet determined, camera
surveillance must cover 100% of the area to be monitored (no blind
spots). In any case, it's a bit the same principle when you monitor
swimmers. Consequently, the SSV (Ti-Vert space station) will have to
allow the installation of 4 other additional modules (diameter still
undetermined) and enough space in this case to be inspected in a safe
way by camera and in human presence for 100% of the surface to be
covered. For the moment, no rotation calculations are made. We still
have information at the moment allowing us to make certain calculations
of artificial gravity. I don't know if I have the skills to make these
calculations and in my way of doing it is not yet my priority.
For the moment, I imagine three (3) connection points on each side
including the ..airlocks.. of access between the modules. The
possibility of having additional connection points of the star is
always present, but not for the modules intended for humans. History of
doing as the ..word-says.. SS it's time for a little music (here). I am
also thinking about the main beam of the solar panels and the stars.
What if there were three (3) stars on the same tree. I also know that
the rotation must be balanced in order to avoid the Station drifting.
With 3 stars the possibilities of the original connections and
additions will be facilitated. I am still thinking about the fuel and
the oxidizer. Let's imagine 3 stars staggered with the star of the
habitable modules as the center. Let's name them A B C. A possibility
of using the B for the fuel and the C for the oxidizer. I am writing
this point quickly because people with more training than mine will be
able to make a decision concerning the number of stars. This sketch
below illustrates this idea.
EDE01261120240957 (audio)
Rien
n'est simple,
ces 3 mots vont revenir à plusieurs occasions.
L'isolation
et le contrôle thermique d'un engin en déplacement
dans
l'espace ne pourra bénéficier de la radiation
terrestre.
Il est possible par calcul de prévoir l'isolation thermique
d'un
véhicule, mais comment vérifier ce
point quand
notre technologie ne permet que difficilement de voir le
résultat ? L'oxygène et l'hydrogène
utilisé
comme source d'énergie peuvent devenir en phase solide dans
certaines conditions. Je vous laisse imaginer les
conséquences. Pouvez vous me donner une protection
de -300
degrés centigrades en phase passive ? Plus on
s'éloigne
de notre soleil et plus les conditions vont ressembler à des
environnements démentiels, l'inverse est aussi vrai.
Dans quelle direction la recherche spatiale à commencer ?
vers
le soleil ou vers Pluton. J'écris ce texte avec des
données qui ne m'appartienne pas. Toutefois j'ai une
façon de voir les choses qui peut faire une
différence. Les unités
périphériques
adaptables en tensions et fréquence peuvent aider
à
réduire la complexité d'une
installation, mais
surtout à les rendre interchangeables avec d'autres
complexes
spatiales. Avant de choisir une des solutions actives de
contrôles je suis de ceux qui choisiront des
solutions
passives si évidemment ces solutions existent. La
priorisation des plans A, B, ou C, en dépende
directement.
Oui la cible du -300 degrés centigrades doit être
envisagée. Pour l'instant les solutions de câbles
chauffants, de circulation de fluides calorifiques, de
..stockage.. en environnement humain ou encore de réactions
chimiques exothermiques ne sont pas encore ma priorité, mais mes
enfants eux le sont.
Pierre Michaud, PMI. Ce 26 novembre 2024.
EDE01261120240957
Nothing is simple, these 3 words will come up on several occasions. The
insulation and thermal control of a vehicle moving in space will not be
able to benefit from terrestrial radiation. It is possible by
calculation to predict the thermal insulation of a vehicle, but how can
we verify this point when our technology makes it difficult to see the
result? Oxygen and hydrogen used as an energy source can become solid
phase under certain conditions. I let you imagine the consequences. Can
you give me protection of -300 degrees centigrade in the passive phase?
The further we move away from our sun, the more the conditions will
resemble insane environments, the reverse is also true.
In which direction should space research begin? towards the sun or
towards Pluto. I am writing this text with data that does not belong to
me. However, I have a way of seeing things that can make a difference.
Peripheral units adaptable in voltages and frequencies can help reduce
the complexity of an installation, but especially to make them
interchangeable with other spatial complexes. Before choosing one of
the active control solutions, I am one of those who will choose passive
solutions if obviously these solutions exist. The prioritization of
plans A, B, or C, depends directly on it. Yes, the target of -300
degrees centigrade must be considered.
For the moment, solutions for heating cables, circulation of heat
fluids, .. storage .. in a human environment or even exothermic
chemical reactions are not yet my priority, but my children are.
Pierre Michaud, PMI. This November 26, 2024.
EDE01271120241448 (Small correction at 19:07h)
Selon ma compréhension un objet (masse)
lancé
dans le vide
cessera presque
immédiatement d'accélérer lorsque
qu'il
quitte le lanceur. Évidemment si il n'y a pas d'autres
facteurs
successibles de l’influencer. Pour la SSV
il faut quand même contrôler la vitesse de rotation
et
l'angle de pivotement. Pour la rotation, oui je crois qu'une surveillance
a l'aide de balances est une bonne idée. Si un
contrôle de rotation non automatisé est
nécessaire je
l'imagine a la baisse.
Cela veut dire un lancement manuel de la station et une rotation se
dirigeant dans le temps ou par sécurité vers la
baisse. Ici nous ne somme pas dans des
jeux de foire. Je sais que vous savez cela, mais il faut quand
même prendre des décisions qui touche la sécurité
des occupants.
Une rotation hors contrôle est susceptible de causer des
dommages
humains irréversibles et rien de ce qu'il est possible de
faire
pour éviter cela ne doit être mit de
coté. Une
autre sécurité pourrait être le
gyroscope central. Ce gyroscope peut tourner
dans les deux sens ou encore avoir 2 volants sur le même axe.
Une sécurité de plus pour contrôler la
rotation. Je pense aussi a la reconnaissance
des pixels.
Entre deux rotations un pourcentage programmé pourrait
permettre
l'analyse d'images comparatives et aviser dans le cas d'un
écart
important. Et pourquoi pas un
inclinomètre mécanique.
Le pendule devrait modifier sa position vertical pour des rotations
différentes. Seules les personnes de l'espace
possèdent
certaines des réponses que je me pose, toutefois je continu
d'avancer. Notre 1G
terrestre n'est peut être pas une obligation
pour la santé dans l'espace. 1/2 G est t-il suffisant pour
maintenir les astronautes en santé ? je ne sais pas, en
revange
je sais que la station ne doit pas augmenter sa vitesse vers des plages
dangereuses pour les occupants. Une très
légère
décélération est aussi une
sécurité. Faire une correction une fois
par semaine
ou par mois je ne sais pas est selon ma vision actuelle une
sécurité. Je peux aussi me tromper.
Rien ne
remplace la
surveillance humaine
et avant d'essayer d'automatiser ce point je suis de ceux qui
préconise le contrôle manuel pour cette variable.
Je ne
suis pas un génie des mathématiques mais je sais
qu'il
s'agit de masse, de forces et de directions appliquées dans
cette problématique. En
résumé je pense qu'il faut surveiller la rotation
et non la contrôler par instrument pour l'instant.
→Attention cela ne veut pas
dire de ne pas prévoir l'arrêt
automatisé possible de la sur-rotation.
←
Une solution simple
du plan B.
Un hublot, une petite cellule photoélectrique, une pile, un
compteur d’événement et voila vous avez
une autre sécurité.
Le chiffre sur le compteur vous indiquera le nombre de rotation de la
station ou sa constance. Ou le placer ? Entre l'ombre et la
lumière dans la rotation de la station. Le terme SSV est et
sera
utilisé dans ce document, ce n’est pas par
vedettariat
mais comme référence de texte et de station pour
ces
écrits. Cela semble prétentieux je sais. Et pour
le VMSD ?
Pierre Michaud, PMI. This November 27, 2024.
According to my understanding, an object launched into a
vacuum will
immediately stop accelerating when it leaves the launcher. Obviously if
there are no other factors that can influence it. For the SSV,
it is still necessary to control the rotation speed and the pivot
angle. For the rotation, yes, I think that monitoring
using scales is a good idea. If a non-automated rotation
control is necessary, I imagine
it to be downward.
This means a manual launch of the station and a rotation that goes
downward over time. We are not in a fairground game here. I know you
know this, but we still have to make decisions that affect the safety
of the occupants. An uncontrolled rotation is likely to cause
irreversible human damage and nothing that can be done to avoid this
should be put aside. Another
safety feature could be the central gyroscope.
This gyroscope can rotate in both directions or have 2 flywheels on the
same axis. One more safety feature to control the rotation. I am also
thinking about pixel
recognition.
Between two rotations a programmed percentage could allow the analysis
of comparative images and advise in the event of a significant
difference. And why not a mechanical
inclinometer.
The pendulum should change its vertical position for different
rotations. Only space people have some of the answers I am asking
myself, however I continue to move forward. Our terrestrial 1G may not
be an obligation
for health in space. Is 1/2 G enough to keep astronauts healthy? I
don't know, on the other hand I know that the station must not increase
its speed to dangerous ranges for the occupants. A very
slight
deceleration is also a safety feature. Making a correction once a week
or a month I don't know is according to my current vision a safety
feature. I could also be wrong. There is no substitute for human
monitoring and
before trying to automate this point I am one of those who advocate
manual control for this variable. I am not a math genius but I know
that it is about mass, forces and directions applied in this problem. In summary
I think that we must monitor the rotation and not control it by
instrument for now. → Please note that this does not mean that
the possible automated shutdown of over-rotation should not be planned
←.
A simple solution
of plan B. A porthole, a small photoelectric cell, a battery, an event
counter and voila you have
another security.
The number on the counter will tell you the number of rotations of the
station or its constancy. Where to place it? Between the shadow and the
light in the rotation of the station. The term SSV is and will be used
in this document, it is not for stardom but as a text and station
reference for this document. It seems pretentious I know. And for
the
VMSD ?
Pierre Michaud, PMI. This November 27, 2024.
EDE01281120241209 (audio)
Parlons encore de ce point, l'accélération d'un objet
lancé dans l'espace. Si je lance un objet avec ma main dans
l'espace que se passe t-il ? Pour l'instant nous allons volontairement
négliger l'espace parcouru par le bras au moment du
lancé. Sans cette espace il ne peut avoir
accélération car cette variable est à zéro
pour le moment. L'objet dans ma main a accumulé de
l'énergie qui sera libéré au moment de le
lâcher. Si aucun facteur de ralentissement est
présent au moment de lâcher l'objet, toute
l'énergie accumulé sera telle libéré
instantanément ? Essayons un raisonnement inverse. Supposons
maintenant qu'il y a une accélération même
infime. Cela devra impliquer que la libération de
l'énergie accumulé dans l'objet est progressive et
si c'est le cas, quel(s) facteur(s) est ou sont responsable(s) de ce
comportement ? Une première théorie l'espace n'est pas
vide. Nous savons que c'est le cas, les nuits boréales le prouve
hors de tous doutes. Il est donc possible d'aborder cette question avec
deux volets différents. Le premier avec un niveau
théorique ne laissant aucune place au zéro et le
deuxième avec un niveau pratique ou une limite à
été arrondie et peut être vérifiée
avec des objets possédant des formes et masses
différentes. Ce que je crois comprendre, c'est que plus
l'objet lancé est volumineux et plus le
phénomène de l'accélération va se
manifester. A l 'inverse plus l'objet sera massif et plus la
libération de l'énergie accumulé sera
instantanée. Je suis obligé de dire oui avec mon
texte il y a accélération toutefois je ne sais pas dans
quelle grandeur. Je ne peux ignorer ce point car les
déplacements dans l'espace implique des millions de
kilomètres même si les déplacements sont en
rotation. Pour la vraie réponse ou la validation de ce texte
consulter la NASA . Avec mes connaissances je ne peux en faire plus et
me tromper. En terminant l'accélération et la vitesse
sont deux choses différentes.
Pierre Michaud, PMI, ce 28 novembre 2024
EDE01281120241209
Let's talk about this point again, the acceleration of an object thrown
into space. If I throw an object with my hand into space, what happens?
For now, we will voluntarily neglect the space traveled by the arm at
the time of throwing. Without this space, there can be no acceleration
because this variable is zero at the moment. The object in my hand has
accumulated energy that will be released when it is released. If no
slowing factor is present when the object is released, will all the
accumulated energy be released instantly? Let's try an inverse
reasoning. Now suppose that there is an acceleration, even a tiny one.
This must imply that the release of the energy accumulated in the
object is progressive and if this is the case, what factor(s) is or are
responsible for this behavior? A first theory: space is not empty. We
know that this is the case, the northern nights prove it beyond any
doubt. It is therefore possible to approach this question with two
different aspects. The first with a theoretical level leaving no room
for zero and the second with a practical level where a limit has been
rounded and can be verified with objects with different shapes and
masses. What I believe I understand is that the larger the object
launched, the more the acceleration phenomenon will manifest itself.
Conversely, the more massive the object, the more instantaneous the
release of accumulated energy will be. I am obliged to say yes with my
text there is acceleration, however I do not know in what magnitude. I
cannot ignore this point because movement in space involves millions of
kilometers even if the movements are in rotation. For the real answer
or validation of this text, consult NASA. With my knowledge I cannot do
more and be wrong. In conclusion, acceleration and speed are two
different things.
Pierre Michaud, PMI, November 28, 2024
EDE02281120241615
J'ai
fais quelques recherches sur internet et je ne suis pas certains des
textes et vidéos que j'ai vu. J'essaie de comprendre. Il faut
aller sur la lune pour aller vers Mars ? Pourquoi ne pas aller
directement sur Mars, parce que il peut y avoir de l'eau sur la Lune ?
(3 a 4 jours pour le voyage ?). Une construction simple et suffisamment
volumineuse pourrait partir de la terre et se rendre directement sur
Mars. J'ai peur de ces constructions sur la Lune et je suis certains
que je ne suis pas le seul. J'ai essayer de trouver des tableaux qui
montrent les variations d'inclinaisons de la terre depuis les
années 1900 sans succès. Il s'agit de
vérifications rapides mais quand même. L'inclinaison de la
terre est responsable des climats en grande partie. Quand
je regarde autour de moi et constate l'arrogance et
l’imbécillité de personnes qui veulent savoir
comment ça va j'ai une envie folle de faire comparaître
ces crétins devant un tribunal pour mettre leurs arrogances a la
poubelle en même temps que leurs porte-feuilles. Je
m’interroge actuellement pour savoir si je vais continuer cette
petite réflexion sur l'espace ou mettre fin a ces
écrits. Dans ce texte il n'y a ni vantardise ni fausse modestie.
Pour défendre des personnes il faut au moins les aimer un peu.
Pierre Michaud, PMI papa de Gabrielle et Stéphane Michaud victimes d'enlèvement. Ce 28 novembre 2024
EDE02281120241615
I did some research on the internet and I'm not sure about the texts
and videos I saw. I'm trying to understand. Do you have to go to the
moon to go to Mars? Why not go directly to Mars, because there may be
water on the Moon? (3 to 4 days for the trip?). A simple and
sufficiently large construction could start from the Earth and go
directly to Mars. I'm afraid of these constructions on the Moon and I'm
sure I'm not the only one. I tried to find tables that show the
variations in the Earth's tilt since the 1900s without success. These
are quick checks but still. The tilt of the Earth is largely
responsible for climates. When
I look around me and see the arrogance and stupidity of people who want
to know how things are going, I have a crazy desire to bring these
idiots before a court to throw their arrogance in the trash along with
their wallets. I am currently wondering whether I am going to
continue this little reflection on space or put an end to these
writings. In this text there is neither boasting nor false modesty. To
defend people you have to at least love them a little.
Pierre Michaud, PMI father of Gabrielle and Stéphane Michaud victims of kidnapping. This November 28, 2024
EDE01301120241306 (audio)
Parlons maintenant de ce croquis.
Son rôle est de contrôler l'angle de la station ..engin...
Le type de matériaux utilisé, pour les génies du
QI vous n'avez qu'a choisir. Mon concept est simple, deux volants pour
l'axe vertical, et deux pour l'axe horizontal. Mais pourquoi deux ?
L'explication de base. Oui, une relève est possible. En
cas de défaillance moteur l'unité superposée va
prendre la relève. Ceci sous entend, qu'un seul volant,
est nécessaire pour modifier, ou stabiliser l'angle de la
station. Quand je dit un, il peut y avoir aussi un deux, et pas
nécessairement sur le même axe. Cela va dépendre du
contrôle de l'angle en plus de sa stabilisation. Toute mon
analyse vise à garder les choses simples. Il y aura quatre
disques et je les supposent identiques. Pourquoi ? pour des fins de
sécurité. Ces deux systèmes devront
être capables de se remplacer mécaniquement en cas
d'avarie. La vitesse variable de ces disques devraient permettre une
adaptation des forces centrifuges contrôlées. Cela
implique des rotations inversées possibles de chacun des
disques. Une rotation inversée est une sécurité en
cas de perte de contrôle. Je sais que vous savez.
Maintenant la localisation, au centre de la croix en bas ou en
haut de ou des chambres électriques. Il est possible de
faire tourner un disque d'ordinateur à 7000 RPM, alors, entre 0
et 7000, il me semble y avoir beaucoup de positions
intermédiaires pour la force centrifuge des disques. Les
moteurs seront en courants continu et un panneau local devra permettre
une activation manuelle de la rotation contrôlée. En plus,
une dérivation de contrôle de vitesse pour une rotation
à 100 % en cas d'urgence. Il est possible d'avoir les couloirs
du (T) sous pression avec de l'air. L'équilibre thermique de ces
couloirs en sera que meilleur. Ces personnes doivent pourvoir se
déplacer dans cette station (..Engin..) sans scaphandre en mode
gravité ou non. Je prévois des arbres vissés et
balancés pour les disques. Pourquoi ? Pour un remplacement
rapide des roulements avec l'arbre assemblé en cas de mal
fonctionnement. Quatre disques, huit arbres, et trois
roulements a chaque extrémité . Il faut faire aussi
attention à la masse et inertie des disques. Des freins
d'urgences sont t-ils nécessaires ? Une procédure simple
pour l'orientation des panneaux solaires par ..step... Démarrage
du ou des volants. Orientations des panneaux. Arrêts des
volants. Il y aura une perte d'efficacité des panneaux si un
asservissement par boucle n'est pas disponible. Une question
avant de continuer, l'orientation mécanique automatisée
des panneaux, indispensable ou non ?
Le démarrage progressif, ou inversé en duo des disques,
avant l'arrêt de un sur deux devrait garder la station stable,
pendant l'orientation des panneaux solaires. Les rotations
inversées sont pour minimisés le déplacement de la
station au démarrage des volants, même si l'augmentation
des RPM est progressive. Il s'agira de la mécanique principale
de la stabilisation de la station lors du mouvement des panneaux.
Une raison justificatrice.. l'environnement... Doit t-on
considérer l'éjection d'air ou de n'importent
quelles substances dans l'espace comme de la pollution ? Un autre
dossier. Une station autour d'une planète est une
sécurité de proximité pour les hommes et femmes de
l'espace. Je pense ici à Mars. Il faut aussi rire un peu oui
directement sur Mars et au minimum en orbite pour l'instant.
J'imagine que la SSI est une station expérimentale, mais jusqu'a
quel point ! Comme vous mon analyse aussi est
expérimentale. Une devinette avant de continuer,
pourquoi commencer avec un diamètre de 1 mètres
pour les disques ? Je vous laissent avec cette question car je cherche encore une personne honnête sur cette planète.
Pierre Michaud, PMI,
Ce 30 novembre 2024.
EDE01301120241306 (audio)
Now let's talk about this sketch.
Its role is to control the angle of the station .. engine ... The type
of materials used, for the geniuses of the IQ you just have to choose.
My concept is simple, two flywheels for the vertical axis, and two for
the horizontal axis. But why two? The basic explanation. Yes, a
replacement is possible. In the event of engine failure the
superimposed unit will take over. This implies that only one flywheel
is necessary to modify or stabilize the angle of the station. When I
say one, there can also be two, and not necessarily on the same axis.
This will depend on the control of the angle in addition to its
stabilization. My entire analysis aims to keep things simple. There
will be four disks and I assume them to be identical. Why? For safety
purposes. These two systems must be able to replace each other
mechanically in the event of a breakdown. The variable speed of these
disks should allow for adaptation of the controlled centrifugal forces.
This implies possible reverse rotations of each of the disks. A reverse
rotation is a safety in case of loss of control. I know that you know.
Now the location, at the center of the cross at the bottom or at the
top of the electrical chamber(s). It is possible to spin a computer
disk at 7000 RPM, so, between 0 and 7000, it seems to me that there are
many intermediate positions for the centrifugal force of the disks. The
motors will be in direct current and a local panel will have to allow
manual activation of the controlled rotation. In addition, a speed
control bypass for 100% rotation in case of emergency. It is possible
to have the corridors of the (T) under pressure with air. The thermal
balance of these corridors will be better. These people must be able to
move around in this station (..Engine..) without a diving suit in
gravity mode or not. I am planning screwed and balanced shafts for the
disks. Why? For quick replacement of bearings with the assembled shaft
in case of malfunction. Four disks, eight shafts, and three bearings at
each end. Attention must also be paid to the mass and inertia of the
disks. Are emergency brakes necessary? A simple procedure for the
orientation of the solar panels by ..step... Starting the flywheel(s).
Orientations of the panels. Stopping the flywheels. There will be a
loss of efficiency of the panels if a loop servo is not available. A
question before continuing, is the automated mechanical orientation of
the panels essential or not?
The progressive start, or reversed in duo of the disks, before stopping
one out of two should keep the station stable, during the orientation
of the solar panels. The reversed rotations are to minimize the
movement of the station when starting the flywheels, even if the
increase in RPM is progressive. This will be the main mechanism for
stabilizing the station during the movement of the panels. A justifying
reason... the environment... Should we consider the ejection of air or
any substances into space as pollution? Another issue. A station around
a planet is a proximity security for spacemen and women. I am thinking
here of Mars. We must also laugh a little yes directly on Mars and at
least in orbit for the moment. I imagine that the ISS is an
experimental station, but to what extent! Like you, my analysis is also
experimental. A riddle before continuing, why start with a diameter of
1 meter for the disks? I leave you with this question because I am still looking for an honest person on this planet.
Pierre Michaud, PMI,
This November 30, 2024.
EDE01011220241350
Cette partie n'est pas encore terminé. Nous allons quand
même continuer. La surveillance des gyroscopes pour l'ajustement
des angles. En premier lieu, les vibrations, un indice qui ne trompe
pas sur l'enlignement et le bon fonctionnement des disques. Un autre le
bruit, il sera transmis par les caméras au différents
modules de la SSV. Pour ces systèmes de positionnements, les
moniteurs de courants sont aussi indispensables. Renifler ces
moteurs depuis les modules est problématique, alors le courant
absorbé par les moteurs en fonction des RPM (autres variables)
sont donc indispensable dans ce cas. Comme je l'ai déjà
mentionné, un contrôle manuel local est nécessaire
au centre de la croix. Cela ne devra pas empêcher le
contrôle par le système d’acquisition et actions
doubles. Dans chacun des modules, c'est toute la station (engin) qui
devra être contrôlée.
Pour le feu maintenant. A chaque endroit ou des moteurs
électriques seront installés, une surveillance de feu
devra être présente au minimum, la ou le feu est possible.
Les gyroscopes réels suggéré, vont différer
du croquis. Les 4 disques seront mécaniquement et
électriquement indépendants. Deux des axes seront
fixés au plancher, et les deux autres au ..plafond. Au
centre de la station la gravité sera de plus ou moins
zéro, les mots plafond et plancher seront remplacés en
temps et lieu par des termes plus adéquat. Il faut faire
attention cela semble simple mais ce n'est pas le cas. Imaginez un
blocage ou une perte de contrôle des disques. Même
avec un ..panic control system..
La station peut être en gravité, mais dans quelle sens !
Ceci est aussi vrai pour l'éjection des gaz etc. Un disque plus
grand avec moins de RPM devrait aider dans ce cas. Je peux aussi me
tromper. Dans le même secteur j'ai prévu des sorties dans
l'espace de chaque cotés que l'axe principal des panneaux
solaires. Le personnel dans cette zone devra travailler sans
gravité et logiquement je crois que pour l'entrée et
sorties des astronautes que ce sont de bons endroits. Attention ce ne
sont pas les seuls accès. Parlant de ces deux zones, bel endroit
pour les connecteurs ! Ce n'est pas par moqueries que j'écris
cela, moi aussi j'ai besoin de me détendre. J’écris
peut-être la prochaine ligne pour rien, mais le froid ne doit pas
grippé les roulements. Je crois aussi que la
sécurité de sur-rotations par l'inversion de disques, est
une bonne façon d'avoir un système fiable et
sécuritaire. A savoir si les disques avec des arbres
séparé ou non pour les essais sont indispensable,
demandez a votre porte-feuille.
C'est tout pour l'instant.
Pierre Michaud, PMI
Ce 01 décembre 2024
EDE01011220241350
This part is not yet finished. We will continue anyway. Monitoring the
gyroscopes for adjusting the angles. First, the vibrations, an
indicator that does not deceive on the alignment and the proper
functioning of the disks. Another is the noise, it will be transmitted
by the cameras to the different modules of the SSV. For these
positioning systems, current monitors are also essential. Sniffing
these motors from the modules is problematic, so the current absorbed
by the motors according to the RPM (other variables) are therefore
essential in this case. As I have already mentioned, a local manual
control is necessary at the center of the cross. This should not
prevent control by the acquisition system and double actions. In each
of the modules, the entire station (machine) must be controlled.
For the fire now. At each location where electric motors will be
installed, a fire monitor must be present at least, where fire is
possible. The actual gyroscopes suggested, will differ from the sketch.
The 4 disks will be mechanically and electrically independent. Two of
the axes will be fixed to the floor, and the other two to the
..ceiling. At the center of the station the gravity will be more or
less zero, the words ceiling and floor will be replaced in due time by
more adequate terms. Be careful, this seems simple but it is not the
case. Imagine a blockage or a loss of control of the disks. Even with a ..panic control system..
The station can be in gravity, but in which direction! This is also
true for the ejection of gases etc. A larger disk with less RPM should
help in this case. I could also be wrong. In the same sector I have
planned spacewalks on each side of the main axis of the solar panels.
The personnel in this area will have to work without gravity and
logically I believe that for the entry and exit of the astronauts that
these are good places. Be careful these are not the only accesses.
Speaking of these two areas, nice place for connectors! I'm not writing
this to make fun of you, I need to relax too. I may be writing the next
line for nothing, but the cold must not seize the bearings. I also
believe that over-rotation safety by reversing the discs is a good way
to have a reliable and safe system. As to whether or not discs with
separate shafts for testing are essential, ask your wallet.
That's all for now.
Pierre Michaud, PMI
This December 01, 2024
EDE01021220242112 (audio)
Le sujet du jour, les dimensions de la SSV.
La station internationale de l'espace la SSI, s'est
développée grâce à la navette
spatiale. Le diamètre de plusieurs modules, se situe au
alentours de 4 mètres. Le personnel de la SSI et moi
avons quelque chose en commun, le camping. Pour vous faire
une idée, en marchant dans la rue ou dans un autre lieu,
essayé de trouver un canot. Les dimensions pour un canot
à deux, vont varier sommairement entre 12 et 18 pieds. Pour un
canot de rivière, j'utilise personnellement un canot de 16
pieds, soit un peu plus de 5 mètres. Un
mètres de plus que certains modules spatiaux. Pour vous faire
une idée encore plus précise, imaginez ce canot avec de
l'isolation sur le sens de la longueur, et un petit mobilier en plus.
Que reste t-il. Peu d'espace pour la mobilité, et l'entreposage
des matériaux et autres nécessaires à la vie. Ce
n'est pas une critique, juste une constatation. Des compromis ont
été probablement nécessaires pour la mise en
chantier, et vous et moi n'avons pas été
impliqués. J'ai peur des discussions visant les compromis qui
ont été fait pour cette réussite spatiale presque
inimaginable. J'ai quand même décider d'avancer.
L'idée proposée est simple, utiliser les modules comme
pièce de la fusée. Le 4 ou 4,2 mètres de la
SSI devrait êtres largement dépassé, si cela est
possible et ouvre la porte a des diamètre plus importants.
SATURNE 5, possède certains diamètre pouvant aller vers
les 10 mètres. Soit un peu plus de 2 fois notre 4,2
mètres. Je crois qu'il faut viser encore plus haut.
Vers les 15 ou 20 mètres. L'engin que j'imagine, devra se
déplacer en autonomie totale vers d'autres planètes, et
offrir un espace de vie convenable pour des voyages de ce type.
J'utilise ce mot ..convenable.. Au sens large du terme. Ce mot imbrique
la sécurité, de toutes les façons dont il est
possible de l'imaginer. Sur mon petit croquis ne cherchez pas les
engins de secours, car vous ne les verrez pas. Ils sont à
l'intérieur des modules et au nombre de deux . Avez vous des
souvenirs concernant le LEM du programme Apollo ?
Je crois avoir aussi résolu, le problème environnemental
des réservoirs de carburant de la ..fusée module...
(BADAM-A de PMI). Comment ? Plus de un réservoir, et des
diamètres ne dépassant pas 4 mètres. Le retour de
ces réservoirs, pourra se faire grâce a la navette
spatiale Américaine. Oui je crois que cela est possible. Des dimensions plus grandes que la SSI, offrent une augmentation de la sécurité
dans tous les aspects du terme. Gravité artificielle,
inertie thermique, épaisseur de l'isolant, délais
de vie en cas de panne majeur, solutions B, et longévité
de l'investissement. Ceux et celles qui n'ont pas peur de
l'espace n'ont rien à faire dans ce domaine. En
écrivant cela, j'ouvre la porte aux critiques mais cela ne
changera rien, comme l'électricité je continue à
avoir peur, et cela ne changera pas.
Ce texte n'est pas une coquille vide, car il permet l'orientation de la
recherche et les priorisations des cibles d'étapes. Les
fusées modules doivent faire l'objet de
développement. Les travaux réalisés dans
l'espace ne seront pas éliminés, toutefois selon ma
conception il seront mieux dirigés. Jusqu'à quel point
est t-il possible de rendre les modules autonomes avant leurs
lancements dans l'espace ? La SSI possède déjà
cette réponse. En revange, je crois avoir trouver la solution
pour des volumes plus importants, et une construction réaliste
des ouvrages spatiaux. Voilà, c'est tout pour cette partie.
Pierre Michaud, PMI
Ce 03 décembre 2024.
EDE01021220242112 (audio)
Today's topic, the dimensions of the SSV.
The international space station, the ISS, was developed thanks to the
space shuttle. The diameter of several modules is around 4 meters. The
ISS personnel and I have something in common, camping. To give you an
idea, while walking down the street or in another place, try to find a
canoe. The dimensions for a two-person canoe will vary roughly between
12 and 18 feet. For a river canoe, I personally use a 16-foot canoe, or
a little over 5 meters. One meter longer than some space modules. To
give you an even more precise idea, imagine this canoe with insulation
along the length, and a little extra furniture. What's left? Little
space for mobility, and storage of materials and other necessities for
life. This is not a criticism, just an observation. Compromises were
probably necessary for the construction, and you and I were not
involved. I am afraid of the discussions aimed at the compromises that
were made for this almost unimaginable space success. I have decided to
move forward anyway.
The proposed idea is simple, to use the modules as part of the rocket.
The 4 or 4.2 meters of the ISS should be largely exceeded, if possible
and opens the door to larger diameters. SATURN 5, has some diameters
that can go up to 10 meters. That is a little more than 2 times our 4.2
meters. I think we should aim even higher. Towards 15 or 20 meters. The
machine that I imagine, will have to move in total autonomy to other
planets, and offer a suitable living space for trips of this type. I
use this word .. suitable .. In the broad sense of the term. This word
embodies safety, in every way you can imagine. On my little sketch,
don't look for the emergency vehicles, because you won't see them. They
are inside the modules and there are two of them. Do you have any
memories of the Apollo program's LEM?
I think I also solved the environmental problem of the fuel tanks of
the ..rocket module... (BADAM-A from PMI). How? More than one tank, and
diameters not exceeding 4 meters. The return of these tanks could be
done thanks to the American space shuttle. Yes, I believe that this is
possible. Larger dimensions than the ISS offer an increase in safety
in all aspects of the term. Artificial gravity, thermal inertia,
thickness of the insulation, life expectancy in the event of a major
failure, B solutions, and longevity of the investment. Those who are
not afraid of space have no business in this area. By writing this, I
open the door to criticism but it will not change anything, like
electricity I continue to be afraid, and it will not change.
This text is not an empty shell, because it allows the orientation of
research and the prioritization of stage targets. Module rockets must
be developed. The work carried out in space will not be eliminated,
however according to my conception it will be better directed. To what
extent is it possible to make the modules autonomous before their
launches into space? The ISS already has this answer. On the other
hand, I believe I have found the solution for larger volumes, and a
realistic construction of space works. That's it, that's all for this
part.
Pierre Michaud, PMI
This December 3, 2024.
EDE01051220241112 (audio)
Les pertes thermiques, rien n'est simple,
L'idée de l'effet thermos, présenté dans ce
document n'est pas bête, et je ne recule pas encore. Il y a
des conséquences à cela. Ce qui se trouve hors de la
coquille de survie recevra que peu de chaleur, en provenance du centre
du module. Sans rotation ce qui se trouve dans la partie froide sera
froid, et ce qui se trouve dans la partie chaude sera chaud. Cela
semble évident, mais en même temps cela empêche une
répartition calorifique des températures, et nui à
l'équilibre thermique globale statique. Pourquoi statique ? Cela
veut dire sans apport thermiques autres que ceux présent dans
l'environnement. Pas de câble chauffants, ni radiateur ni
caloporteurs etc. Ce n'est pas une bonne chose de laisser un
côté froid et un autre chaud pour la résistance des
matériaux.
Il existe peut-être une façon simple d'aider à
réduire cet écart de températures. Je pense
ici à des anneaux de conduction interne. Sur terre le mouvement
d'un fluide peut être générer par des
différences de températures. Certains transformateur
électrique utilise ce principe pour se refroidir. Dans ce cas
précis nous parlons d'uniformiser, la température du
transformateur avec son environnement. Aux Îles de la
Madeleine, la base des réservoirs de pétrole est peinte
en noir, pourquoi ? Je crois que c'est le même principe,
uniformisé le contenu liquide dans les réservoirs avant
leurs utilisations. Allons directement au but, des anneaux parcourant
l'enveloppe du module avec un caloporteur pourrait selon notre
compréhension aider à l'équilibre thermique
globale du module, si en gravité zéro, un mouvement sans
apport d'énergie mécanique est possible. Les
stations spatiales gravitaires, sont aussi prévues, pour des
conditions de gravité zéro. Alors ce liquide
vas t-il bouger ou non, représente t-il un danger de gel, et
d'avaries pour les modules. Un essai simple. Un anneau creux, rempli
avec un caloporteur. Des mesures de températures des
côtés exposés, en comparaison avec un anneau creux
sans caloporteur. Même sans caloporteur, il y aura échange
thermiques mais lequel des deux anneaux aura le meilleur comportement ?
L'essai destructif maintenant, l'anneau au complet a l'ombre. Va t-il
résister, et si oui reviendra t-il fonctionnel. Je n'ai aucune
de ces réponses, mais j'ai au moins les questions.
Et vous, vous en pensez quoi ?
Pierre Michaud, PMI
Ce 05 décembre 2024.
EDE01051220241112 (audio)
Thermal losses, nothing is simple, The idea of the thermos effect, presented in this document is not stupid, and I am not backing down yet. There are consequences to this. What is outside the survival shell will receive little heat, coming from the center of the module. Without rotation what is in the cold part will be cold, and what is in the hot part will be hot. This seems obvious, but at the same time it prevents a heat distribution of temperatures, and harms the overall static thermal balance. Why static? This means without thermal input other than those present in the environment. No heating cables, no radiators or heat transfer fluids etc. It is not a good thing to leave one side cold and another hot for the resistance of the materials. There may be a simple way to help reduce this temperature difference. I am thinking here of internal conduction rings. On Earth, the movement of a fluid can be generated by temperature differences. Some electrical transformers use this principle to cool themselves. In this specific case, we are talking about standardizing the temperature of the transformer with its environment. In the Magdalen Islands, the base of the oil tanks is painted black, why? I believe it is the same principle, standardizing the liquid content in the tanks before their use. Let's go straight to the point, rings running through the module envelope with a heat transfer fluid could, according to our understanding, help with the overall thermal balance of the module, if in zero gravity, movement without the input of mechanical energy is possible. Gravity-based space stations are also planned for zero gravity conditions. So will this liquid move or not, does it represent a danger of freezing and damage to the modules? A simple test. A hollow ring, filled with a heat transfer fluid. Temperature measurements on the exposed sides, compared with a hollow ring without heat transfer fluid. Even without a heat transfer fluid, there will be heat exchange, but which of the two rings will have the best behavior? The destructive test now, the entire ring in the shade. Will it resist, and if so, will it come back functional. I don't have any of these answers, but I at least have the questions. And you, what do you think? Pierre Michaud, PMI This December 5, 2024.
EDE02031220241737 (audio)
Première partie.
Le, ou les moteurs. Vous allez choisir quoi ? Un , deux, trois,
ou plus ? Avant d'essayer de répondre à cette question
nous allons les positionner. Dans le même axe que les
modules. Concernant ces moteurs, serait t-il possible de les utiliser
pour mettre les modules en orbite. Je pense que cela est
possible. Supposons que la base de la fusée est le module,
et que cette base possède toutes les caractéristiques
d'une enveloppe spatiale presque vide. Des travaux limités
sur cette enveloppe, dans l'espace permettrons de construire le reste
de la station beaucoup plus rapidement, et surtout réduire les
heures de travail des astronautes à l'extérieur des
modules de chantier (SSI). Si ce que j'ai lu est vrai il semble que
cette construction spatiale va à la casse, alors pourquoi ne pas
l'utiliser comme tremplin pour une nouvelle station. Et si cela est
faux dans le sens où elle sera conservée, cela ne change
rien à cette planification.
Simulons un déplacement de compréhension. La
station est en mode de gravité zéro. Le mat des panneaux
solaires pointe vers la direction à prendre. Deux moteurs
s'allument, la station prend de la vitesse. Au moment de
l'arrêt des moteurs, la station garde sa vitesse. Un angle
ou non, est t-il nécessaire pour permettre le fonctionnement de
l'instrumentation de direction. Dans un cas comme dans l'autre,
la station peut pivoter sur les deux-axes. Après la
stabilisation axiale, départ de la gravité
artificielle. Ce n'est pas un scénario de film, je crois
qu'il s'agit d'une procédure réelle. La station va
se déplacer vers son objectif. Je n'ai aucune
qualification en provenance d'une école pour écrire cela,
et aucune formation des actions nécessaires pour une mise en
orbite. Mais ces étapes existent, et pour l'instant ne
sont pas en conflits avec cette progression basique. Avons nous
décider pour le nombre de moteur . Combien en dollars peut
coûter cette expérience ? Selon ma façon de
voir, elle doit avoir la capacité de revenir à son
point de départ c'est à dire ici. Moi j'opte pour 4
moteurs, positionner sur le même axe que le mat de direction. La
fixation mécanique des extensions des modules, vers les moteurs,
devrait permettre une fixation solide et visible de l'arrière
des modules. Ici nous supposons la position des moteurs comme
l'arrière de la station. Je me demande aussi, si un moteur
plus petit localisé sur le mat des panneaux solaires, est
techniquement possible en plus des petites fusées de
positionnement. Pour améliorer la poussée initiale
de direction ce petit moteur peut t-il jouer un rôle ou encore
être utilisé comme plan B (sécurité). Voila
une autre question.
à suivre,
Pierre Michaud, PMI.
ce 05 décembre 2024.
EDE02031220241737 (audio)
Part One.
The engine(s). What will you choose? One, two, three, or more? Before
trying to answer this question, let's position them. In the same axis
as the modules. Regarding these engines, would it be possible to use
them to put the modules into orbit? I think it is possible. Let's
assume that the base of the rocket is the module, and that this base
has all the characteristics of an almost empty space envelope. Limited
work on this envelope, in space, will allow the rest of the station to
be built much more quickly, and especially reduce the hours of work of
the astronauts outside the construction modules (ISS). If what I have
read is true, it seems that this space construction is going to the
scrapyard, so why not use it as a springboard for a new station. And if
this is false in the sense that it will be kept, it does not change
anything in this planning.
Let's simulate a movement of understanding. The station is in zero
gravity mode. The solar panel mast points in the direction to take. Two
engines ignite, the station gains speed. When the engines stop, the
station maintains its speed. An angle or not, is it necessary to allow
the steering instrumentation to function. In either case, the station
can rotate on both axes. After axial stabilization, departure from
artificial gravity. This is not a movie script, I believe it is a real
procedure. The station will move towards its objective. I have no
qualifications from a school to write this, and no training in the
actions necessary for an orbit. But these steps exist, and for the
moment are not in conflict with this basic progression. Have we decided
on the number of engines? How much in dollars can this experiment cost?
In my way of seeing, it must have the capacity to return to its
starting point, that is to say here. I opt for 4 motors, positioned on
the same axis as the steering mast. The mechanical attachment of the
module extensions, towards the motors, should allow a solid and visible
attachment from the rear of the modules. Here we assume the position of
the motors as the rear of the station. I also wonder if a smaller motor
located on the solar panel mast is technically possible in addition to
the small positioning rockets. To improve the initial steering thrust,
can this small motor play a role or even be used as a plan B (safety).
That's another question.
to be continued,
Pierre Michaud, PMI.
this December 5, 2024.
EDE02061220241600 (audio)
Les moteurs, deuxième partie.
Dans le programme Apollo la fusée SATURNE 5 était
utilisée comme lanceur. Au bout de cette fusée on
retrouvait la parti de la fusée contenant les véhicules
nécessaires à la conquête de la lune. Plus
précisément, le module de commande, le module de
service et le LEM (module lunaire). Après la mise en orbite de
ces unités, le module de commande et le module de service
combinés se retournait pour s'accrocher au LEM avant le
début de leurs voyages vers la lune. Ici il ne s'agit pas de
raconter l'histoire du programme Appolo mais bien d'essayer de combiner
cette expertise qui n'a pas de prix à la construction d'une
nouvelle station spatiale gravitaire. Le module de service offrait
déjà un environnement de vie pour les astronautes durant
leur voyage. En plus, avec un moteur déjà
intégré dans cet ensemble. Suite à une mise
à jour, ce module de service pourrait t-il être
utilisé comme moteurs de la station, et en plus avoir comme
fonction un plan C d'évacuation pour les occupants. Voila
à quoi je pense. Ce texte n'est pas en contradiction avec la
première partie de cette section. Un anneau d'accrochage
permettait aux astronautes à l'époque, de passer du
module de commande au LEM. Une mise à jour de cet anneau
pourrait permettre l'accrochage de ce module de service
rénové à la station. Nous aurions donc 4 moteurs
offrant un milieu de vie dans un cadre de sécurité pour
les astronautes. Il s'agît ici du principe, et non d'une
conception final. La puissance de déplacement dans l'espace,
n'est pas égale à la puissance nécessaire de la
mise en orbite, mais des remplacements moteurs sont possibles avec
cette analyse. Si on tient compte des deux véhicules de secours,
plus les 4 options moteurs, nous avons un total de 6 solutions de vie. A ou B en référence au croquis publié le 04 décembre 2024, à vous de choisir.
Un autre point. Avant d'envoyer cette station à la casse, est
t-il possible de la faire descendre avec des moteurs
adaptés et des parachutes. Les moteurs seront
remplaçable et accessibles avec cette conception.
Pierre Michaud, PMI.
Ce 06 décembre 2024.
EDE02061220241600 (audio)
Engines, part two.
In the Apollo program, the SATURN 5 rocket was used as a launcher. At
the end of this rocket was the part of the rocket containing the
vehicles needed to conquer the moon. More precisely, the command
module, the service module and the LEM (lunar module). After these
units were put into orbit, the combined command module and service
module turned around to attach to the LEM before starting their
journeys to the moon. Here, it is not a question of telling the story
of the Apollo program but of trying to combine this expertise that is
priceless with the construction of a new gravity space station. The
service module already offered a living environment for the astronauts
during their journey. In addition, with an engine already integrated
into this assembly. Following an update, could this service module be
used as the station's engines, and also have the function of an
evacuation plan C for the occupants? That's what I'm thinking. This
text does not contradict the first part of this section. A docking ring
allowed astronauts at the time to move from the command module to the
LEM. An update of this ring could allow the docking of this renovated
service module to the station. We would therefore have 4 engines
offering a living environment in a safe framework for the astronauts.
This is the principle, and not a final design. The power of movement in
space is not equal to the power required for orbiting, but engine
replacements are possible with this analysis. If we take into account
the two emergency vehicles, plus the 4 engine options, we have a total
of 6 living solutions. A or B in reference to the sketch published on December 4, 2024, it's up to you to choose.
Another point. Before sending this station to the scrapyard, is it
possible to bring it down with adapted engines and parachutes. The
engines will be replaceable and accessible with this design.
Pierre Michaud, PMI.
This December 06, 2024.
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